En 1982, à la suite du prolongement de sa mission en Nouvelle-Calédonie, il est remplacé à l'Assemblée nationale par son suppléant René Bourget[2].
Le , Christian Nucci succède à Jean-Pierre Cot comme ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures, chargé de la Coopération et du Développement. À la suite de la défaite des élections législatives de 1986, il laisse la Coopération à Michel Aurillac[3].
Il est impliqué et condamné[4] avec Yves Chalier dans l'affaire du Carrefour du développement[5]. L'affaire porte sur un détournement de 27 millions de francs entre 1984 et 1986. Inculpé de détournement de fonds, de faux en écritures publiques et privées par la commission d'instruction de la Haute Cour de justice, Christian Nucci bénéficie d'une loi d'amnistie sur les délits de financement illégal de campagnes électorales.
Il est réélu aux élections cantonales de 2008 dès le 1er tour avec 53,38 % des voix[6] et devient le 5e, puis 2e en 2011, vice-président du conseil général, chargé de l'agriculture, du développement rural et de l'équipement des territoires. Il ne se représente pas aux élections départementales de 2015 lors desquelles son canton disparaît et la droite reconquiert le département.
1982 - 1988 : Conseiller général du Canton de Beaurepaire
1988 - 1994 : Conseiller général du Canton de Beaurepaire
1994 - 2001 : Conseiller général du Canton de Beaurepaire
2001 - 2008 : Conseiller général du Canton de Beaurepaire
- : Conseiller général du Canton de Beaurepaire et 5e vice-président chargé de l'agriculture, du développement rural et de l'équipement des territoires
2014 : conseiller municipal à Beaurepaire et Président de la Communauté de Communes du Territoire de Beaurepaire