Il émigre aux Pays-Bas, dans les États allemands et enfin en Grande-Bretagne. Retiré à Londres, il reçoit du gouvernement britannique une petite pension. Lors de la signature du Concordat de 1801, il refuse de se démettre et signe toutes les réclamations anticoncordataires jusqu'à sa mort trois ans plus tard, en 1804[6].
↑(en) William White, Notes and Queries, Oxford University Press, (lire en ligne), p. 88
↑Journal d'un chanoine du Mans, Nepveu de La Manouillère (1759-1807), 772 pages (dont 32 en couleurs) avec 52 illustrations et un glossaire de 22 pages, texte intégral établi et annoté par Sylvie Granger, Benoît Hubert et Martine Taroni, préface de Philippe Loupès, Presses universitaires de Rennes, 2013 (ISBN978-2-7535-2774-4), page135.
↑Notes de Mr Le Vallois, curé de Saint-Maclou de Pontoise de 1744 à 1779 publiées par Henri Le Charpentier dans Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, tome.IV, Pontoise, 1883, p. 99.
↑Etienne Denis Pasquier, Mémoiresdu chancelier Pasquier, Paris, Plon-Nourrit, 1894, 4e édition, p. 9. En ligne.
↑Sur les cérémonies du départ de Grimaldi du Mans voir Journal d'un chanoine du Mans... Op. Cit., pages 301 à 304.
↑Armand Jean, Les évêques et les archevêques de France depuis 1682 jusqu'à 1801, Paris et Mamers, p. 328
Thierry Trimoreau (sous la direction de) : Histoire des évêques du Mans (version grand public, chez Siloé, 2018, 370 pages et version scientifique & universitaire, chez Art et Civilisation du Maine & LFCV, 2020, 420 pages).