le « Bloc de l'Alliance » de Sato Kilman (17 députés puis 16 à partir du puis 15 à partir du 20 mars suivant et de nouveau 16 à partir d'), elle-même réunion de plusieurs partis formée en et comprenant :
3 dissidents de l'Union des partis modérés (UPM) qui ont créé le mouvement « UPM pour le changement ».
Composition
Initiale
La composition du gouvernement est initialement la suivante. Le , toutefois, le premier ministre Sato Kilman limoge son ministre de la Justice et des Affaires sociales, Ralph Regenvanu, pour avoir voté au Parlement contre la décision du gouvernement de faire entrer le pays dans l'Organisation mondiale du commerce. Charlot Salwai, vice-président de l'Union des partis modérés, lui succède[1].
Le , le ministre de la Justice et des Affaires sociales Ralph Regenvanu, unique député du PTJ, est renvoyé du gouvernement par le Premier ministre pour « déloyauté ». L'intéressé affirme ne pas avoir reçu de raisons spécifiques pour son limogeage, tout en y voyant un lien avec son vote au Parlement contre la décision du gouvernement de faire adhérer le Vanuatu à l'OMC[3]. Sato Kilman nomme Charlot Salwai, député dissident de l'UPM, pour le remplacer[4].
Le , le ministre de la Santé Willie Reuben Abel, ancien du Vanua'aku Pati ayant rejoint le PPP, est à son tour sorti du gouvernement, décision justifiée par le porte-parole du Premier ministre en raison de son « échec à appliquer les directives du conseil des ministres pour améliorer le secteur de la santé au Vanuatu »[5]. Il est réinstallé à son poste dès le [6].