Rocking in Olympia 1975 est le deuxième album live d'Eddy Mitchell. Sorti en novembre 1975, le 33 tours est enregistré à l'Olympia de Paris lors des concerts du chanteur du 7 au . Le chanteur est accompagné des musiciens américains qui ont participé à l'enregistrement de l'album Rocking in Nashville.
Histoire
Eddy Mitchell est à l'Olympia de Paris du 7 au 11 mai 1975. Avec lui sur scène, venus de Nashville, les musiciens qui, en 1974, l'ont accompagné lors de l'enregistrement de l'album Rocking in Nashville[1],[2].
Chacune des représentations est enregistrées, ce qui donnent naissance à l'album liveRocking in Olymmpia 1975, qui sort en novembre 1975[1]. Le disque ne contient que sept chansons interprétées par Eddy Mitchell, le groupe d'accompagnement est mis en vedette sur les quatre premiers titres[3].
Il faut attendre 1994, et la publication de l'album au format CD pour que la restitution du récital d'Eddy Mitchell soit enrichie de dix chansons (restées jusqu'alors inédites dans leurs version Olympia 1975)[3].
Autour de l'album
Édition originale :
L'album est publié en 33 tours (référence originale Barclay 90 036), et propose onze titres. Eddy Mitchell n'est présent que sur sept morceaux (le cinquième et dernier de la face A et sur les six qui font la face B ; Les quatre premiers de la face A sont interprétés par des membres de son orchestre, respectivement, Nashville Super Pickers, Holladay Sisters, The Jordanaires et Charlie McCoy[4],[5].
Réédition :
Rocking in Olympia 1975 est réédité en 1994, en CD, sous le titre Olympia 75. Il contient dix-sept titres, dont dix supplémentaires interprétés par Eddy Mitchell (les quatre joués par l'orchestre sont alors supprimés) : Emmène-moi où tu veux, J'attendrai le prochain train, C'est un piège, Fume cette cigarette, Bye Bye Johnny B. Goode, À crédit et en stéréo, C'est la vie mon chéri, C'est un rocker, Je ne deviendrai jamais une super star, Toujours un coin qui me rappelle[6].
Tommy Durden, Mae Boren Axton (a) - Otis Blackwell, Elvis Presley (b) - George R. Poulton(en) (c) - Otis Blackwell, Elvis Presley (d) - Jerry Leiber, Mike Stoller (e)
↑L'argus Eddy Mitchell discographie et cotations, Daniel Lesueur, 2004, Éditions Alternatives, page 90, citation : [...], Eddy ne propose sur cet album que sept chansons, [...]. Pour le reste c'est l'orchestre qui est mis en valeur.