Il devient journaliste en 1968 et il écrit dans l'hebdomadaire Aspects de la France. En 1971, il participe à la fondation de la Nouvelle Action française et devient membre de son comité directeur. Il est également directeur politique de l'organe du mouvement NAF hebdo.
Condamné dans les années 1970 pour diffamation envers Alain de Benoist, il dit avoir vu ses meubles « saisis » à cette occasion[1].
En 1974, il écrit un essai remarqué sur Maurras : Un autre Maurras qui propose une lecture et une application nouvelle de sa pensée. Cette approche inédite tient compte de la tentation gauchiste de certains étudiants d'Action française, des débats que Leclerc avait engagés avec les chefs de file de la Restauration nationale : Pierre Pujo, Pierre Juhel et Bernard Mallet, et s'inspire de l'œuvre du philosophe catholique Maurice Clavel.
À propos de cet ouvrage, l'historien Jacques Prévotat observait :
« Maurras y devient soixante-huitard, moins positiviste et rationaliste que nature, moins classique que romantique, mais « révolutionnaire positif », « prophète d'un nouvel art politique » — bref, un humaniste, un nationaliste convaincu que l'homme ne peut s'épanouir qu'au sein de nations proches et protectrices, un recours pour le citoyen d'aujourd'hui, menacé par « l'univers technocratique contre lequel s'insurge le soulèvement de la vie »[2] »
Par la suite, Leclerc entre au Quotidien de Paris comme responsable des informations religieuses, tout en continuant à tenir la rubrique « Idées » du bimensuel Royaliste, organe de la Nouvelle Action royaliste (NAR).