Dans son ouvrage de 1998, Yvonne Firino décrit les 466 voies d'Antony en les classant par quartier. Elle en distingue cinq : le bourg ou ancien village, Le Clos de Massy, le quartier des Morues et des Rabats, le pont d'Antony et le parc de Sceaux, le quartier des Graviers et des Godets[YF 1].
L'ancien village
Voies principales
Les voies pour lesquelles des articles sont spécifiques :
Le lotissement du Vert-Buisson a été implanté à partir de 1908 sur le lieu-dit « les Augustins ». Le terrain d'une superficie de 10 ha est divisé en lots à bâtir de 200 à 300 m². Il a été la propriété de Marie Joséphine Trudon des Ormes, domiciliée à Versailles, et appartenait au moment de la vente aux époux Deveaud. Les acquéreurs sont des personnes modestes pour la plupart. Ils paient en versant 16 % au comptant et le reste sur cinq ans au taux de 5 %. Le terrain était auparavant resté longtemps à l'état de champs et de broussailles et par ailleurs, inondable : un ruisseau, bordé de saules, venant de Verrières, coulait à l'emplacement de ce qui est aujourd'hui la rue Angélique. Il était à sec en été, mais il y avait beaucoup d'eau au printemps et en hiver[YF 2].
Le cahier des charges du lotissement est rédigé le . il dispose que « la propriété lotie devra être habitée bourgeoisement, que tous ateliers, dépôts, industries ou commerces insalubres ou bruyants, ainsi que toute construction d'hôpital, hospice, maison de refuge, clinique ou maison de tolérance sont prohibés ». le lotissement est classé dans la voirie urbaine le [YF 3].
Propriété Bidoire
Au sein de cet ensemble, se situe la propriété de la famille Bidoire que des Américains désiraient acheter en 1927. En 1938, les 2,7 hectares de cette propriété sont lotis en 74 parcelles. Ce lotissement appelé « Les Peupliers » reste inachevé pendant la Seconde Guerre mondiale. Le « château » de la famille Bidoire est détruit après la guerre : construit au XVIIe siècle, il avait été acheté par la famille Bidoire au XIXe siècle. Il comprenait une chapelle, une orangerie, un temple de l'Amour, un grand bassin et une volière[YF 4].
Le Clos de Massy
Voies principales
Les voies pour lesquelles des articles sont spécifiques :
Les autres voies, simplement évoquées ci-dessous, sont :
la rue de l'Abbé-Enjalvin ;
l'avenue d'Alembert ;
la rue Alphonse-Frager ;
la rue d'Alsace-Lorraine ;
la rue Ampère ;
la rue de l'Ancien-Château ;
la place des Anciens-Combattants-d'Afrique-du-Nord ;
l'avenue Arouet :
la rue Arthur-Blanchet ;
la rue d'Artois ;
l'allée Astrida ;
la rue Auguste-Renoir ;
la promenade du Barrage ;
l'avenue Beauséjour ;
le passage de la Bièvre ;
la rue de Bretgane ;
la rue Buffon ;
la rue du Caprocorne ;
la rue Carnot ;
l'allée des Cèdres ;
la rue Céline ;
la place Charles-Péguy ;
la rue de Châteaufort ;
la rue du Clos-Joli ;
l'avenue de la Concorde ;
la rue Corneille ;
l'avenue des Cottages ;
la rue Coustou ;
l'avenue Coysevox ;
l'impasse Curie ;
l'avenue du Docteur-Ténine ;
la villa Domas ;
l'avenue de la Duchesse-du-Maine ;
la rue Dunoyer-de-Segonzac ;
la rue Émile-Grassot ;
l'avenue Ernest-Renan ;
la rue de l'Espérance ;
le carrefour de l'Europe ;
l'allée Fernand-Braudel ;
l'avenue Fernand-Fenzy ;
la place Firmin-Gémier ;
la rue Florian ;
la rue de la Fontaine-Grelot ;
l'allée François-Mansart ;
la rue Gabriel-Chamon ;
la rue Galiperau ;
ù l'avenue Gallieni ;
l'avenue Gambetta ;
la rue Gauguin ;
le square Gilbert ;
l'avenue Giovani-Boldini ;
l'avenue des Giroflées ;
la rue des Glycines ;
la rue de la Grande-Couture ;
le passage Grillot ;
l'avenue de Guyenne ;
la rue Henri-Barusse ;
la rue Henri-Lasson ;
la rue des Hortensias et le square des Hortensias ;
le square du 8-mai-1945 ;
l'avenue de l'Île-de-France ;
l'allée de l'Île-Verte ;
la rue des Iris ;
la rue Irma ;
la rue Jean-Jaurès ;
l'avenue Jeanne-d'Arc ;
l'avenue Jules-Ferry ;
le cours Jules-Raimu ;
l'allée Julia ;
la rue Lavoisier ;
l'avenue Le Nôtre ;
l'avenue Lebrun ;
l'avenue Léon-Blum ;
la place de Lewisham ;
la rue Louis-Barthou ;
la rue Louis-Gaudry ;
la rue Louis-Jouvet ;
la rue Madeleine ;
le square Marc-Sangnier ;
la rue du Marché ;
la rue des Marguerites ;
l'avenue de la Marquise-du-Deffand ;
le chemin de Massy à Fresnes ;
la villa Maurice ;
la rue Maurice-Utrillo ;
la rue Molière ;
l'impasse des Morteaux ;
la rue Mozart ;
la rue des Muses ;
la rue du Nord ;
la rue de Normandie ;
l'avenue de l'Octogone ;
l'avenue du 11-Novembre ;
l'allée d'Orléans ;
la rue de l'Ouest ;
la rue Pablo-Picasso ;
la rue du Parc ;
l'avenue du Parc-de-Sceaux ;
l'allée de la Patte-d'Oie ;
la rue Paul-Bourget ;
l'avenue Paul-Valéry ;
la rue de la Pépinière ;
la rue des Pergolas ;
la rue Pernousd ;
la villa du Petit-Vallet ;
l'allée des Peupliers ;
la rue Pierre-Kohlmann ;
la rue des Pivoines ;
la rue des Poètes ;
'avenue de Provence ;
l'avenue de la Providence ;
l'avenue des Quatre-Vents ;
l'avenue Rabelais ;
la rue Racine ;
la rue de la Renaissance ;
la rue René-Bathélémy ;
l'impasse Robert ;
la rue Robert-Doisy ;
l'avenue Saint-Exupéry ;
la villa Saint-Georges ;
l'avenue de Sceaux ;
la rue de Sdérot ;
la rue du Sud ;
l'avenue Sully-Prudhomme ;
la villa Thorain ;
la rue Toulouse-Lautrec ;
la rue Trudon ;
l'avenue Victor-Hugo ;
la rue des Violettes ;
la rue Voltaire.
La résidence Lafontaine
La résidence Lafontaine, construite entre 1958 et 1960, comprend plusieurs bâtiments répartis autour de squares. Elle s'ouvre sur l'avenue Raymond-Aron et se termine à l'est à l'Haÿ-les-Roses[YF 5].
Depuis l'avenue Raymond-Aron jusqu'à l'avenue Saint-Exupéry :
le square François-Couperin ;
la rue des Pergolas ;
le square Claude-Debussy ;
la rue des Terrasses ;
le square Gabriel-Fauré ;
la rue Jean-Hébrard ;
la place de la Résidence ;
toutes ces voies perpendiculaires à l'avenue de la Résidence.
Elle tient son nom d'Alphonse Lafontaine dont le nom a été donné à la rue Lafontaine.
Quartier des Graviers et des Godets
Voies principales
Les voies pour lesquelles des articles sont spécifiques :
Rue Augusta : cette voie étroite d'une longueur de 155 mètres relie le boulevard Pierre-Brossolette à l'avenue Léon-Blum. Elle a été ouverte vers 1890. D'un côté de cette rue, se trouve l'école primaire Ferdinand-Buisson pui une résidence construite en 1988 après la démolition de la pouponnière Paul-Manchon. De l'autre côté, se trouvent huit grands pavillonscontruits par le propriétaire, M. Augusta, à la fin du XIXe siècle. Cette voie n'a été classée dans la voie urbaine que le [YF 3].
Rue des Augustins : longue de 262 mètres, cette voie est à l'intérieur du lotissement du Vert-Buisson. Elle relie l'avenue François-Molé et la rue du Jubilé, parallèlement à la rue Marie-Laure. Elle prend son nom du lieu-dit les Augustins sur lequel ce lotissement a été créé en 1908. Ce nom se trouve sur tous les terriers les plus anciens, mais aucune présence d'Augustins n'est avérée à Antony. Une hypothèse serait que compte tenu de la proximité dès le XIIe siècle entre les deux congrégations des Augustins et des moines de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, ces derniers auraient concédé des terres aux ermites. La voie est classée dans la voirie urbaine le [YF 6].
Place des Baconnets : cette place n'est pas reliée à la rue des Baconnets. Elle se situe à l'intersection de la rue de la Fontaine-Mouton et de la rue de la Sambre. Elle a été aménagée lors du réaménagement du centre commercial construit dans les années 1960[1] et rehabilité en 2013[2], la médiathèque Arthur-Rimbaud s'y situe ainsi qu'une mairie-annexe[3].
Place du Carrousel : sur le plan de 1674, cette place s'appelle « le Carrefour ». Cette place a toujours été le carrefour des routes du village. Dans les terriers de 1503 et 1549, il s'agissait du carrefour Banyer, c'est-à-dire du four banal. Ce four était situé à l'entrée du village. Il a été utilisé par les Antoniens jusqu'à la fin du XVIe siècle, époque à partir de laquelle on construit de nombreux fous dans le village. C'est sur cette place que se tenaient les réunions publiques pendant la Révolution. Elle fut alors rebaptisée « place de la Réunion ». À l'angle avec l'avenue du Bois-de-Verrières, se trouve le portail de l'association Saint-Raphaël, avec des bâtiments construits entre le XVIIe siècle et le XXe siècle. Cette association est installée dans ces bâtiments depuis 1893. Elle recueille depuis l'origine des mères célibataires avec leur enfant[YF 7].
Rue du Clos de l'Abbaye : cette voie de 134 mètres de longueur relie la rue de l'Abbaye à la rue des Quatre-Cadrans. Elle a été ouverte en 1927 et portait alors le nom de rue du Clos. Elle est classée dans la voirie urbaine depuis le . Elle descend en pote douce vers la Bièvre. Des parcelles bien dessinées des jardins de la Ferme-Recette sont visibles à cet emplacement sur les plans du XVIIIe siècle[YF 8].
Square de Collegno : ce petit jardin se trouve au centre d'un carrefour reliant la rue de l'Abbaye, la rue de l'Église, la rue du Jubilé et la rue du Moulin. Il a été créé dans les années 1970 sur l'emplacement des anciennes écuries du prince de Rohan. Le square doit son nom à la ville italienne de Collegno, avec laquelle Antony est jumelée depuis 1962[YF 8].
Allée des Érables : cette voie, située dans l'ancien parc du château d'Antony, est privée. Elle relie la rue du Moulin à la rue de l'Abreuvoir[YF 9].
F
Rue Fondouze : cette voie d'une longueur de 180 mètres est très ancienne. C'était l'accès obligé à la rivière et au passage à gué. Elle est nommée voie de l'Abreuvoir dans le terrier de 1503, et donne sur les prés du même nom. Ce nom vient du verbe fondre, c'est-à-dire « qui se perd », « qui se termine à la rivière ». Du Moyen Âge au milieu du XXe siècle, c'était la rue des blanchisseries. On en compte six en 1868 et les dernières ont disparu dans les années 1980[YF 10].
Rue Joseph-Delon : Cette voie d'une longueur de 350 m, anciennement « rue du Lavoir » était séparée de la rue du Lavoir-de-la-Grande-Pierre par la Bièvre. Durant les années 1970, cette voie a été élargie. Elle longe la ligne du RER depuis la rue de l'Abreuvoir jusqu'à l'avenue Jean-Monnet. Une cité d'urgence, édifiée précairement dans les années 1960 sur le lieu-dit « les près-de-l'Abreuvoir », à côté de la résidence des Près, a laissé la place à de massifs immeubles HLM. Joseph Delon (1886-1959 à Antony) était clerc de notaire, conseiller municipal de 1948 à sa mort, premier président de l'office municipal d'HLM[YF 13].
Rue du Jubilé : cette voie très ancienne, de 260 m de longueur, fait le lien entre le square de Colligno et la rue des Sources. C'est l'ancien chemin rural no 48. Dans les terriers du XVIIe siècle, elle est nommée « chemin qui tend à Verrières ». Elle est classée dans la voirie urbaine depuis le . Elle porte ce nom depuis la fin du XIXe siècle mais la signification du nom n'est pas connue[YF 14]
K
L
Rue Lafontaine : cette voie d'une longueur de 252 mètres a été ouverte en 1908 par Alphonse Lafontaine, créateur du lotissement qui comprend cette voie ainsi que la rue de l'Espérance. Elle prend avenue Léon-Blum et se terminait entre les bâtiments G et H de la résidence universitaire, démolis en 2021. Alphonse Lafontaine (1856-1942) était directeur de la briqueterie d'Antony. La production s'arrêta avec l'arrêt des constructions en 1935. Les bâtiments furent démolis en 1986[YF 15]
Rue du Lavoir-de-la-Grande-Pierre : cette voie de 172 mètres de longueur, correspond à l'ancienne « ruelle du Lavoir », chemin rural no 16. Elle menait au grand lavoir d'Antony, au bord de la Bièvre, près du pont du RER au XXIe siècle. Elle est classée dans la voirie urbaine depuis le [YF 14].
M
Rue Marie-Laure : cette voie de 246 mètres de longueur appartient au lotissement du Vert-Buisson. Elle relie la rue du Jubilé à l'avenue François-Molé. Le prénom Marie-Laure est vraisemblablement celui de l'épouse ou de la fille des propriétaires, les époux Deveaud. La voie est classée dans la voirie urbaine le [YF 14].
Allée des Meuniers : cette voie est privée. Elle relie un ensemble d'immeubles HLM, entre la rue du Moulin et la rue de l'Abreuvoir. Son nom lui a été donné par association d'idée avec le moulin qui était proche. Avant la construction de ces HLM, le terrain était un terrain de jeux pour les jeunes[YF 16].
Allée des Ormeaux : cette voie, située dans l'ancien parc du château d'Antony, est privée. Elle relie la rue de la Prairie à la rue de l'Abreuvoir et permet de desservir les immeubles construits dans l'ancien parc du château[YF 17].
P
Rue Pasteur : cette voie, d'une longueur de 224 mètres se situe à l'intérieur du lotissement du Vert-Buisson. Elle relie la rue du Vert-Buisson à l'avenue François-Molé. Elle est classée dans la voirie urbaine le [YF 17].
Rue Paul-Langevin : cette voie, d'une longueur de 250 mètres se situe à l'intérieur du lotissement du Vert-Buisson. Elle a été ouverte en , une trentaine d'années après la création du lotissement. Elle est classée dans la voirie urbaine le [YF 17], la municipalité a désiré rendre hommage au physicien Paul Langevin, membre du Parti communiste français, mort en 1946, et proche de la famille Curie qui résidait à Antony. Cette rue est perpendiculaire à la rue Pierre-et-Marie-Curie.
Rue Pierre-et-Marie-Curie : cette voie, d'une longueur de 326 mètres se situe à l'intérieur du lotissement du Vert-Buisson. Elle a été ouverte en 1908 et relie la rue du Jubilé à l'avenue François-Molé. Elle s'est d'abord appelée rue Curie. Elle fut prolongée après 1938 lorsque le parc de la propriété Bidoire a été loti, et a alors été renommée Pierre-et-Marie Curie. Elle est classée dans la voirie urbaine le [YF 18]
Allée des Platanes : cette voie, située dans l'ancien parc du château d'Antony, est privée. Elle relie la rue de la prairie à la rue Prosper-Legouté et permet de desservir une partie des immeubles construits dans l'ancien parc du château[YF 19].
Rue de la Prairie : cette voie privée est la voie principale de desserte des immeubles construits à l'emplacement de l'ancien parc du château d'Antony. Elle relie l'avenue Jean-Monnet à la rue de l'Abreuvoir. Son nom a pour origine le nom du lieu-dit la Petite Prairie, lieu-dit où elle a été ouverte.
Rue des Quatre-Cadrans : cette rue d'une longueur de 150 mètres est l'ancien chemin rural no 24. Sur les plans du début du XXe siècle, la rue porte déjà ce nom, celui d el grande propriété bâtie un peu plus haut le long de la rue de l'Église et de la rue Bourgneuf par Pierre Dutel, avocat au parlement en 1674. Sur les plans des terriers de la fin du Moyen Âge, on voit une ébauche de voie dans le prolongement de la rue de l'Abreuvoir (actuellement rue Fondouze) qui longe le lieu-dit « le trou du Gond », lequel était alors un lieu marécageux planté en partie de saules. Il est probable que le nom de cette propriété soit dû aux ouvertures pratiquées vers les quatre points cardinaux[YF 20].
Place des Quatre-Tilleuls : cette place se situe à l'intersection de la rue de l'Église et de la rue Bourgneuf. Le terrain appartenait à M. Bidoire qui en fit don à la commune à certaines conditions : la commune doit construire une fontaine alimentée par les eaux des ource qui lui appartiennent et destinée à en faire profiter les habitants, la commune devra entretenir les quatre tilleuls plantés aux quatre angles, et devra les remplacer si nécessaire. Au XXIe siècle, les tilleuls ont disparu, il reste un carrefour fleuri, aménagé par la commune[YF 20].
Place René-Cassin : cette place a été créée lors de la rénovation de la dalle de la gare de la station « Antony » du RER B. L'Association des anciens combattants d'Antony a demandé que le nom de René Cassin soit donné à cette place, ce qui fut fait pas décision du conseil municipal du [YF 21].
Place de Reinickendorf : cette petite place est située au carrefour de l'avenue du Bois-de-Verrières et de l'avenue François-Molé. Elle porte ce nom depuis une décision du conseil municipal du à la suite du jumelage en de la commune avec celle de Reinickendorf[YF 22], devenue depuis la réforme territoriale de 2001, l'un des onze quartiers de l'arrondissement de Reinickendorf à Berlin.
Ruelle à Riou : cette voie de 200 mètres de long, continue de porter le nom de ruelle et réservée à la circulation des piétons. Au XVIe siècle, elle porte le nom de ruelle de la Pissotte reliant la rue Haute (avenue du Bois-de-Verrières) à la rue Basse (rue de l'Église). Passant de la cote 60 à la cote 55, sa foret pente permettait l'écoulement des eaux. Le nom de Riou ne provient pas de la famille Riou, présente à Antony durant plusieurs siècles, mais du latin rivum qui a donné le mot « ru » et au XIIe siècle le mot « ruisseau » : canal pour l'écoulement des eaux[YF 23].
Alexis Douchin, « Dénommer les rues à Antony au xxe siècle. Une commune en transition odonymique » in Noms de lieux, noms de personnes : La question des sources, publication des Archives nationales, 2018, [lire en ligne] (ISBN979-1-03651-230-8)
Yvonne Firino, Antony, cinq siècles de vues et de lieux-dits, éditions Maury, 1998, 254 pages (ISBN2-95129-240-6)
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