Il participe aux quatre sessions du concile Vatican II[4],[5]. Le , il intervient pour plus de tolérance dans l’Église et le suivant, pour défendre la prière commune comme voie privilégiée de l'œcuménisme[5],[6].
Évêque
Le , le vicariat apostolique de Wallis-et-Futuna est élevé au rang de diocèse et Michel Darmancier devient alors son premier évêque. Dans une lettre pastorale de , il met en garde contre l’alcoolisme[7] :
« Des hommes, des jeunes, principalement le jour de la paie, achètent de la bière par cartons et boivent dans leur api ou dans la brousse jusqu’à la dernière bouteille. La même chose avec le whisky ou le rhum (…) On voit même des enfants de l’école (moins de 15 ans) ivres d’avoir bu de la bière. »
En , le service des Postes et des Télécommunications de Wallis-et-Futuna émet un timbre, d’une valeur de 500 francs Pacifique, reproduisant son blason[9],[10].
↑Georges Delbos, L’Église catholique en Nouvelle-Calédonie : un siècle et demi d’histoire, Desclée de Brouwer, (lire en ligne), p. 404
↑Alexandre Poncet, Histoire de l’île Wallis, t. 2 : Le protectorat français, Paris, Société des Océanistes, coll. « Publications de la SdO » (no 23), , 234 p. (ISBN978-2-85430-094-9, lire en ligne), chap. 25 (« La fin du régime de protectorat à Wallis (1959) »), p. 227
↑Raymond Mayer, Les transformations de la tradition narrative à l'île Wallis (UVEA) : Essai sur les lois de transformation des contenus narratifs (thèse de doctorat de Troisième Cycle en ethnologie), (lire en ligne), Bibliographie, p. 19
↑Patrick O'Reilly et Michel Darmancier, « Les jeux du Pacifique à Tahiti. Une interview de Mgr Darmancier, évêque de Wallis, à leur propos », Journal de la Société des Océanistes, vol. 28, no 37, , p. 79-82 (DOI10.3406/jso.1972.2357, lire en ligne)