« représenté par deux échantillons, l'un constitué par des fragments d'ailes (C8), l'autre (C11) par des ailes et des fragments du corps. C8 montre une aile postérieure assez bien conservée et en partie repliée sur elle-même ; nombreuses nervures longitudinales réunies par un réseau de fines nervures transversales; nervure costale (C) sur les bords de l'aile; Sc, R et Rs presque parallèles, de dirigeant vers le sommet; Rs naît vers les 2/5 antérieurs et émet 5-6 rameaux se dirigeant obliquement vers l'arrière; M simple, deux nervures cubitales, se dirigeant vers la nervure anale ; champ anal plissé, formé d'une douzaine de nervures longitudinales disposées en éventail ; nombreuses nervures transversales.
C11 montre des fragments du corps et deux ailes, repliées sur elles-mêmes. »[1].
Dans le Sannoisien du Gard, l'ensemble de la faune a un caractère méditerranéen à affinités subtropicales très prononcées[6].
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
[1943] (en + la) F. E. Zeuner, « The fossil Acrididae (Orth. Salt. ) Part IV Acrididae incertae sedis and Addendum to Catantopinae », The Annals and Magazine of Natural History, vol. Eleventh Series 11, , p. 359-383 (DOI10.1080/00222934408527441).
Publication originale
[1937] Nicolas Théobald, « Les insectes fossiles des terrains oligocènes de France 473 p., 17 fig., 7 cartes,13 tables, 29 planches hors texte », Bulletin Mensuel de la Société des Sciences de Nancy et Mémoires de la Société des sciences de Nancy, Imprimerie G. Thomas, , p. 1-473 (ISSN1155-1119 et 2263-6439, OCLC786027547)..
Notes et références
Notes
↑La diagnose est faite en français. En botanique, la diagnose devait être en latin jusqu'en 2011 ; elle est depuis aussi autorisée en anglais.