Elle fit partie de « l'élite des portraitistes », selon Jules Renouvier, auteur d'Histoire de l'art pendant la Révolution : « Les peintres accrédités pour le portrait étaient alors Laneuville, la citoyenne Auzou, élève de Regnault, et la citoyenne Bouliard, élève de Duplessis. Ils se partagèrent, avec Ducreux et Colson, les personnages de l'époque. […] Où trouver maintenant les portraits de Ducreux, de Dumont, de Colson, de Laneuville, de Mlle Bouliard et de Mme Auzou[3] ? ».
↑Voir (en) Yuriko Jackall, « Recovering the Work of Marie-Geneviève Bouliar (1763-1825). The Invention of Self in Revolutionary France », Cahiers d'histoire de l'art, no 7, , p. 48-60 (ISSN1763-0894)
↑Discutée, la date de décès est désormais irréfutable : Archives nationales, MC/ET/XX/901, , inventaire après décès de Marie Geneviève Bouliard-peintre, demeurant rue du faubourg Montmartre, no 17, décédée le , au château d'Arcy, commune de Vindecy, chez monsieur et madame de Saint-Cyr.
↑Walter Shaw Sparrow, Women painters of the world, from the time of Caterina Vigri, 1413-1463, to Rosa Bonheur and the present day, Londres, The Art and Life Library, Hodder & Stoughton, 1905 (en ligne).
(en) Louise Govier, « Bouliar, Marie-Geneviève », dans Delia Gaze (dir.), Dictionary of Women Artists, vol. 1 : Artists, A-I, Londres / Chicago, Fitzroy Dearborn Publishers / Routledge, (ISBN9781884964213), p. 295-297.
(en) Yuriko Jackall, « Recovering the Work of Marie-Geneviève Bouliar (1763-1825). The Invention of Self in Revolutionary France », Cahiers d'histoire de l'art, no 7, , p. 48-60 (ISSN1763-0894).
Yuriko Jackall, « Un nouveau tableau de Marie-Geneviève Bouliar », Cahiers d'histoire de l'art, no 12, , p. 80-82 (ISSN1763-0894, lire en ligne).