Dès le début des années 1930, il participe aux luttes en faveur de l’objection de conscience aux côtés de Louis Lecoin avec lequel il poursuivit ce combat à Lyon où il s’installe au début des années 1950.
Sous le pseudonyme de René Villard, il collabore à un grand nombre de titres de la presse libertaire dont Contre courant (1950-1968) de Louis Louvet, Le combat syndicaliste et Espoir organes de la CNT, La Feuille anarchiste, L’Homme libre, Le Travailleur libertaire de Jules Vignes, La Volonté populaire, organe pacifiste et espérantiste de Gabriel Duval.
Œuvres
Essais et romans
Le train de la paix, roman, préface de Victor Méric, 1932.