Né à Rennes le 15 juillet 1876[1], il est le fils unique de Auguste Paul François Corbierre négociant en draps, rouenneries et nouveautés à Rennes, et de Fanny Héloise Fossier, son épouse.
Formé au séminaire de Abbaye Saint-Maur de Glanfeuil, il est dispensé de service militaire comme fils unique de septuagénaire. En 1898 il est réformé par la commission spéciale de Saint-Brieuc.
Historien et spécialiste en sigillographie, en 1910, il crée la Société internationale de sigillographie et dirige la Revue internationale de sigillographie.
Il décède à l'hôpital de la Charité, 47 rue Jacob, le 11 mars 1930[3] (son acte de décès porte une date de naissance erronée). Il est à cette époque directeur de la librairie Saint-Simon, rue Jacob[4], qui fait paraître l'annuaire officiel du clergé français.
Souvenons nous des soldats morts au champ d'honneur 1914-1919 sur l'avers, (différents modèles) diamètre 50 mm. France, USA, Bretagne, ville de Meaux, ville de Paris, Rouen[5] sur le revers
d'une série sur les villes de France armoriées sur l'avers et portant une création glorifiant la paix sur le revers (Adoremus pax) :
1920 : médaille de la canonisation de Jeanne d'Arc
Statues
Statue de Jeanne d'Arc pour l'Institut catholique de Paris[7] en bronze ou albâtre en 3 tailles. Un exemplaire d'un modèle en marbre se trouve dans la basilique de Montréal à gauche du sanctuaire, don de l'union nationale française en 1920 pour la canonisation [8]. Un exemplaire du deuxième modèle en plâtre peint, variante les bras ouverts et levés se trouve dans les Landes à Estigarde (église paroissiale Saint-Laurent)[9]
Statue de Saint Benoit[10]. Offerte à Saint-Germain-des-Prés pour le bicentenaire de la mort de Mabillon (1907). Un exemplaire à Cluny offert par Monseigneur Villard pour le millénaire (1910).