Technopôle de Nancy-Brabois
Le Technopôle de Nancy-Brabois est un technopole situé sur les communes de Vandœuvre-lès-Nancy et de Villers-lès-Nancy au sud-ouest de Nancy. C'est l'un des premiers technopôles aménagés en France à la fin des années 1970 avec ceux de Sophia Antipolis près de Nice, de Villeneuve-d'Ascq près de Lille et d'Inovallée près de Grenoble. HistoireL'idée du technopôle voit le jour en –[1]. L'association Nancy Brabois Technopôle est créée en [2]. En est créé, sous la forme d'une société d'économie mixte, le technopôle Henri-Poincaré, qui inclut le plateau de Brabois, le secteur Val de Villers-Aiguillettes (campus de la faculté de sciences), et le campus Artem[3]. CaractéristiquesLe technopôle s'étend sur 576 hectares[4]. En il totalise 285 entreprises, 15 000 emplois, 17 000 étudiants et 2 500 chercheurs[5]. Un quart des salariés sont des cadres, et un quart des établissements ont des activités de recherche et développement[6]. En un peu plus de la moitié des emplois étaient des emplois publics, avec en particulier 4 700 emplois pour le CHU et 840 salariés pour l'Université de Lorraine[7]. En il totalise 259 entreprises, 16 000 emplois, 7 000 étudiants et 2 500 chercheurs ; 75 % des emplois étaient des emplois publics, avec en particulier 7 000 emplois pour le CHU et 3 000 salariés pour l'Université de Lorraine.[réf. nécessaire] TransportsLe parc technologique est desservi par plusieurs lignes de bus du réseau Stan et jusqu'en par une ligne de tram sur pneus[8]. La mise en service du trolleybus desservant cette même ligne par la montée de Brabois est annoncée pour [9]. Liste des écoles et universités
EntreprisesLes entreprises du technopôle couvrent les domaines informatique, l'audit et le conseil financier, la santé, le génie biomédical, l'agrobioindustrie, l'environnement, l'architecture et les télécommunications. Parmi les entreprises et instituts présents sur le site figurent les laboratoires Boiron, la Générale de téléphone, l'Institut de cancérologie de Lorraine, MGEN technologie. Elles se répartissent de la façon suivante : 55 % en informatique/électronique/télécommunications, 20 % médical et biotechnologies, 15 % recherche et 10 % conseil et transfert de technologies[11] Notes et références
Voir aussiBibliographie
Articles connexesLiens externes |
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