Par l'ancienne route nationale 314 (reliant Forges-les-Eaux à Eu) qui la traverse et sa proximité à l'A28, elle constitue un carrefour local relativement important.
Le bourg est le terminus de la ligne de bus Dieppe - Londinières.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
Typologie
Au , Londinières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (63,5 %), prairies (28,2 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 696, alors qu'il était de 669 en 2013 et de 618 en 2008[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Londinières en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,1 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 57,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,2 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
7,1
3,9
9,7
Logements vacants (en %)
8,3
8,1
8,2
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Lundinarias, variation Nundinarias en 872-875[13]; Nundinarias en 875[14]; Lundinarias en 1034 environ (Jean Adigard des Gautries, 1958 p. 301)[13].
Il s'agit d'une formation toponymique en -arias, suffixe féminin (-aria) à l'accusatif pluriel. Le premier élément Londin- < Nundin- semble s'expliquer par le latin nundĭnae, nundinārum « marché »[14], d'où le sens global d’« (emplacement) de marché »[15]. Ce lieu était donc occupé par un marché, ce qu'il est d'ailleurs resté[14].
Remarque : le passage de Nundinarias à Londinières s'explique par un phénomène de dissimilation du [n] initial que l'on retrouve dans Longjumeau (Essonne, NongemellumXIe siècle)[14].
Histoire
L'élément le plus marquant de l'histoire du village est la découverte fortuite, en 1846, par Paul-Henri Cahingt, un fermier et érudit local, accompagné de l'abbé Cochet d'environ 400 fosses taillées dans la craie et qui renfermaient parfois plusieurs corps. Les sépultures étaient orientées ouest-est et disposées en rangées nord-sud. Comparativement aux nécropolesmérovingiennes analogues de Douvrend ou d'Envermeu, le mobilier exhumé est relativement peu luxueux (aucune pièce d'or ou dorée). Dans ce mobilier se trouvent : des plaques boucles en bronze datées du VIIe siècle, des fibules, une abondante céramique (150 pots, des vases, des assiettes) et un peu de verrerie. Le grand nombre d'armes découvertes sur le site et leur type montrent qu'il s'agissait de guerriers francs (avec femmes et enfants) : on dénombre pas moins de 130 scramasaxes, une vingtaine de breitsaxes, trois spatha (épées), une quinzaine de haches dont une francisque, des fers de flèches, 75 lances, un umbo de bouclier en fer, etc[16],[17].
La halle dite aux grains (blé, seigle, pois, vesce, lentille, sainfoin...) est édifiée en 1835. Au-dessus sont alors installées la mairie, dans un local de location, et une salle d’audience pour la justice de paix. La Halle au beurre est construite dans un second temps entre le perron de l’église et le monument aux morts. Après la suppression des foires, ce bâtiment a été transformé en l'hôtel-de-Ville[19].
Le circuit de Dieppe sur lequel se sont courus quatre Grands prix de l'ACF passait par Londinières.
La ville accueille[Quand ?] une école maternelle (école "les Jeunes-Pousses"), une école primaire, dotée d'une 3e classe pour la rentrée 2017-2018[29] (école du Tilleul), et un collège (collège Paul-Henri-Cahingt).
Le lycée d'enseignement général le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Il y a aussi un lycée professionnel et agricole à Neufchâtel-en-Bray. Le canton de Londinières possède un lycée d'hôtellerie situé à Smermesnil.
Santé
L'hôpital le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Le CHU le plus proche est celui de Rouen.
La commune dispose[Quand ?] d'une pharmacie, de cabinets d'infirmiers libéraux, trois médecins généralistes, un dentiste, un kinésithérapeute, une maison de retraite. Elle dispose également d'une maison pluridisciplinaire de santé.
Grâce à l'aide de la région et du département, qui ont subventionné de 510 000 € l'équipement, la commune, classée déficitaire par l’Agence régionale de santé depuis 2005, s'est équipée en 2016 d'une maison de santé pouvant accueillir jusqu’à 12 praticiens : kinésithérapeutes, généralistes, dentistes[30],[31]...
Équipements sportifs
La commune dispose[Quand ?] de plusieurs équipements sportifs tels que deux gymnases (dont un est exclusivement réservé à la pratique du tennis) ainsi qu'un stade de football. La commune est également proche d'un terrain de motocross connu dans la région.
Près de l'étang ont été installés en 2019 six appareils de fitness en libre-service[32]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2022, la commune comptait 1 233 habitants[Note 1], en évolution de −2,99 % par rapport à 2016 (Seine-Maritime : +0,35 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
L'Union sportive de Londinières, fondée le a fété en 2022 ses cent ans. A cette occasion, le nouveau stade de la commune a été baptisé stade Laurent-Coquin, du nom du président de ce club de 1999 à 2021[37],[38].
Manifestations culturelles et festivités
Le premier week-end de septembre une fête-foraine s'installe dans le centre bourg[39].
L'activité économique principale du bourg est l'agriculture. Londinières possède cependant une zone d'activités en cours de commercialisation[Quand ?], qui contient quelques entreprises. Notamment SERAPID, entreprise spécialisée dans l'industrie high-tech et dans l'équipement théâtral (élévateur, changement de décors...). Celle-ci embauche environ 80 salariés et a un chiffre d'affaires situé aux alentours de 20 millions d'euros.
La société SERAPID possède une autre antenne en France située à Rouxmesnil-Bouteilles et une autre à Détroit, aux États-Unis.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Notre-Dame L'église Notre-Dame de Londinières date du XVIe siècle. L’édifice s’écroule sous les bombardements du (allemand) et du (anglais). Il ne reste plus alors que le clocher et le transept nord, fort ébranlés eux aussi, et qu’il faudra d’ailleurs consolider en 1954. Les travaux de restauration débutèrent en 1955. Autrefois placé au centre de l’édifice, le clocher s’inscrit désormais latéralement dans la nouvelle construction. Il abrite trois cloches pesant 1 200 kg, 800 kg et 350 kg dénommées respectivement : Louise-Céline, Marie et Marie-Louise Céline. La nouvelle nef est très vaste et bien éclairée par les grandes baies vitrées latérales. Elle comporte également un vitrail moderne dédiée à la Vierge Marie. L’église compte quelques œuvres d’art : une dalle tumulaire, un très beau Christ restauré, une table de communion, un orgue à tuyaux (construit par la facture d'orgues Roethinger en 1962) et quelques statues anciennes dont un « saint Sébastien » en bois transpercé de flèches.
Le clocher dominant la partie moderne de l'église.
Vue générale de l'église ainsi que la place principale de la ville.
Église Saint-Melaine, à Boissay-sur-Eaulne, en damiers de pierres et de briques roses, avec une toiture d'ardoises et un clocher quadrangulaire massif. Au dessus deu porche se trouve une pierre ornée de la salamandre, symbole de François Ier Ancienne église paroissiale, elle a appartenu à l'Abbaye Notre-Dame du Bec dès le XIIe siècle. Peu fréquentée, car de nombreux habitants étaient protestants, elle tombe complètement en ruines lors d'un orage de 1708. Elle est reconstruite jusqu'en 1758, restaurée ou remaniée en 1771, 1828, 1986 et 1996, à la suite d'un effondrement du sol[40].
Paul Henri Cahingt (1825-1914) : il réalisa des fouilles de sites du Néolithique, gaulois et mérovingiens sur Londinières et sa région. Il a découvert de nombreux objets[41] dont quelques-uns sont exposés au collège qui porte son nom à Londinières ainsi qu'au musée des Antiquités de Rouen (pour la plus grosse partie).
Henri Cahingt[42] (1856-1943), son fils, professeur au collège de Dieppe, auteur de nombreux ouvrages, né à Londinères.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Abbé Jean-Eugène Decorde, Essai historique et archéologique sur le Canton de Londinières, Neufchâtel-en-Bray, Imprimerie Duval, , 327 p. (lire en ligne), p. 174.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bCharles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, 2 t., Paris, 1982 - 1984, p. 568 (lire en ligne sur Dico-Topo) [1]
↑Isabelle Rogeret, La Seine-Maritime 76, in Carte archéologique de la Gaule, éditions de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris 1998.
↑David Duarte, « 400 tombes mérovingiennes découvertes il y a 170 ans : C'est une découverte faite il y a plus de 170 ans. Une nécropole de 400 tombes, datant de l'époque des premiers Francs, à l'endroit même de la colline surnommée « le mont blanc » », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑« D'un siècle à l'autre à Londinières », Le Réveil édition Bresle Somme Oise, no 3707, , p. 8.
↑Norbert Dufour et Christian Doré, L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN2-86743-179-4), p. 98.
↑Cynthia Lherondel, « Après la démission de Michel Huet : un nouveau maire sera élu vendredi 27 avril 2018 à Londinières : Suite à la démission du maire de Londinières, Michel Huet, une réunion de conseil municipal est organisée vendredi 27 avril 2018 pour élire le nouveau maire », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le )« Il quitte sa fonction de maire mais il restera conseiller municipal. Il conservera aussi son poste de président à la tête de la Communauté de communes de Londinières. Il a adressé une lettre d’explications d’environ une page aux Londiniérais afin d’expliquer sa décision « et dire que je voulais une transition avec Armelle Biloquet ». Son adjointe à la vie sociale et associative, devrait lui succéder. Même si rien n’est acté, comme le confirmait Michel Huet, il y a quelques jours ».
↑Réélu pour le mandat 2014-2020 : Cynthia Lhérondel, « 64,86% des électeurs ont fait le déplacement aujourd'hui à Londinières pour les élections municipales. Face à eux, une seule liste: celle du maire, Michel Huet. », Le Réveil, (lire en ligne) et « Une équipe municipale rajeunie à Londinières », Paris Normandie, (lire en ligne).
↑« Armelle Biloquet, élue maire de Londinières à l’unanimité : Armelle Biloquet succède à Michel Huet à la tête de la mairie de Londinières. Elle a été élue à l'unanimité. Une succession logique qui s'est concrétisée vendredi 27 avril », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le )« A Londinières (Seine-Maritime), l’ancienne première adjointe, Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie vendredi 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Ce dernier reste cependant conseiller municipal et président de la Communauté de communes de Londinière ».
↑« Municipales 2020. A Londinières, Armelle Biloquet : « Nous essayerons de n'oublier personne » : Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie le 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Elle dévoile les projets qu'elle espère mener entre 2020 et 2026 », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Londinières : Armelle Biloquet, élue maire à l’unanimité : Lundi 25 mai 2020, Armelle Biloquet a été élue maire de Londinières à l'unanimité. Ses adjoints sont : Régine Martel, Jean-Marie Dumouchel et Jacques Lecourt », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cynthia Lherondel, « Une nouvelle salle de classe à l’école élémentaire de Londinières pour la rentrée : Pour accueillir dans de bonnes conditions l'ensemble des écoliers à l'école élémentaire, la municipalité a décidé la construction d'une nouvelle salle de classe. La livraison doit intervenir pour la rentrée 2017-2018 », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Raphaël Tual, « Maison de santé : ils revendiquent un « choix politique » : Deux présidents pour un chantier. En début de semaine, les présidents de Région et du Département étaient à Londinières pour visiter le projet de maison de santé », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cynthia Lherondel, « Pas de matériel, pas de cabinet dentaire à Londinières pour l’instant ! : Ouverte depuis le 1 juin 2016, la maison de santé de Londinières devait accueillir une dentiste ce mois-ci. Mais son installation est reportée », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cynthia Lherondel, « A Londinières, six appareils de fitness sont en libre-service près de l’étang : A Londinières, près de l'étang, six appareils de fitness sont désormais en libre accès. Cardio, abdos, pectoraux… Il y en a pour tous les muscles ! », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑« une Maison France services est attendue dans les prochains mois : L’arrivée d’une Maison France Services à Londinières est une affaire de mois. Le dossier avance bien et la Communauté de communes a même déjà opté pour que les locaux du CMS accueillent la nouvelle structure », Le Réveil édition Pays de Bray, no 3696, , p. 15 (lire en ligne, consulté le ).
↑Sébastien Aliome, « 1922 - 2022 : 100 ans d'histoire pour l'US Londinières le samedi 4 juin : Ce samedi 4 juin, le club de football de Londinières va fêter officiellement ses 100 ans. À cette occasion, le stade sera rebaptisé du nom de l'ancien président, Laurent Coquin », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
↑« L'US Londinières fête ses 100 ans et rebaptise son stade au nom de Laurent Coquin : L'US Londinières a fêté ses 100 ans autour d'un tournoi de football. Mais c'était aussi l'occasion d'inaugurer le stade au nom de son ancien président : Laurent Coquin », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Laurent Hellier, « Ce week-end, Londinières est en fête », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cynthia Lherondel, « A Londinières, le hameau de Boissay était une paroisse autrefois : Boissay, hameau de Londinières était autrefois une paroisse. Son nom vient du latin « Buxetum » signifiant « lieu planté de buis ». Elle a été rattachée à la commune en 1822 », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑Abbé Jean Benoît Désiré Cochet, La Seine-Inférieure historique et archéologique : Époques gauloise, romaine et franque, Paris, Librairie Derache, , 2e éd., 614 p. (lire en ligne), p. 594-595.
↑Claude Féron, « Henri Cahingt », Les présidents des Amys du Vieux Dieppe de 1912 à nos jours, Les Amys du Vieux Dieppe (consulté le ).