Il participe ensuite à la guerre du Sahara occidental. En 1980 et 1981, il est commandant du secteur de l'oued Draa[6],[7]. En février-, il seconde le général Dlimi lors de l'opération Iman, qui a pour but de dégager Zag[8]. L'opération est un fiasco et dans le Polisario présentera à la presse internationale les documents saisis dans son véhicule de commandement[9]. En 1984, il commande le secteur de Zag, notamment lors de la bataille de Z'Moul Niran[10],[11].
↑Jean-Claude Santucci (dir.) et Maurice Flory (dir.), « Chronique politique Maroc », Annuaire de l'Afrique du Nord, Éditions du CNRS, vol. 1971, , p. 520-706 (lire en ligne) p. 625
↑(es) M'Beirik Ahmed Abdalahe, El Nacionalismo Saharaui, de Zemla a la Organización de la Unidad Africana (thèse encadrée par Juan Manuel Santana Pérez), Université de Las Palmas de Gran Canaria, , 451 p. (lire en ligne), p. 329
↑Daniel Junqa, « Le Front Polisario affirme avoir infligé de lourdes pertes aux forces marocaines dans la région de l'oued Draa », Le Monde, , p. 6 (lire en ligne)
↑Reuter, « Les Marocains ont pris au Polisario un équipement " très meurtrier " », Le Monde, , p. 4 (lire en ligne)
↑Pierre Branche, « Après la déroute du Front Polisario à Zag : Pour les Marocains, un fabuleux butin made in U.R.S.S. », Le Figaro Magazine, no 12495, , p. 122 (lire en ligne)