Ex-colonel dans l'artillerie française et militant d'extrême droite, Georges Larpent entreprend de contester l’innocence d'Alfred Dreyfus en publiant un Précis sur l'Affaire Dreyfus avec un ami officier Frédéric Delebecque[2],[3].
Durant l'entre-deux-guerres, Georges Larpent salue les positions développées par Charles de Gaulle dans son livre Vers l'armée de métier en le commentant favorablement dans L'Action française[8].
En avril 1930, il est nommé gérant de la Société française des périodiques illustrés, qui édite entre autres Le Charivari[9],[10].
En 1939, il refuse de signer la lettre de soumission de Maurras au pape[11].
↑Eugen Joseph Weber, Eugen Weber. "L'Action française": "Action française" . Traduit de l'anglais par Michel Chrestien, Stock (Montrouge, Impr. moderne), (lire en ligne), p. 43
↑Olivier Forcade, « Les milieux militaires et l’Action française de 1898 à 1940 », dans L’Action française : culture, société, politique, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », (ISBN978-2-7574-2123-9, lire en ligne), p. 121–140
↑Laurent Joly, « From one War to Another. L’Action française and Jews, from the “Union sacrée” to the “Révolution nationale” (1914-1944) », Revue dhistoire moderne contemporaine, vol. 594, no 4, , p. 97–124 (ISSN0048-8003, lire en ligne, consulté le )
↑Véronique Auzépy-Chavagnac, Jean De Fabrègues et la jeune droite catholique: Aux sources de la Révolution nationale, Presses Universitaires du Septentrion, (ISBN978-2-7574-2231-1, lire en ligne)
↑Eugen Weber, L'Action française, éd. Fayard, 1985, p. 320