[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[C-]#[O+].[Rh].[Rh].[Rh].[Rh].[Rh].[Rh] PubChem, vue 3D
H302+H312+H332, P280, P312, P301+P330+P331, P302+P352 et P304+P340
H302+H312+H332 : Nocif en cas d'ingestion, par contact cutané ou si inhalé P280 : Porter des gants de protection/des vêtements de protection/un équipement de protection des yeux/du visage. P312 : Appeler un CENTRE ANTIPOISON ou un médecin en cas de malaise. P301+P330+P331 : En cas d'ingestion : rincer la bouche. NE PAS faire vomir. P302+P352 : En cas de contact avec la peau : laver abondamment à l’eau et au savon. P304+P340 : En cas d'inhalation : transporter la victime à l’extérieur et la maintenir au repos dans une position où elle peut confortablement respirer.
L’hexadécacarbonyle d'hexarhodium est un composé chimique de formule Rh6(CO)16. Il s'agit d'un solide cristallisé brun violacé dont les gros cristaux sont noirs. Il est insoluble dans les solvantaliphatiques et légèrement soluble dans les autres solvants courants tels que le dichlorométhane et le chloroforme[3]. C'est le principal complexe de carbonyle du rhodium. Il reste inerte face aux acides dilués et aux bases, et commence à se décomposer par chauffage au-dessus de 200 °C ; un filmmétallique brillant se forme dans l'air à la surface du solide au-dessus de 220 °C[4].
↑ a et b(en) B. R. James, G. L. Rempel, W. K. Teo et G. Caglio, « Hexadecacarbonylhexarhodium », Inorganic Syntheses, vol. 16, , p. 49 (DOI10.1002/9780470132470.ch15, lire en ligne).
↑(de) Georg Brauer, Handbuch der Präparativen Anorganischen Chemie, 3e éd., vol. 3, Ferdinand Enke, Stuttgart, 1981, p. 1838. (ISBN3-432-87823-0)
↑(de) W. Hieber et H. Lagally, « Über Metallcarbonyle. XLV. Das Rhodium im System der Metallcarbonyle », Zeitschrift für anorganische und allgemeine Chemie, vol. 251, no 1, , p. 96-113 (DOI10.1002/zaac.19432510110, lire en ligne).
↑(en) Eugene R. Corey, Lawrence F. Dahl et Wolfgang. Beck, « Rh6(CO)16 and Its Identity with Previously Reported Rh4(CO)11 », Journal of the American Chemical Society, vol. 85, no 8, , p. 1202-1203 (DOI10.1021/ja00891a040, lire en ligne).
↑ a et b(en) B. L. Booth, M. J. Else, R. Fields, H. Goldwhite et R. N. Haszeldine, « Metal carbonyl chemistry IV. The preparation of cobalt and rhodium carbonyls by reductive carbonylation with pentacarbonyliron », Journal of Organometallic Chemistry, vol. 14, no 2, , p. 417-422 (DOI10.1016/S0022-328X(00)87682-2, lire en ligne).
↑ a et b(en) S. P. Tunik, A. V. Vlasov, V. V. Krivykh, Jose Takats, Jason Cooke et John Washington, « Acetonitrile-Substituted Derivatives of Rh6(CO)16: Rh6(CO)16-x(NCMe)x (x = 1,2) », Inorganic Syntheses, vol. 31, , p. 239-244 (DOI10.1002/9780470132623.ch37, lire en ligne).