Agnebertus 662-675 (attesté par sa participation au concile de Saint-Pierre de Garnon en 673-675)
À partir de 675, il n’est pas assuré que le siège est occupé ; selon Robert Favreau[1], il n’y a pas de titulaire du siège assuré jusqu’en 785 ; Ulric et Dizan sont considérés comme douteux.
Il n'y a plus d'évêque résident à Saintes depuis 1802.
Par un bref apostolique du [3], le pape Pie IX a autorisé MgrVillecourt et ses successeurs à joindre à leur titre d'évêque de La Rochelle, celui d'évêque de Saintes. À partir de cette date, le diocèse est officiellement celui de La Rochelle et Saintes.
↑, inJean Combes (dir.), Histoire du Poitou et des Pays charentais : Deux-Sèvres, Vienne, Charente, Charente-Maritime, Clermont-Ferrand, éditions Gérard Tisserand, , 334 p. (ISBN2-84494-084-6, lire en ligne), p. 127
↑Robert Favreau, inJean Combes (dir.), Histoire du Poitou et des Pays charentais : Deux-Sèvres, Vienne, Charente, Charente-Maritime, Clermont-Ferrand, éditions Gérard Tisserand, , 334 p. (ISBN2-84494-084-6, lire en ligne), p. 153