John Burnside écrit aussi des nouvelles — recueil Burning Elvis (2000) — et a également publié plusieurs romans, dont The Dumb House (1997), The Mercy Boys (1999, lauréat du Encore Award), et The Locust Room (2001). Il tient encore, de manière occasionnelle, une chronique dans le quotidien The Guardian. Black Cat Bone (2011) a obtenu le Prix Forward.
Un premier recueil de poèmes (Chasse nocturne) est paru en 2009 aux éditions Meet[Lesquels ?] (Saint-Nazaire) dans une collection bilingue. Plusieurs de ses romans ont été traduits en français et publiés par l'éditeur Métailié, dans la collection « Bibliothèque écossaise ».
Publications
Poésie
The Broon Hoop (Carcanet, 1988)
Common Knowledge (Secker and Warburg, Londres, 1991)
Feast Days (Secker and Warburg, Londres, 1992)
The Myth of the Twin (Jonathan Cape, Londres, 1995)
Swimming in the Flood (Jonathan Cape, Londres, 1995)
Penguin Modern Poets (Penguin, 1996)
A Normal Skin (Jonathan Cape, Londres, 1997)
The Asylum Dance (Jonathan Cape, Londres, 2000)
The Light Trap (Jonathan Cape, Londres, 2002)
The Good Neighbour (Jonathan Cape, 2005)
Selected Poems (2006)
Gift Songs (Jonathan Cape, 2007)
The Hunt in the Forest (Jonathan Cape, 2009)/Chasse nocturne : The Hunt by Night (Meet, 2009)
Black Cat Bone (Jonathan Cape, 2011)
Nouvelles et romans
The Dumb House (Jonathan Cape, Londres, 1997)/ La Maison muette (Métailié, 2003) - traduit par Catherine Richard
The Mercy Boys (Jonathan Cape, Londres, 1999)
Burning Elvis (Jonathan Cape, Londres, 2000)
The Locust Room (Jonathan Cape, Londres, 2001)
Living Nowhere (Jonathan Cape, Londres, 2003) / Une vie nulle part (Métailié, 2005) - traduit par Catherine Richard
The Devil's Footprints (Jonathan Cape, 2007)/ Les Empreintes du diable (Métailié, 2008) - traduit par Catherine Richard
Glister (Jonathan Cape, 2008)/ Scintillation (Métailié, 2011) - traduit par Catherine Richard