Très engagé avec son ami le sculpteur Hippolyte Moulin dans la Fédération des artistes dont il est membre de la commission fédérale avec 46 autres membres et partisans de la Commune de Paris, chargés de mettre en place un programme révolutionnaire[4]. Il réalisera un portrait de celui-ci au cours de la Semaine sanglante qu'il lui dédicace « A mon ami Moulin le 21- »[5].
Rentré en France il s'installe à Samoëns, station thermale que le docteur Demartenex avait signalé en 1834 comme étant propres à combattre les affections psoriques et herpétiques[6].
Œuvres référencées
Peintures
1869 - Diane, exposée au Salon de 1869 et achetée par l'État
1932 - Alger, Exposition de la Société des beaux-arts.
Réception critique
1869 - Edmond About dans la Revue des deux Mondes, t. 81, Le Salon de 1869 : « La Diane de Mr Hippolyte Dubois quoiqu'elle sente un peu trop le modèle parisien, et un modèle qui pèche par les jambes, est une œuvre de bonne école et pleine de qualités sérieuses. »