En raison de la distance qui sépare les différents archipels (près de 5 000 km), et des difficultés d'administrer une zone aussi vaste, le vicariat est scindé en deux : Pompallier se voit confier le vicariat apostolique de Nouvelle-Zélande tandis que Pierre Bataillon reçoit le vicariat apostolique d'Océanie centrale en 1842 avec les îles restantes[1].
En 1844, le vicariat cède ultérieurement une partie de son territoire aux vicariats apostoliques nouvellement créés de Mélanésie et de Micronésie, confiés à Jean-Baptiste Épalle[4].
Notes et références
↑ abcd et eYannick Essertel, « Les vicaires apostoliques en phase pionnière en Océanie au XIXe siècle : des stratèges de l'évangélisation », Histoire monde et cultures religieuses, vol. n°20, no 4, , p. 43 (ISSN1957-5246 et 2264-4938, DOI10.3917/hmc.020.0043, lire en ligne, consulté le )
↑Georges Delbos, L'Eglise catholique à Wallis et Futuna : Généalogie d'une chrétienté (1837-2003), Suva, Fidji, CEPAC, , 328 p. (ISBN982-50-6003-4), p. 308
↑Frédéric Angleviel, Les Missions à Wallis et Futuna au XIXe siècle, Centre de recherche des espaces tropicaux de l’université Michel de Montaigne (Bordeaux III), , 243 p. (lire en ligne)