Il a été consultant pour l’art en France du magazine Der Spiegel puis DerSpiegel Online et responsable de la chronique Histoire de l’art du Quotidien de l'art.
Biographie
Matthieu Poirier a obtenu son Doctorat en histoire de l'art à l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV) avec une thèse intitulée Une abstraction perceptuelle : phénoménologie et seuils de la vision dans l’art optique et cinétique. Son jury[3] était composé de Stephen Bann, Valérie Da Costa, Thierry Dufrêne (Président), Arnauld Pierre et Serge Lemoine.
Il a été boursier (en 2001) et chercheur invité (en 2011 et 2012) au Centre allemand d'histoire de l'art (Paris), boursier de la Terra Foundation for American Art (Giverny).
Il a bénéficié de bourses de recherche de Pro Helvetia (2014-2015) et de la Danish Arts Foundation (2016, 2017 et 2018).
En tant que spécialiste des questions liées à l'abstraction dans l'art, il intervient régulièrement dans des conférences et discussions au sein d'institutions et de centres d'art[4],[5],[6],[7]. Il a notamment été interviewé pour le magazine en ligne Artterritory en septembre 2023[8].
Antonio Asis. Mind Particles - Works from 1960 to 2019 (Galerie Simões de Asis, Saõ Paulo - juil à juillet 2022)[16]
Philippe Decrauzat. Circulation[17] (Galerie Nara Roesler, Saõ Paulo et Rio de Janeiro, Brésil - avril à )
Suspension - Une histoire aérienne de la sculpture abstraite 1918 - 2018 (Palais d'Iena, Paris, et Galerie Olivier Malingue, Londres, octobre à )[18],[19]Revue de presse[20]
The Brutal Play (Fondation CAB[21], Bruxelles, mars à )
Hans Hartung. A Constant Storm. Works from 1922 to 1989 (Galerie Perrotin, New York, )[22]
Co-direction scientifique du catalogue de l’exposition « Dynamo. Un siècle de lumière et de mouvement dans l’art. 1913-2013 », Éditions de la Réunion des Musées nationaux-Grand Palais, Paris, 2013, 360 p, repris dans le dossier d'Encyclopædia Universalis consacré à l'art cinétique[60].
Sobrino, Tours et alentours, cat. expo. Galerie Jousse, Paris, 2013.
Julio Le Parc. Soleil froid, cat. de l’expo magazine Palais, no 17, printemps 2013, p. 8-27[61].
L’absent le plus en vue. Le spectre de la peinture chez James Turrell, Immersions, cat. expo. (sous la dir. de Dorothée Deyriès-Henry), Musée de Valence, Valence, 2011, p. 36-52.
Attentate auf den Sehnerv, « Afterimage » und andere Wahrnehmungstörungen in der Kunst der sechziger Jahre (Attentats contre le nerf optique, « Afterimage » et autres dérèglements perceptuels dans l’art des années 1960), Nachbilder. Das Gedächtnis des Auges in der Kunst (sous la dir. de Werner Busch et de Carolin Meister), Diaphanes Verlag, Zurich, 2011, p. 95-106.
Les Excitables d’Esmeraldo ou le cinétisme en vivarium, Sérvulo Esmeraldo, cat. expo. Paris, Maison européenne de la photographie, 2010, p. 20-25, 49-54.
« Hyper-Optical and Kinetic Stimulation, "Happenings" and Films in France », Summer of Love : Psychedelic Art, Social Crisis and Counterculture in the 1960s, édité par Christoph Grunenberg et Jonathan Harris, Liverpool, Liverpool University Press et Tate Liverpool, 2005, p. 281-302[64].
Notes et références
↑Association Internationale des Critiques d'Art, « Liste des membres », sur aicafrance.org.
↑IKT INTERNATIONAL ASSOCIATION OF CURATORS OF CONTEMPORARY ART, « IKT Active Members », sur iktsite.org.
↑Musée de Valence, Dorothée Deyries-Henry, Matthieu Poirier et Philippe-Alain Michaud, Immersion, Volume #1. Franz Ackermann / Elisabeth Ballet / James Turrell, Musée de Valence, (ISBN978-2-9539322-0-1, lire en ligne)
↑(en) Christoph Grunenberg, Jonathan Harris et Jonathan P. Harris, Summer of Love: Psychedelic Art, Social Crisis and Counterculture in the 1960s, Liverpool University Press, (ISBN978-0-85323-929-1, lire en ligne)