Philippa Black

Philippa Black
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Fonctions
Professeure émérite (d)
depuis
President of the Royal Society of New Zealand
-
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (83 ans)
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Université d'Auckland (jusqu'en )Voir et modifier les données sur Wikidata
Maîtres
Raymond Nicholas Brothers (d), Ernest Johnstone Searle (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Directeurs de thèse
Raymond Nicholas Brothers (d), Ernest Johnstone Searle (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions

Philippa Margaret Black (née le ) est une universitaire néo-zélandaise spécialisée en géologie, et plus particulièrement en minéralogie et en pétrologie métamorphique.

Biographie

Philippa Black est née le à Hamilton. Elle est la fille de Dorothy May (née Maslen) et de James Corbett Black. Elle est scolarisée à la Taupiri Primary School, à la St Paul's Catholic School (école primaire de Ngāruawāhia (en)) et à la New Plymouth Girls' High School[1]. Elle étudie à l'université d'Auckland et obtient une maîtrise et un doctorat en géologie. Le titre de sa thèse de maîtrise de 1964 est Igneous and metamorphic rocks from Tokatoka, Northland (« Roches ignées et métamorphiques de Tokatoka, Northland »)[2]. Son doctorat porte sur le récif de Tokatea dans les collines situées derrière le canton de Coromandel et son titre est Petrology of the Cuvier and Paritu Plutons and their metamorphic Aureoles (« Pétrologie des plutons de Cuvier et de Paritu et de leurs auréoles métamorphiques »)[3]. Elle obtient ensuite un Master of Arts d'histoire[4]. Elle est nommée professeure à l'université d'Auckland en 1986, dont elle dirige le département pendant 15 ans[5].

Entre 1993 et 1997, Philippa Black est présidente de la Société royale de Nouvelle-Zélande, première femme à occuper cette fonction[5]. En 1996, elle est nommée Compagnon de l'Ordre du mérite de Nouvelle-Zélande pour ses services rendus à la science[6].

En 2013, après sa retraite, elle est élue Compagnon de l'Institution of Professional Engineers New Zealand (en) (IPENZ). En 2017, elle est sélectionnée comme l'une des « 150 femmes en 150 mots » (150 women in 150 words (en)) de la Royal Society Te Apārangi, célébrant la contribution des femmes à la connaissance en Nouvelle-Zélande[7].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Philippa Black » (voir la liste des auteurs).
  1. (en) Max Lambert, Who's Who in New Zealand, 1991, Auckland, Octopus, , 12e éd. (ISBN 9780790001302), p. 57
  2. (en) Philippa Black, Igneous and metamorphic rocks from Tokatoka, Northland (Thèse), University of Auckland, (DOI 10.1080/00288306.1967.10428182)
  3. (en) Philippa Black, Petrology of the Cuvier and Paritu Plutons and their metamorphic Aureoles (Thèse), University of Auckland, (lire en ligne Accès payant)
  4. (en) Philippa Black, Cornishmen and convicts : mining and European settlement of the Diahot, northern New Caledonia (Thèse pour le M.A. d'Histoire), Auckland, University of Auckland, (lire en ligne)
  5. a et b (en) Juliet Kac et New Zealand Ministry for Culture and Heritage Te Manatu Taonga, « Philippa Black » Accès libre, sur teara.govt.nz (consulté le )
  6. (en) Department of the Prime Minister and Cabinet (DPMC), « The Queen's Birthday Honours List 1996 » Accès libre, sur www.dpmc.govt.nz, (consulté le )
  7. (en) « Philippa Black CNZM FRSNZ » Accès libre, sur Royal Society Te Apārangi (consulté le )

Liens externes