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Trouver des sources sur « Maison forte de la Tour (Châteauvieux) » :
Un diplôme impérial de 1184, comprenant l'exercice des regalia sur les possessions temporelles de l'évèque de Gap, confirme notamment ses droits sur Châteauvieux. L'évêque de Gap était seigneur unique de Châteauvieux[3],[4].
En 1652, la seigneurie passe dans les mains de Aimé de Colombet, puis par le jeux des alliances, Elie Rochon de La Peyrouse en prend la possession en 1681[11].
Galerie
Maison forte de la Tour, hameau de Villevielle, Châteauvieux, Hautes-Alpes, Carte de Cassini, 1756.
Bibliographie
Répertoire archéologique de la France, , 614 p. (lire en ligne), p. 163,
Joseph Roman, Tableau historique des Hautes-Alpes, mandement de Châteauvieux, Gap, AD Hautes-Alpes (lire en ligne)
Jean Grosdidier de Maton, Armorial Haut-Alpin : Subdélégations de Gap, d'Embrun et de Briançon, vallées cédées, mandements hauts-alpins des Baronnies, du Beaumont, de l'Oisans et de la Provence, Versailles, Mémoire et Documents, , 681 p.,
Notes et références
↑Répertoire archéologique de la France, , 614 p. (lire en ligne), p. 163.
↑Jean Grosdidier de Maton, Armorial Haut-Alpin : Subdélégations de Gap, d'Embrun et de Briançon, vallées cédées, mandements hauts-alpins des Baronnies, du Beaumont, de l'Oisans et de la Provence, Versailles, Mémoire et Documents, , 681 p.