Il a été directeur de l'Observatoire des sciences de l'Univers de l'université Paris-Saclay (OSUPS). Don Hassler a pris sa succession à la direction de l'IAS[4].
Yves Langevin a dirigé notamment quatre thèses de physique à Orsay, dont celle d'Eric Dooryhee sur l'étude par résonance paramagnétique électronique de défauts formés par les ions de grande énergie en 1987, et celle de Mathieu Vincendon sur la modélisation du transfert radiatif dans l'atmosphère martienne en 2008[5].
La comète: le voyage de Rosetta, texte de Hanns Zischler traduit de l'allemand, sous la direction de Jean-Pierre Bibring, avec Laurent Jorda, avec la participation de Martin Hilchenbach, Yves Langevin et Stefano Mottola, traduction par Jean Torrent, Paris, Éditions Xavier Barral, 2019.
Planétologie comparée et système solaire, par Daniel Gautier, avec la collaboration d'Yves Langevin, Paris, CNRS, 1993.
Effets d'implantation ionique sur la dissolution des minéraux. Partie I. Dissolution non sélective, avec Jean-Claude Petit et Jean-Claude Dran, Bulletin de minéralogie, 1985. [lire en ligne]
234U/238U disequilibrium in nature : theoretical reassessment of the various proposed models, avec Jean-Claude Petit et Jean-Claude Dran, Bulletin de minéralogie, 1985. [lire en ligne]
Nouveaux développements dans la connaissance du système solaire, journées d'études organisées par le Comité de l'ATP de planétologie de l'Institut national d'astronomie et de géophysique, par Yves Langevin, Jacques Crovisier et Michel Combes, CNRS, Paris, 1982.
Contribution à l'étude des interactions entre la surface lunaire et le milieu spatial, thèse de doctorat en astrophysique, Université Paris Diderot, 1975.