Ancien élève de l'Immaculée-Conception de Laval et du lycée de Laval, il édite en 1968 à ses frais une petite plaquette sur Ambroise Paré[1]. Il effectue pendant deux années des études à la faculté de médecine, qu'il abandonne pour la presse et l'histoire.
Il est titulaire d'une maîtrise d'histoire, journaliste[2]. En 1972, il entre à Paris Match, pour décrire la vie artistique parisienne. En 1983, il est rédacteur en chef de la revue Newlook. Puis, il devient directeur éditorial de TF1 éditions en 1994.
Babiroussa : une vie jusqu'au bout du rêve : récit de Maurice Patry[7], Paris : Éd. Fixot, 1990, 221 p. ;
Alfred Jarry et sa bande : le cycliste de Montmartre, illustrations de Jack Russell, Paris : Éd. de la Belle Gabrielle, 2007, 117 p., Collection : La légende de Montmartre racontée par ;
Max Jacob : le fou de Dieu, texte de François Pédron ; illustrations de Jack Russell, la Belle Gabrielle, impr. 2008, 127 p., Collection La légende de Montmartre racontée par ;
L'Institution nationale des Invalides : hymne à la vie, textes : François Pédron ; photographies, Jacques Bravo, l'Esprit de tous les combats, 2005, 183 p. ;
67, Pigalle-Porte de Gentilly : rêve de bus, photographies de Jacques Bravo ; textes de François Pédron. Publication : Écully : Altaïr-Points cardinaux communication, cop. 2005. 1 vol. (non paginé [32] p.), Collection : Paris vous appartient ;
Montmartrobus : rêve de bus, photographies de Jacques Bravo ; textes de François Pédron, Écully : Altaïr-Points cardinaux communication, cop. 2005, (non paginé [24] p.), Collection : Paris vous appartient ;
D'un Montmartre l'autre, photographies de Dominique Chauvat ; texte de François Pédron ; traduction anglaise de Jack Russell, Paris : la Belle Gabrielle, 2006, 319 p. ;
Les rapins : l'âge d'or de Montmartre, texte, François Pédron ; traduction, Jack Russell ; photos, Stéphane Pons, la Belle Gabrielle, 2008, 237 p.
Notes et références
↑Une préface d'une thèse d'histoire qui ne sera jamais terminée.
↑Jacques Belhomme était un menuisier créateur d'un asile d'aliénés sous la Terreur, qui avec de faux certificats de démence, évitait la guillotine aux nobles fortunés.
↑Ouvrage écrit au retour d'un séjour au Maroc dans le cadre de la coopération.