Avenue du Bois-de-Verrières
L'avenue du Bois-de-Verrières est une voie de communication d'Antony dans les Hauts-de-Seine. Situation et accèsL'avenue du Bois-de-Verrières commence, côté est, au carrefour des Quatre-Chemins, aujourd'hui appelé « carrefour de la Résistance-et-de-la-Déportation », dans l'axe de l'avenue Léon-Blum. Elle marque ensuite les extrémités nord de l'avenue François-Molé et de la rue des Champs. Elle traverse la place de Lexington (dite « place de l'Obélisque » jusqu'en 2013[1]), au niveau de l'intersection avec la promenade départementale des Vallons-de-la-Bièvre, dite « coulée verte ». Elle se poursuit jusqu'à la limite de Châtenay-Malabry à l'avenue d'Estienne-d'Orves, où elle est prolongée sur le territoire de cette commune par une voie éponyme. Du côté pair, cette voie :
Du côté impair, cette voie :
Origine du nomCette rue est nommée ainsi car elle va en direction du bois de Verrières-le-Buisson[2]. HistoriqueL'avenue porte ce nom depuis 1901[2]. Elle a porté successivement plusieurs noms dans ses différentes parties. De la limite de Châtenay-Malabry au carrefour avec la rue des Gouttières et de l'avenue François-Molé, c'était la « voie des vaches »[3]. Dans la partie du bourg, elle a porté les noms de « rue Chartraine » et de « Grande rue haute »[2]. De l'autre côté, en allant vers Verrières-le-Buisson, après la rue des Gouttières, l'avenue monte, traverse la coulée verte du TGV et se termine avenue d'Estienne-d'Orves. C'est l'ancien chemin vicinal no 6 qui portait le nom de « voie des Bois »[4]. Bâtiments remarquables et lieux de mémoireCôté impairAux no 5 à 15 : la maison des Dames de Saint-Raphaël[5]. Au no 33, la propriété dite « Maison Lesourd » du nom de son propriétaire[6]. Côté pairAu no 14, se trouve la Manufacture royale des cires, fondée en 1702. À son extrémité, le long du mur, le château d'eau continue à recueillir les eaux des sources d'Antony[2],[7],[8],[9]. À l'angle de cette avenue et de la rue des Gouttières, se dressait la propriété Séailles (Jean Séailles, Pierre Séailles, Simone Séailles, Spéranza Calo-Séailles et le Lap). En 1968, elle laissa la place à la résidence « Les Grands Chênes »[4]. Hommage aux villes jumeléesCette voie traverse deux places nommées en hommage à deux villes jumelées avec Antony :
Pour approfondirBibliographieArticles connexesLiens externes
Notes et références
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