L'inauguration papale est l'ensemble des étapes et cérémoniesliturgiques qui interviennent à l'issue du conclave, lui-même ayant conduit à l'élection du pape. Dès l'instant où le nouveau pape donne son consentement à son élection et indique, au cardinal doyen, le nom qu'il veut utiliser, le vote est validé par procès-verbal. Une fumée blanche est produite dans la chapelle Sixtine, accompagnée des cloches de Saint-Pierre. Le cardinal protodiacre prononce alors l’Habemus papam (« Nous avons un pape »), depuis le balcon central de la basilique Saint-Pierre. Le conclave est achevé et la cérémonie solennelle d'inauguration du pontificat peut débuter dans les jours qui suivent. Elle est suivie de la prise de possession de l'archibasilique patriarcale du Latran, qui est la cathédrale de l'évêque de Rome, c'est-à-dire le pape, considérée dans le catholicisme comme la « mère », en ancienneté et dignité, de toutes les églises de Rome et du monde.
Depuis l'inauguration du pape Jean-Paul Ier, il n'y a plus de cérémonie de couronnement du pape.
intronisation du pape[3] est parfois utilisé, en référence au trône où siège le pape : en effet, le trône, sur lequel le pape est traditionnellement assis en tant qu'évêque de Rome se trouve dans l'abside de l'archibasilique Saint-Jean de Latran à Rome. Le trône sur lequel il s'assoit en tant que pape est situé dans l'abside de la basilique Saint-Pierre de Rome. Au-dessus de ce trône, se trouve un fauteuil présenté comme ayant appartenu à saint Pierre, le premier pape. Cette relique est connue sous le nom de chaire de saint Pierre(Cathedra Sancti Petri) ;
investiture du pape : l'investiture est un acte par lequel une personne met une autre en possession d'une chose. Le pape n'est donc pas investi mais il investit lui-même les évêques ou les cardinaux[4].
Actes préparatoires à l'élection du futur pontife
Durant la période de vacance du pontificat, appelée Sede vacante, différentes étapes sont accomplies : en dehors des actes relatifs au décès du pape, ces étapes sont les suivantes :
bris de l'anneau du pêcheur : il s'agit du symbole de saint Pierre et de la papauté remis au pape au début de son pontificat. Il est brisé ou griffé par le cardinal camerlingue, en même temps que le sceau de plomb du pape, en présence des cardinaux ;
les armoiries du Saint-Siège sont remplacées par l’ombrellino, qui constitue, avec les clefs, les armes du Saint-Siège durant la sedisvacance ;
l'appartement pontifical est placé sous scellés, par le camerlingue[5].
Inauguration des pontificats à l'époque moderne (sans couronnement)
Le rite de l'inauguration du pontificat est défini par le Ordo rituum pro ministerii Petrini initio Romae episcopi (ordre du rite pour l'inauguration du ministère de Pierre évêque de Rome)[6]. Ces rites ont été modifiés le par le pape Benoît XVI[7]. Concernant la première messe pontificale, les modifications apportées visent à « mieux distinguer la célébration de la sainte messe des autres rites qui ne lui sont pas étroitement liés[8] ».
Étapes différentes des dernières inaugurations papales
Bénédiction urbi et orbi
Lorsque le nouveau pape est élu, après avoir revêtu sa nouvelle tenue et après avoir été annoncé par l'Habemus papam à la foule romaine et au monde entier, celui-ci prononce sa première bénédiction du haut du balcon de la basilique Saint-Pierre. Il s'agit de la bénédiction urbi et orbi (À la ville et à l'univers).
Appartements de fonction (scellés)
Après son élection, le pape prend possession de ses appartements dans le palais apostolique : ceux-ci se situent dans la troisième aile ou l'aile Est de la cour Saint-Damase : le bâtiment est appelé palais de Sixte-Quint. Il s'agit d'un grand édifice de 85 pièces sur trois étages qui surplombe la cour d'honneur du Vatican (cour Saint-Damase). L'appartement, où réside, le pontife se trouve au troisième étage. Il reçoit ses visiteurs, notamment les chefs d'État et de gouvernement, au deuxième étage, qui s'appelait autrefois « appartement noble », à proximité de la bibliothèque privée du pape, dont les fenêtres donnent sur la place Saint-Pierre.
Les armoiries pontificales représentent une tiare papale placée au sommet de l'écu. Les clefs de Saint Pierre[9], posées en sautoir, sous la tiare, au-dessus ou derrière l'écu, sont liées ensemble par un cordon de gueules. Celle en bande est d'or et celle en barre d'argent. Les papes peuvent y ajouter des éléments personnels sur l'écu, soit en utilisant celles de leur famille, soit en en choisissant au moment de leur élection. Ils peuvent notamment y indiquer leurs idéaux de vie, leur programme pontifical ou faire une référence à des faits ou des expériences passées.
Dès son élection, le nouveau pontife devient pape. Cette appellation est tirée du latin papa qui veut simplement dire père. Il est également évêque de Rome. Sur le plan religieux, il a d'autres titres ou appellations. À la tête du Vatican, ou État de la cité du Vatican, le pape dispose du pouvoir absolu (exécutif, législatif et judiciaire).
Le pontife dispose de ses regalia et insignes officiels qui sont un ensemble d'objets symboliques constitués par les éléments de la tenue et de la décoration propre au pape en sa qualité de chef de l'Église catholique romaine et souverain de la Cité du Vatican.
Comme tous les membres du clergé, de par sa fonction suprême, le pape a des attributs spécifiques. Il est associé au trirègne ou tiare papale, qui figure toujours dans les armoiries du Saint-Siège et sur le drapeau du Vatican. Il s'agit de la triple couronne du pape qui symbolise les pouvoirs :
d'Ordre sacré (en tant que Vicaire du Christ et successeur de Pierre, il nomme les évêques,
Cette tiare affirme le pontife en tant que père des rois, régent du monde et vicaire du Christ.
Le trirègne n'est plus porté en tant que couvre-chef depuis le pontificat de Jean-Paul Ier ce qui fait que depuis, la cérémonie du couronnement pontifical, n'a plus fait partie de l'inauguration solennelle. La statue en bronze de saint Pierre, dans la basilique vaticane, est coiffée de la tiare, le 29 juin, fête des saints Pierre et Paul. Benoît XVI est le premier pape à avoir remplacé la tiare par une mitre sur la première version de ses armoiries personnelles. Pourtant, un nouveau blason pontifical du pape Benoît XVI a vu le jour en , orné cette fois ci, selon l'usage traditionnel, de la tiare.
En tant qu'évêque de Rome, il porte la mitre : il s'agit d'une coiffeliturgique réservée aux évêques. Cette mitre remplace la tiare papale (dans les cérémonies liturgiques). Par ailleurs, il porte la calotte : autrefois appelée submitrale, car elle se porte sous la mitre, c'est une petite coiffe ronde. Elle est de la même couleur que le costume ecclésiastique, c'est-à-dire de soie moirée blanche.
Le pape peut porter deux types de croix : celle spécifique aux évêque mais aussi la croix papale qui se différencie de celle des autres membres de l'Église : elle est surmontée de 3 traverses qui correspondent à la tiare papale, au chapeau cardinalice et à la mitre épiscopale.
À l'occasion des cérémonies liturgiques, le pape est porteur de la férule : il s'agit d'un bâton pastoral (surmonté, ou non, d'une croix). Elle se différencie de la crosse épiscopale des évêques. Dans ses effets vestimentaires, le pape porte également les éléments suivants :
le fanon papal, semblable à un châle. Il est porté par le pape avec les habits pontificaux pour célébrer la messe papale. Il est constitué de deux courtes pèlerines superposées, non échancrées sur le devant et cousues ensemble au col ; celle du dessus, plus petite que celle du dessous, présente une échancrure à l'arrière. Les deux bandes de tissu qui pendent de la tiare ou de la mitre sont également appelés fanons. Le fanon est en soie rayée blanc et or doublé d'une fine raie d'amarante, bordé d'un galon d'or et décoré sur le devant d'une croix brodée de même couleur.
l'étole : il s'agit d'une bande de tissu ornée d'une petite croix placée au milieu. Elle est brodée à ses armes sur les plats. Quand le pape revêt une mosette blanche pendant l'octave de Pâques, l'étole est également blanche.
la chape est utilisée pour certaines cérémonies, en particulier les processions, la chape est une sorte de grande cape sans manches, fermée devant par une agrafe, souvent décorée de broderies et d'incrustations.
Avant les réformes liturgiques du Concile Vatican II, la tenue pontificale pouvait également comprendre :
Le Sous-cinctorium : bande de tissu brodé semblable à une manipule suspendue à la ceinture. Il est brodé d'une croix et de l'Agnus Dei.
La Falda : un vêtement particulier du pape qui forme une jupe longue qui s'étend sous l'ourlet de l'aube. Les traînes de la falda étaient si longues que le pape avait des porteurs à la fois devant et derrière quand il passait.
Le Mantum : une très longue chape qui était portée uniquement par le pape. À l'origine, il était de couleur rouge, mais plus tard a été adapté pour correspondre aux couleurs liturgiques.
Messe célébrée à la basilique Saint-Pierre
Cérémonie d'ornements liturgiques
Cette cérémonie vient en remplacement de la cérémonie du couronnement, depuis le pape Jean-Paul Ier. Elle ne comprend plus depuis ce pontife, la remise de la tiare papale.
Le pallium, selon la tradition catholique, symbolise le poids du Christ qui pèse sur les épaule du pape. Il porte le pallium, sur son étole. Il s'agit d'une étoffe de laine qui mesure 2,6 mètres. Elle arbore 5 croix rouges qui symbolisent les plaies de Jésus et deux broches symbolisant les clous de la crucifixion. Le pape Benoît XVI a innové, lors de sa prise de fonction en 2005, avec un nouveau pallium basé sur la forme antérieure du pallium (similaire à l'Omophorion porté par les évêques chrétiens orientaux). Celui-ci est repris par le pape François.
Acte d'obédience des cardinaux au pape
Après la remise du pallium et de l'anneau du pêcheur au nouveau pontife, les cardinaux affirment leur obéissance : chaque cardinal présent à la messe d'inauguration du pontificat s'avance et offre son allégeance. Durant les dernières cérémonies, les cardinaux sont représentés par quelques-uns d'entre eux.
Messe à la cathédrale de Rome (prise de possession)
Peu après son élection et sa prise de fonction, le pontife prend possession de la cathedra romana, c'est-à-dire, la basilique Saint-Jean-de-Latran à Rome[10]. Il s'agit de l'incathedratio du souverain pontife, c'est-à-dire, son installation[11]. Le trône, sur lequel le pape est traditionnellement assis en tant qu'évêque de Rome (le Cathedra Romana), est situé dans l'abside de l'archibasilique, sa cathédrale. Quant au trône sur lequel il s'assoit en tant que pape, celui-ci est situé dans l'abside de la basilique Saint-Pierre au Vatican. Au-dessus de ce trône, est installé, un fauteuil attribué à saint Pierre, considéré comme étant le premier pape. Cette relique est connue sous le nom de trône de Pierre (Cathedra Sancti Petri).
Inauguration du pape François
Dès son élection, le , le pape siège dans la salle de la chapelle Sixtine, sur la chaire ayant appartenu à Léon XIII[12].
Afin que soit prononcé l'Habemus papam, les ouvriers de la Floreria[13] suspendent un drap bordeaux, mesurant 6 mètres sur 4, qui est exposé à la Loggia des bénédictions de la basilique Saint-Pierre[12].
La première messe d'inauguration du pontificat du pape François(en) devant 150 000 à 200 000 fidèles et 132 délégations officielles de pays du monde entier a lieu le sur la place Saint-Pierre au Vatican[14]. Elle démarre par la visite du pape au tombeau de saint Pierre devant lequel il prie. La messe proprement dite a été précédée de la remise des insignes pontificaux : le pallium pétrinien est remis (imposition du pallium) en premier au pape par le cardinal protodiacre Tauran. Puis l'anneau du pêcheur est remis par le cardinal Re, premier de l'ordre des évêques : cette bague est en argent massif, et pas en or comme ses prédécesseurs[15]. Dans son homélie, le pape a invité « à avoir du respect pour tous, pour chaque personne, spécialement les enfants, les personnes âgées, tous ceux qui sont les plus fragiles et qui souvent se trouvent à la périphérie de notre cœur »[16].
Pendant une grande partie de l'histoire de la papauté, les vicaires du Christ successifs furent couronnés par une couronne particulière appelée trirègne, ou tiare pontificale. Elle symbolisait le pouvoir particulier du pape sur les autres évêques, bien que ce soit la mitre qui soit l'insigne liturgique du pape en tant qu'évêque de Rome. Elle avait plusieurs significations, notamment le triple pouvoir du pape (symbolisé par trois couronnes) : celui d'Ordre sacré, de Juridiction et de Magistère.
Le plus ancien couronnement pontifical dont on ait gardé trace est celui de Nicolas Ier en 858[17]. Le dernier fut le couronnement de Paul VI en 1963, qui abandonna peu après la pratique du port de la tiare. Aucun de ses successeurs n'a utilisé la tiare, et plus aucune cérémonie de couronnement ne fut incluse dans les célébrations d'inauguration pontificale suivantes.
Cérémonie
La cérémonie du couronnement à proprement dite était incluse dans une inauguration pontificale particulièrement longue, laquelle durait environ 6 heures. Avec le temps, les cérémonies se sont voulues plus courtes et plus accessibles, et ainsi, simplifiées. La dernière cérémonie à durer longtemps (6 heures) fut le couronnement de Jean XXIII en 1958 ; quand son successeur, Paul VI, devint pape, il simplifia la cérémonie, notamment en réduisant le nombre de rituels pratiqués à plusieurs reprises[18]. Néanmoins, lors des derniers couronnements, ceux de Pie XII, Jean XXIII et Paul VI, le pape n'était plus couronné dans la basilique Saint-Pierre même mais au balcon de la loge (sur le parvis pour Paul VI) de la basilique, pour être plus visible des fidèles.
La cérémonie du couronnement était symbolisée par la remise de la tiare. Celle-ci ne fait plus partie du rite, depuis Jean-Paul Ier. elle n'est plus portée mais n'a pas pour autant été supprimée. Si en effet Paul VI vendit sa propre tiare, et, lors de la réforme de la cour pontificale en 1969, supprima de nombreux postes participant notamment au couronnement[18], il n'abrogea pas officiellement le couronnement.
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Abandon du couronnement
Bien que Paul VI ait décidé de ne pas porter la tiare papale, sa constitution apostoliqueRomano Pontifici Eligendo continue d'envisager une cérémonie de couronnement pour ses successeurs. Cependant, ses successeurs directs, élus conformément à cette constitution, les papes Jean-Paul Ier, Jean-Paul II, Benoît XVI et François[19] ont choisi de ne pas être couronnés.
Jean-Paul Ier, qui commença son pontificat sous le signe de la simplicité et de l'humilité, préféra demander une messe d'inauguration pontificale plutôt qu'un couronnement. Il refusa également d'utiliser la Sedia Gestatoria mais finalement accepta pour les besoins de la cérémonie. À peine quelques semaines plus tard, il mourut après un règne de 33 jours. Son successeur, Karol Wojtyła, choisit le nom papal de Jean-Paul II, se plaçant dans la continuité de son successeur et se présentant avant tout comme « l'évêque de Rome », renonça donc également au couronnement.
Dans l'homélie inaugurale de son pontificat, Jean-Paul II déclare à propos du couronnement :
« Au cours des siècles passés, lorsque les successeurs de Pierre ont pris possession de leur siège, la tiare papale a été placée sur leur tête. Le dernier pape à être couronné fut Paul VI en 1963, mais après la cérémonie du couronnement solennel, il n'a jamais utilisé la tiare et a laissé le soin à ses successeurs de décider de le faire ou non. Le pape Jean-Paul Ier ne voulut pas recevoir la tiare, ce que son successeur ne veut pas non plus aujourd'hui. Ce n'est pas le moment de faire une cérémonie avec un objet considéré, à tort, comme un symbole du pouvoir temporel des papes. Le monde actuel nous appelle, nous pousse, nous oblige à regarder le Seigneur et nous oblige à plonger dans une humble et pieuse méditation sur le mystère du pouvoir souverain du Christ lui-même[20] ».
Après son long pontificat (près de 27 ans), Jean-Paul II meurt le ; son successeur issu du conclave suivant est Joseph Ratzinger, qui prit le nom de Benoît XVI. Réputé conservateur et proche des milieux traditionalistes, il est le troisième pape à ne pas être couronné, étant seulement "intronisé". Néanmoins, certaines sources telles que le journal français Point de Vue firent savoir que cette décision fut de dernière minute : selon eux, après ses deux prédécesseurs qui avaient joué la carte de la simplicité, Benoît XVI aurait décidé de renouer avec la pratique du couronnement, comme tous les papes avant 1978. Il en aurait cependant été dissuadé par le personnel du Vatican, notamment Piero Marini, le maître des célébrations liturgiques pontificales. Quoi qu'il en soit, Benoît XVI fut le premier à ne plus utiliser la tiare sur ses armoiries papales (bien qu'une version hybride la comportant soit apparue en 2010), et Marini fut congédié en 2007[18]. L'inauguration du pontificat de Benoît XVI eut lieu à Rome le .
Dans sa constitution apostolique Universi Dominici Gregis, Jean-Paul II prévoit que la cérémonie solennelle de l'inauguration d'un pontificat doit avoir lieu, mais il ne précise pas sa forme. Benoît XVI, dans sa modification du , n'a pas modifié ce point.
Couronnements historiques
Tableau récapitulatif des couronnements historiques (papes et antipapes) :
Le même jour, il est sacré évêque de Rome, probablement par le cardinal Rinaldo di Segni Conti, évêque d'Ostie e Velletri et doyen du Sacré Collège des cardinaux
Le même jour, il est sacré évêque de Rome sans doute par le cardinal Hugues Aycelin Montaigut, évêque d'Ostie e Velletri. Il est couronné à nouveau quelques jours plus tard (le seul exemple d'un double couronnement papal).
Le même jour, il est sacré évêque de Rome par le cardinal Jean Allarmet de Brogny, évêque d'Ostie e Velletri et sous-doyen du Sacré Collège des cardinaux.
Le même jour, il est sacré évêque de Rome par le cardinal Guillaume d'Estouteville, évêque d'Ostie e Velletri et sous-doyen du Sacré Collège des cardinaux.
Le 1er octobre, il est sacré évêque de Rome par le cardinal Giuliano della Rovere, évêque d'Ostie e Velletri et sous-doyen du Sacré Collège des cardinaux.
Le même jour, il est sacré évêque de Rome par le cardinal Giovanni Francesco Albani, évêque de Porto de Santa Rufina et doyen du Sacré Collège des cardinaux.
↑Dictionnaire de l'Académie françoise, volume 2, par l'Académie française - 1813- article en ligne
↑Le procès de Jean XXIII: dix semaines qui ébranlèrent l'Église par Christian Borromée article en ligne
↑L'art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, par Maur François Dantine, Charles Clémencet, Ursin Durant, François Clement - 1819 - - article en ligne
↑La Floreria est le service du Vatican chargé de la préparation des appartements pontificaux et des lieux destinés aux célébrations ou aux audiences présidées par le pape. Il est également chargé du garde-meuble, appelé Floreria Apostolica, où est conservé le mobilier nécessaire à l'aménagement de ces lieux.