Fourragère françaiseLa fourragère française est une décoration portée en uniforme par les membres d'une unité militaire (régiment, navire, etc.) décernée par la France à l'occasion de faits de guerre. La fourragère est portée par les membres de l'unité exclusivement durant leur temps de service au sein de cette unité. La fourragère étant l'attribut signifiant une décoration collective, elle n'est que rarement portée à titre individuel. (cf ci-dessous). Elle récompense les unités citées au moins deux fois à l'ordre de l'armée. OrigineLes origines de la fourragère française sont assez vagues en raison de la confusion faite par la plupart des auteurs entre la fourragère et les aiguillettes. La fourragère, elle, dérive du souvenir de la corde à fourrage que le soldat enroulait autour de son épaule. Elle n'avait pas de ferrets. C'était une simple corde avec de gros nœuds, de grosses tresses à ses extrémités, qu'on appelait raquettes. Il n'est cependant pas niable que les aiguillettes ont pu par la suite rappeler le souvenir des cordes à fourrage et de celles servant à lier les malfaiteurs et à les pendre au besoin. C'est de là que dérive l'anecdote suivante, si souvent racontée mais dont la source demeure totalement inconnue et qu'il est impossible de contrôler. À la fin du XVIe siècle, le duc d'Albe qui fut nommé par Philippe II d'Espagne gouverneur des Pays-Bas, ayant eu à se plaindre d'un corps de Flamands, aurait décidé que toutes les fautes commises à l'avenir par ce corps seraient punies de la corde. Les Flamands, voulant prouver qu'ils n'avaient rien à redouter, n'hésitèrent pas à porter sur l'épaule une corde et un clou pour rendre plus facile l'exécution de l'ordre. Leur conduite devant l'ennemi fut si brillante que le duc d'Albe transforma la corde en passementerie et en fit une marque honorifique pour ce corps d'élite. Si l'aiguillette est aussi ancienne que la chevalerie, la fourragère, en revanche, ne remonte pas aussi loin dans le passé. Bardin, dans son Dictionnaire de l'Armée de Terre dit, au mot aiguillettes : "Les dragons de la milice autrichienne, dans le siècle de leur création, portaient la corde à fourrage à la place et de la manière dont on porte aujourd'hui l'aiguillette sur l'habit". Or, les costumes hongrois furent adoptés en France, avec un véritable engouement, à la fin du XVIIIe siècle. De même qu'en Hongrie, la mode s'introduisit, dès lors dans nos nouveaux régiments de hussards de porter la corde à fourrage autour des épaules. Telle est l'hypothèse généralement admise et, de fait, assez acceptable ; elle n'est cependant pas toujours corroborée par les dessins ou gravures du temps. Cette première fourragère subsistera avec quelques modifications jusqu'après la guerre de 1870. À ce moment, elle disparut. Mais il importe de remarquer qu'elle ne fut jamais portée que par des troupes à cheval et par celles seulement qui étaient coiffées du shako, du colback ou du chapska. Description et portIl s'agit d'une cordelette tressée qui se porte à l'épaule gauche de l'uniforme. Une des extrémités de la tresse a la forme d'un trèfle, l'autre extrémité porte un ferret, c'est-à-dire une pièce métallique conique, selon un texte du 21 avril 1916, le ferret de la fourragère est en métal uni, il existe des ferrets ciselés de motifs aux armes ou emblèmes militaires. Au-dessus du ferret se trouve un nœud à quatre tours et une cordelette. La fourragère se porte autour du bras gauche (bouton de fixation sous la patte d'épaule, à 1 cm de la couture d'épaule). Lors des prises d’armes et des défilés, le port de la fourragère est dit "en bataille" et la partie qui est avant le ferret et le nœud à quatre tours, au lieu d’être fixée sur le bouton sous la patte d’épaule, est attachée sur l’un des boutons de plastron de l’uniforme. Le droit au port de la fourragère est accordé à tous les militaires comptant à l’effectif et inscrits sur les contrôles des corps, compagnies ou unités auxquels elle a été attribuée. Elle est remise solennellement aux recrues lors de la présentation du drapeau. La fourragère est retirée aux militaires qui ont changé de corps, mais toutefois, ceux qui se sont acquis des titres au port individuel peuvent continuer à la porter. En effet lorsqu'un individu (civil ou militaire) a participé à toutes les opérations, tous les faits d'armes ou de bravoure qui ont permis l'attribution de la décoration de l'unité, il conserve le droit de porter cette fourragère "à titre individuel" (et avec l'autorisation du chef de sa nouvelle unité) même lorsqu'il a quitté l'unité d'origine. Il doit alors arborer sur sa fourragère un écusson portant le numéro de l'unité qui a obtenu la fourragère. Types de fourragèreLa fourragère telle que nous la connaissons apparaît en 1916. La circulaire de création en date du 21 avril de la même année spécifie : "Il est créé un insigne spécial destiné à rappeler d'une façon permanente les actions d'éclat de certains régiments et unités formant corps cités à l'ordre de l'armée. Cet insigne sera constitué par une fourragère aux couleurs de la croix de guerre". En fait dès 1916 de nombreux corps avaient déjà été cités au moins une fois à l'ordre de l'armée. Ils se virent donc attribuer la fourragère nouvellement créée. Par la suite, certains régiments accumulant les actions d'éclat devaient obtenir plusieurs citations à l'ordre de l'armée. Dans le but de susciter l'émulation et de fortifier l'esprit de corps, le commandement sentit la nécessité d'établir une distinction basée sur le nombre de citations obtenues. Cette distinction devait se traduire par l'adoption de fourragères de couleurs et de formes différentes. Ces dispositions nouvelles furent officialisées par une circulaire en date du 22 février 1918. Le 9 juillet 1925, une fourragère aux couleurs de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs (T.O.E.) est créée pour les unités citées plusieurs fois. La circulaire de création est complétée en 1926 : la fourragère spéciale aux T.O.E. sera aux couleurs de la médaille militaire lorsque les unités auront mérité au moins quatre citations. Pour éviter toute confusion avec la fourragère de 1914-1918, une olive aux couleurs de la croix de guerre des T.O.E. sera, dans ce cas, placée au-dessus du ferret. Le 27 novembre 1954, une circulaire réglemente la documentation et précise qu'elle est destinée à rappeler d'une façon apparente et permanente les actions d'éclat accomplies par certaines unités citées plusieurs fois à l'ordre de l'armée, au cours d'opérations de guerre effectuées sur les différents théâtres d'opérations extérieurs depuis le 11 novembre 1918. Elle sera portée en tenue de sortie et en tenue de campagne dans les mêmes conditions que celles instituées pour les guerres 1914-1918 et 1939-1945. Sur décision du Président de la République, Monsieur Jacques Chirac, une fourragère aux couleurs de l’Ordre de la Libération a été créée, par arrêté, le 23 février 1996. Elle est destinée à pérenniser l’Ordre de la Libération et à préserver de l’oubli le souvenir des Compagnons de la Libération. Les chefs de corps de 17 unités et bâtiments décorés de la Croix de l’Ordre de la Libération se sont vu remettre cette nouvelle fourragère, des mains du Président de la République, lors d’une importante cérémonie au Mont Valérien le 18 juin 1996. Fourragères février 1918Verte rayée de rougeAux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918. Cette fourragère est portée par les unités citées à 2 ou 3 occasions à l'ordre de l'armée. Si ces citations ont été attribuées lors de la Première Guerre mondiale, la fourragère est simple. Si les citations ont été accordées lors de la Seconde Guerre mondiale, la fourragère porte une olive rouge rayée de vert. Le 16 octobre 2014, le 3e régiment d'infanterie de marine reçoit cette fourragère[1]. Jaune rayée de vertLorsqu'elle est aux couleurs de la Médaille militaire. Cette fourragère est portée par les unités citées à 4 ou 5 occasions à l'ordre de l'armée. Si ces citations ont été attribuées lors de la Première Guerre mondiale, la fourragère est simple. Si les citations ont été attribuées sur des théâtres d'opérations extérieurs, la fourragère porte au-dessus du ferret une "olive" bleue et rouge. Si les citations ont été accordées lors de la Seconde Guerre mondiale, la fourragère porte une olive à moitié jaune rayée de vert et à moitié rouge rayée de vert. RougeAux couleurs de la Légion d'honneur. Cette fourragère est portée par les unités citées à 6, 7 ou 8 occasions à l'ordre de l'armée. Si ces citations ont été attribuées lors de la Première Guerre mondiale, la fourragère est simple. Si les citations ont été attribuées sur des théâtres d'opérations extérieurs, la fourragère porte au-dessus du ferret une "olive" bleue et rouge. Si les citations ont été accordées lors de la Seconde Guerre mondiale, la fourragère porte une olive à moitié rouge et à moitié rouge rayée de vert. À l'issue de la Première Guerre mondiale, seuls 22 régiments ou bataillons sont titulaires de la fourragère rouge, sur plus de 800 régiments de toutes les armes qui ont été engagés (586 régiments ou bataillons d'infanterie, 150 régiments d'artillerie, 92 régiments de cavalerie et 11 régiments du génie). Fourragères doublesAu-delà de 8 citations à l’ordre de l’Armée, la hiérarchie de la fourragère a prévu : - la double fourragère Légion d’Honneur et Croix de Guerre pour 9, 10 ou 11 citations, - la double fourragère Légion d’Honneur et Médaille Militaire pour 12, 13 ou 14 citations, - la double fourragère de la Légion d’Honneur à partir de 15 citations. Ces 3 doubles fourragères ont à partir du trèfle une petite bride appelée "tour de bras" à la couleur de la Légion d’Honneur. Actuellement, la double fourragère Légion d’Honneur et Médaille Militaire ainsi que la double fourragère de la Légion d’Honneur n’ont été attribuées à aucun régiment ou formation, car aucun d’eux n’a obtenu plus de 11 citations à l’ordre de l’armée au cours d’une même guerre. La double fourragère Légion d’Honneur et Croix de Guerre est portée uniquement par le 3e REI (3e régiment étranger d'infanterie) et le RICM (Régiment d'infanterie chars de marine). Le 3e REI, héritier du régiment de marche de la Légion étrangère qui a obtenu 9 citations à l'ordre de l’armée au cours de la Première Guerre mondiale, a obtenu deux citations au cours de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que 4 dans des Théâtres d'opérations extérieurs, ce qui fait un total de quinze citations à l'ordre de l'armée. Le RICM, héritier du régiment d'infanterie coloniale du Maroc qui a obtenu 10 citations à l'ordre de l’armée au cours de la Première Guerre mondiale, 2 au cours de la Seconde Guerre mondiale et 5 dans des Théâtres d'opérations extérieurs, a obtenu depuis 1958 2 autres citations, ce qui en fait le régiment le plus décoré de l'armée française, avec un total de 19 citations à l'ordre de l'armée. Fourragères de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs (T.O.E.)Rouge et bleu pâle
Jaune rayée de vert avec olive rouge rayée de bleu paleCette fourragère est portée par les unités citées à 4 ou 5 occasions à l'ordre de l'armée pour des actions sur les Théâtres d’Opérations Extérieurs. Elle est aux couleurs de la Médaille militaire et comportant au-dessus du ferret une olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs. Rouge avec olive rouge rayée de bleu paleCette fourragère est portée par les unités citées à 6, 7 ou 8 occasions à l'ordre de l'armée pour des actions sur les Théâtres d’Opérations Extérieurs. Elle est à la couleur du ruban de la Légion d'honneur et comportant au-dessus du ferret une olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs. Fourragère double rouge et rouge rayée de bleu paleCette fourragère est portée par les unités citées à 9, 10 ou 11 occasions à l'ordre de l'armée pour des actions sur les Théâtres d’Opérations Extérieurs (non décernée à ce jour). Elle est à la couleur du ruban de la légion d'honneur (base et tour de bras) et à celles de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs (branche supérieure). Fourragère de l’Ordre de la LibérationAux couleurs de l'Ordre de la Libération. La fourragère se compose d’un cordon rond, doublé sur la partie formant le tour de bras, dont les fils sont de nuance vert et noir mélangées rappelant les couleurs du ruban de la croix de la Libération. Une extrémité du cordon forme un trèfle et l’autre extrémité est munie d’un ferret et d’un coulant en métal uni de la couleur du bouton de l’uniforme porté par les militaires des unités, bâtiments de guerre et formations aériennes concernées ; au-dessus du ferret le cordon forme un nœud à quatre tours. L’insigne de la croix de la Libération, d’un format réduit au tiers, est fixé entre le ferret et le nœud du cordon. Les olivesPar analogie avec les dispositions intervenues à l'occasion des hostilités qui se sont déroulées entre 1914 et 1918, il est décidé, en avril 1945, de commémorer par une fourragère les actions d'éclat ayant entrainé l'octroi d'au moins deux citations à l'ordre de l'armée aux régiments ou unités formant corps en opérations depuis le 2 septembre 1939. Il ne s'agit pas à proprement parler d'une fourragère nouvelle. En effet la forme et les couleurs de la fourragère 1914-1918 (Il n'existe pas de fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1939-1945 actuellement, mais il y a eu une fourragère aux couleurs de cette dernière, mais qui a été abandonnée au début des années 1950, car elle apportait une certaine confusion, alors pour simplifier, le système des olives a été mis en place) sont maintenues mais il est créé un système d'olives qui placées au-dessus du ferret permettent de différencier l'origine de ces deux fourragères. Cette olive d'un modèle bien défini a une double signification : - pour différencier les deux guerres, sa partie inférieure comportera soit les couleurs de la croix de guerre 1914-1918, soit celles de la croix de guerre 1939-1945. . Toutes les dispositions qui précèdent pourront paraître complexes à certains. En fait leur application est simple : tout corps quel qu'il soit se trouve obligatoirement dans l'un des trois cas suivants (abstraction faite des mérites qu'il a pu acquérir outre-mer). 1° Il a obtenu la fourragère uniquement pendant la guerre 1914-1918. Dans ce cas la fourragère aux couleurs voulues (nombre de citations) est portée sans adjonction d'olive. 2° Il s'est vu attribuer une fourragère en 1914-1918 et en 1939-1945. - Seule la fourragère de l'ordre le plus élevé sera portée quelle que soit la guerre au cours de laquelle elle a été obtenue. - La fourragère comportera deux olives; chacune d'elles rappelant les guerres auxquelles ces unités ont pris part. L'olive aux couleurs de 1914-1918 sera placée immédiatement au-dessus du ferret et l'autre lui sera superposée 3° De création récente il n'a obtenu la fourragère que postérieurement au 2 septembre 1939. La fourragère sera celle de 1914-1918 aux couleurs voulues (nombre de citations). Une seule olive aux couleurs 1939-1945 rappellera que cette distinction a été octroyée pendant le second conflit mondial. Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de la Valeur militairePour répondre à la volonté du président de la République Nicolas Sarkozy de reconnaître les mérites des unités s'étant distinguées sur les théâtres d'opérations extérieures qui n'entrent pas dans le champ de guerre ouvrant le droit à l'attribution de la Croix de guerre des TOE, le décret régissant la croix de la Valeur militaire est modifié afin de pouvoir la délivrer à des unités françaises et étrangères[3]. À l'instar de ce qui existe pour les Croix de Guerre, la croix de la Valeur militaire sera épinglée sur les cravates des drapeaux, étendards et fanions des unités citées. Elle pourra donner lieu à l'attribution d'une fourragère qui sera attribuée à une unité ayant obtenu au moins deux citations à l'ordre de l'armée sur un même théâtre. Cette fourragère, au couleur du ruban de la croix de la Valeur militaire (rouge et blanche) comporte une olive pour distinguer les unités les plus décorées[4] :
L'olive comporte une agrafe métallique portant le nom du théâtre durant lequel les citations ont été obtenues. Le 16 avril 2012, le 17e régiment du génie parachutiste devient la première unité de l'armée française à se voir attribuer cette fourragère pour ses deux citations à l'ordre de l'armée obtenues au Liban en 1980 et 1983[5]. Le 26 juin 2013, le 126e régiment d'infanterie obtient la fourragère car une deuxième croix de la valeur militaire avec palme est accroché à son drapeau[6]. Le 30 avril 2014, l'Hôpital d'instruction des armées Percy reçoit cette fourragère pour son action en Afghanistan. C'est une reconnaissance du dévouement du personnel médical et paramédical qui répond de manière exemplaire à tous les besoins de prise en charge de blessés qui lui sont acheminés[7]. Le 17 juin 2015, le GIGN reçoit cette fourragère pour son engagement en Afghanistan [8]. Unités ayant reçu une fourragèreListe des unités des quatre forces armées, des services communs et des unités étrangères ayant reçu une fourragère
Gendarmerie NationaleFourragère aux couleurs du ruban de la croix de la Valeur militaire
Armée de terreFourragère au titre de la guerre 1914-1918Fourragère aux couleurs du ruban de la Légion d’honneur et du ruban de la Croix de guerre 1914-1918
Fourragère aux couleurs du ruban de la Légion d’honneur
Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire
Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918
Fourragère au titre de la guerre 1939-1945Fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec olive aux couleurs du ruban de la Légion d’honneur et aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945
Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire avec olive aux couleurs du ruban de la médaille militaire et de la Croix de guerre 1939-1945
Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945
Fourragère au titre des Théâtres d'opérations extérieurs1°- Fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs
2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs Infanterie : 2e bataillon étranger de parachutistes (13/07/1954) ; 1er bataillon étranger de parachutistes (13/09/1954) ; Bataillon de Corée [ ex-détachement et bataillon de l’O.N.U. en Corée ] (10/11/1955) ; 4e bataillon de marche du 7e régiment de tirailleurs algériens (10/11/1955) ; 13e demi-brigade de Légion étrangère (17/03/1956) ; 3e régiment étranger d’infanterie (17/03/1956).
3°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs
Fourragère de l'ordre de la LibérationInfanterie : 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine [ex- 2e régiment de chasseurs parachutistes] ; 13e demi-brigade de la légion étrangère ; régiment d'infanterie de marine du Pacifique - Nouvelle-Calédonie ; régiment d'infanterie de marine du Pacifique - Polynésie ; régiment de marche du Tchad ; 2e régiment d'infanterie de marine [ex-2e brigade de la 1re Division de marche d'infanterie/1re Division française libre] ; centre d'instruction des réserves parachutistes ; centre parachutiste d'entraînement spécialisé ; centre parachutiste d'instruction spécialisée ; centre parachutiste d'entraînement aux opérations maritimes ; 44e régiment d'infanterie[9]. Arme blindée : 501e régiment de chars de combat ; 1er régiment de spahis. Artillerie : 1er régiment d'artillerie de marine ; 3e régiment d'artillerie de marine. Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de la Valeur militaireCavalerie : 13e Régiment de Dragons Parachutistes (29/08/2013) ; 1er Régiment de Hussards Parachutistes (01/10/2013) Génie : 17e régiment du génie parachutiste (16/04/2012) - 2e régiment étranger de génie (20/06/2013) Infanterie : 1er régiment de chasseurs parachutistes (03/06/2012) - 126e régiment d'infanterie- 2e régiment étranger de parachutistes (11/07/2013) ; 1er Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine (27/08/2013) ; 21e Régiment d'Infanterie de Marine (27/08/2013) ALAT : 5e régiment d'hélicoptères de combat (11/07/2013) Marine nationaleFourragère au titre de la guerre 1914-19181°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Légion d’honneur Brigade des Fusiliers marins (15/05/1919). 2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 Sous-marin Bernouilli (19/07/1916) ; Sous-marin Cugnot (19/07/1916) ; Chalutier Nord-Caper (19/07/1916) ; Torpilleur d’escadre Casque (15/06/1918) ; Escadrille d’hydravions de Dunkerque (15/06/1918) ; Sous-marin Monge (15/06/1918) ; Cuirassé garde-côtes Requin (15/06/1918) ; Dragueur de mines Orient (11/02/1919) ; Torpilleur d’escadre Boutefeu (14/02/1919) ; Torpilleur d’escadre Fourche (14/02/1919) ; Chalutier Paris II (14/02/1919) ; Renaudin (14/02/1919) ; Batterie de canonniers marins (17/05/1919) ; Cuirassé Bouvet (13/12/1919) ; Cuirassé Gaulois (13/12/1919) ; Dragueur Pioche (13/12/1919) ; Torpilleur d’escadre Bisson ; Sous-marin Circé ; Escadrille B.102 ; Torpilleur Bouclier. Fourragère au titre de la guerre 1939-19451°- Fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec olive à la couleur du ruban de la Légion d’honneur et aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 2°- Fourragère à la couleur du ruban de la médaille militaire avec olive aux couleurs du ruban de la médaille militaire et aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 Torpilleur SIROCO (23/08/1946) ; Sous-marin RUBIS (23/08/1946) ; 1er bataillon de fusiliers marins commandos ; 1er régiment de fusiliers marins (R.F.M.). 3°- Fourragère à la couleur du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 Croiseurs SUFFREN, MONTCALM et EMILE-BERTIN (23/08/1946) ; Contre-torpilleurs Le FANTASQUE, Le TERRIBLE et Le TRIOMPHANT (23/08/1946) ; Torpilleurs d’escadre BISON, LANSQUENET, MAMELUCK, COMMANDANT BORY et COMMANDANT RIVIÈRE (23/08/1946) ; Torpilleurs Le FOUDROYANT, BOUCLIER, BRANLEBAS, La FLORE, L’INCOMPRISE, ADROIT, La COMBATTANTE et CYCLONE (23/08/1946) ; Contre-torpilleurs TARTU, BISON, Le MALIN, LÉOPARD et CHEVALIER-PAUL (23/08/1946) ; Corvette des F.N.F.L. ACONIT ; Corvettes RENONCULE et ROSELYS (23/08/1946) ; Aviso COMMANDANT DUBOC (23/08/1946) ; Aviso colonial SAVORGNAN DE BRAZZA (23/08/1946) ; Sous-marins CURIE, ARÉTHUSE, JUNON, ORPHÉE et PROTÉE (23/08/1946) ; Croiseurs auxiliaires X. 6 EL-MANSOUR, X. 16 EL-KANTARA et X. 17 EL-DJEZAIR (23/08/1946) ; AD 90 BERNADETTE (23/08/1946) ; P. 21 CERONS (23/08/1946) ; P. 22 SAUTERNES (23/08/1946) ; Chasseurs 5, 9, 41 et 42 (23/08/1946) ; Patrouilleur MARGUERITE VI ; Chalutier ALBATROS II (23/08/1946) ; Transport JEANNE & GENEVIÈVE (23/08/1946) ; Escadrilles A.B.1, A.B.2, A.C.1 et A.C.2 (23/08/1946) ; Escadrille B. 101 (23/08/1946) ; 1re flottille de chasse [ 1 F.C. ] ; Commando parachutiste de l’Aéronautique navale ; Régiment blindé de fusiliers marins (R.B.F.M.). Fourragère au titre des Théâtres d'opérations extérieurs1°- Fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs 5e B. 2 ; Commando Jaubert (19/01/1955) ; Division navale d’assaut no 3 (19/01/1955) ; Escadrille 8.S (19/01/1955) ; 28e flottille [ ex-8e flottille ] (19/01/1955). 2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs Commando François (21/04/1952) ; Division navale d'assaut no 6 (21/04/1952) ; Commando de Monfort (12/03/1954) ; Division navale d’assaut no 1 (19/01/1955) ; 11e flottille [ ex-1re flottille ] (19/01/1955). 3°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs F.A.I.N. (25/02/1949) ; 4e flottille [ héritière de l’escadrille A.B.2. ] (25/02/1949) ; Division navale d'assaut no 2, no 4 et no 8 (17/03/1951) ; COMMANDANT ROBERT GIRAUD (17/03/1951) ; F.A.I.S. (17/03/1951) ; L.C.M. 22 (17/03/1951) ; PAUL GOFFENY (17/03/1951) ; Porte-avions ARROMANCHES (14/03/1953) ; L.C.I. 217 (21/04/1953) ; 9e et 12e flottilles (06/06/1953) ; ARQUEBUSE [ ex-LSSL 9022 ] (19/01/1955) ; RAPIÈRE [ ex-LSSL 6 ] (19/01/1955) ; HALLEBARDE (19/01/1955) ; Base d'aéronautique navale de Cát Lái (19/01/1955) ; Division navale d’assaut no 12 (19/01/1955). Fourragère de l'ordre de la LibérationSous-marin "Rubis" héritier du sous-marin mouilleur de mines Rubis (croix de la Libération par décret du 14 octobre 1941) ; frégate "Aconit" héritière de la corvette Aconit (croix de la Libération par décret du 19 avril 1943); école des fusiliers marins héritière du patrimoine du 1er régiment de fusiliers marins (croix de la Libération par décret du 12 juin 1945) ; porte-avions "Charles De Gaulle" (en l'honneur du Général De Gaulle); bâtiment de soutien à la plongée Alizé[9] Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de la Valeur militaireCommandos Marine Hubert, Trépel, Kieffer, Jaubert, De Montfort et De Penfentenyo (18/06/2014) Armée de l'airFourragère au titre de la guerre 1914-19181°- Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire Escadrille 65 (19/09/1918) ; Escadrille Spad 3 (24/11/1918) ; Escadrille Spa 62 (10/12/1918) ; Escadrille Sal 1 (17/02/1919) ; Escadrille B.R. 29 (17/02/1919) ; Escadrille C.46 (17/02/1919) ; Escadrilles B.R. 66, B.R. 108 et B.R. 111 (17/02/1919) ; Escadron de bombardement 1/93 « Guyenne » (02/12/1966). 2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 Escadrille 67 (30/07/1916) ; 1er groupe de bombardement (30/07/1916) ; Escadrille F. 55 (15/10/1916) ; Escadrille C.11 (18/11/1916) ; Escadrille V.B. 101 (25/01/1917) ; Escadrille F. 25 (07/05/1917) ; Escadrille 57 (27/05/1917) ; Escadrille A.R. 8 [ ex-F.8 ] (09/11/1917) ; Escadrille A.R. 20 (11/11/1917) ; Escadrille C. 27 (11/11/1917) ; Escadrille 228 (02/12/1917) ; Escadrille B.R. 218 [ ex-section N.F. 218 ] (12/01/1918) ; Escadrille Spa 38 (23/01/1918) ; Escadrille Spa 23 (19/03/1918) ; Escadrille Spa 15 (20/04/1918) ; Escadrille Sal 10 (24/07/1918) ; Escadrille 109 (27/08/1918) ; Escadrilles 219 et 227 (16/09/1918) ; Escadrilles 117, 120 et B.R. 127 (19/09/1918) ; Escadrilles 18 et 69 (04/10/1918) ; Escadrilles 48 et 81 (07/10/1918) ; Escadrilles 17, 52, 53 et 77 (15/10/1918) ; Escadrilles Spa 88 et Sal 203 (23/11/1918) ; Escadrilles 104, 105, 106, 107 et 123 (19/12/1918) ; Escadrille Sal 19 (25/12/1918) ; Escadrille B.R. 226 (03/01/1919) ; Escadrille 110 (19/01/1919) ; Escadrilles 33, 56, B.R. 126, B.R. 128, B.R. 129, B.R. 131, B.R. 132, B.R. 134, R. 239 et R. 240 (17/02/1919) ; Escadrille 103 « Escadrille Lafayette » [ ex-escadrille 124 ] (21/03/1919) ; Escadron de bombardement 1/93 « Guyenne » (02/12/1966). Fourragère au titre de la guerre 1939-19451°- Fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec olive à la couleur du ruban de la Légion d’honneur et aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 Groupe de bombardement 1/20 « Lorraine » (10/04/1945) ; Groupe de bombardement moyen 2/20 « Bretagne » (10/07/1945) ; Régiment de chasse 3/5 « Normandie-Niémen » (13/07/1945) ; Groupe de chasse 3/2 « Alsace » (06/09/1945) ; 2e régiment de chasseurs parachutistes (27/09/1945). 2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire avec olive aux couleurs du ruban de la médaille militaire et aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 31e escadre de bombardement moyen (10/07/1945) ; Groupe de bombardement moyen 1/22 « Maroc » (10/07/1945) ; Groupe de chasse 2/5 « La Fayette » (26/09/1945) ; Groupe de chasse 2/7 « Nice » (05/11/1945) ; Groupe de chasse 4/2 « Île-de-France » (14/11/1945) ; Groupe de chasse 1/2 « Cigognes » (25/10/1945) ; Groupe de bombardement moyen 2/52 « Franche-Comté » [ devenu groupe de transport 2/62 ] (12/08/1948) ; Groupe de chasse 1/4 « Dauphiné » (26/04/1949). 3°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 34e escadre de bombardement moyen (10/07/1945) ; Groupes de bombardement moyen 1/19 « Gascogne », 1/32 « Bourgogne », 2/52 « Franche-Comté » et 2/63 « Sénégal » (10/07/1945) ; Groupe de bombardement lourd 2/23 « Guyenne » (14/08/1945) ; Groupe de bombardement 1/31 « Aunis » (21/09/1945) ; Groupe de reconnaissance 1/33 « Belfort » (21/09/1945) ; Groupes de chasse 1/2 « Cigognes », 1/5 « Champagne » et 1/4 « Navarre » (26/09/1945) ; Groupe de bombardement 1/25 « Tunisie » (26/09/1945) ; Groupe de reconnaissance 2/33 « Savoie » (26/09/1945) ; 3e régiment de chasseurs parachutistes (27/09/1945) ; Groupes de chasse 1/7 « Provence » et 3/6 « Roussillon » (05/11/1945) ; Groupe de bombardement 1/34 « Béarn » (05/11/1945) ; 1er régiment de chasseurs parachutistes (05/11/1945) ; Groupes de chasse 1/3 « Corse » et 2/3 « Dauphiné » (25/03/1946) ; Groupes de chasse 2/2 « Berry » (19/09/1946) ; Groupe de bombardement 2/91 « Guyenne » (19/12/1957) ; Escadron de bombardement 1/92 « Bourgogne » (08/07/1958) ; Escadron de bombardement 2/92 « Aquitaine » (19/08/1959) ; Escadron de bombardement 1/93 « Guyenne » (02/12/1966). Fourragère au titre des Théâtres d'opérations extérieurs1°- Fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs Groupe de transport 1/64 « Béarn » (15/01/1955) ; Groupe de transport 2/64 « Anjou » (18/04/1955) ; Groupe de bombardement moyen 1/19 « Gascogne » (22/08/1955) ; Escadron de transport 1/64 « Béarn » (20/07/1957). 2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs 37e régiment d’aviation (10/07/1926) ; Groupe de transport 1/64 « Béarn » (30/07/1951) ; Groupe de transport 2/64 « Anjou » (11/06/1954) ; Groupe de transport 2/62 « Franche-Comté » (30/03/1955) ; Escadron de reconnaissance d’outre-mer no 80 (18/04/1955) ; Groupe de bombardement 1/25 « Tunisie » (18/04/1955) ; Groupe de bombardement 1/19 « Gascogne » (14/05/1955) ; Escadron de bombardement 2/92 « Aquitaine » (19/08/1959). 3°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs 39e régiment d’aviation (11/05/1926) ; 1er escadron du 39e régiment d’aviation (03/05/1928) ; 4e escadron du 33e régiment d’aviation (03/05/1928) ; Groupe de transport 1/64 « Béarn » (26/08/1949) ; Groupe de transport 2/64 « Anjou » (26/08/1949) ; 5e escadre de chasse (16/02/1952) ; 21e groupe aérien d’observation d’artillerie (27/05/1952) ; Groupe de chasse 3/6 « Roussillon » (01/10/1952) ; Escadrille de reconnaissance d’outre-mer no 80 (26/11/1952) ; Escadrille de liaisons aériennes no 52 (26/11/1952) ; Escadrille de liaisons aériennes no 53 (08/04/1953) ; 23e groupe aérien d’observation d’artillerie (27/07/1953) ; Groupe de chasse 1/9 « Limousin » (08/09/1953) ; Groupe de bombardement 1/19 « Gascogne » (22/09/1953) ; Groupe de chasse 1/6 « Corse » (24/10/1953) ; Groupe de bombardement 1/25 « Tunisie » (21/11/1953) ; Groupe de chasse 2/8 « Languedoc » (21/11/1953) ; Groupe de chasse 1/8 « Saintonge » (21/11/1953) ; Groupe de chasse 2/6 « Normandie-Niémen » (24/10/1953) ; Groupe de chasse 1/21 « Artois » (17/02/1955) ; Groupe de chasse 2/21 « Auvergne » (30/03/1955) ; Escadron de bombardement 2/92 « Aquitaine » [ Olive ] (19/08/1959). Fourragère de l'ordre de la LibérationEscadron de chasse 2/30 "Normandie-Niemen" ; escadron de chasse 1/30 "Alsace" ; escadron de chasse 2/5 "Ile-de-France" ; escadron de chasse 3/33 "Lorraine" ; groupe aérien mixte 56 "Vaucluse"[9] Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de la Valeur militaireEscadron d'hélicoptères 1/67 "Pyrénées" (19/09/2013) ; commando parachutiste de l'air no 10 (19/09/2013) ; commando parachutiste de l'air no 20 (19/09/2013) ; commando parachutiste de l'air no 30 (19/09/2013) ; Escadron de chasse 3/3 "Ardennes" ; Escadron de chasse 1/3 "Navarre" Service de santé des arméesFourragère aux couleurs du ruban de la croix de la Valeur militaireLe Centre Médical des Armées des Alpes devenu le 7e Centre Médical des Armées(remise le 23 juin 2013). Hôpital d'Instruction des Armées Percy (remise le 30 avril 2014). Unités étrangèresFourragère au titre de la guerre 1914-19181°- Fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire Section sanitaire américaine no 646 [ ex-S.S.U. no 5 ] (21/03/1919) ; 2e régiment de lanciers belge ; 15e régiment d’infanterie de l’armée portugaise (04/04/1958). 2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 Russie : Bataillon de légion russe (19/12/1918). Grande-Bretagne : Section sanitaire automobile anglaise no 2 de la 72e division d’infanterie (15/05/1919). États-Unis : Section sanitaire américaine 539 (21/03/1919) ; Section sanitaire américaine 625 [ ex-S.S.U. no 1 ] (21/03/1919) ; 18e régiment d’infanterie américain (25/08/1919) ; 9e régiment d’infanterie U.S. (28/08/1919) ; 23e et 28e régiments d’infanterie américains (28/08/1919) ; 5e et 6e régiments d’infanterie de marine U.S. (28/08/1919) ; 6e bataillon de mitrailleurs U.S. (28/08/1919) ; 16e et 26e régiments d’infanterie U.S. (03/02/1920) ; 2e et 3e bataillons de mitrailleurs américains (18/06/1920) ; 2e régiment de génie américain (31/08/1920) ; 1er régiment de génie américain (18/12/1920) ; 1er bataillon de mitrailleurs américain (18/12/1920) ; 5e, 6e et 7e régiments d’artillerie américains (18/12/1920) ; 2e bataillon de transmission américain (18/12/1920) ; 4e bataillon de mitrailleurs américain (08/08/1921) ; 12e, 15e et 17e régiments d’artillerie de campagne américains (08/08/1921) ; 1st Field signal battalion et les services (08/08/1921). Fourragère au titre de la guerre 1939-19451°- Fourragère avec olive aux couleurs du ruban de la médaille militaire et aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 États-Unis : 16th, 18th et 26th infantery regiments U.S. (01/12/1950) ; 5th et 7th field artillery battalions U.S. (01/12/1950) ; 1st engineers battalion U.S. (01/12/1950) ; 1st signal company U.S. (01/12/1950). 2°- Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945 753rd tank battalion 36th I.D.U.S. (08/08/1950) ; 434th et 439th troop carrier groups (01/12/1950). 1St. infantry division : Headquarter and headquarters company (01/12/1950) ; Artillery headquarter and headquarters battery (01/12/1950) ; 32nd et 33rd field artillery battalions (01/12/1950) ; 103rd antiaircraft artillery automatic weapons battalion (01/12/1950) ; 1st reconnaissance troop (01/12/1950) ; 1st médical battalion (01/12/1950) ; 701st ordonnance light maintenance company (01/12/1950) ; 1st quatermaster company (01/12/1950) ; Special troops headquarter (01/12/1950) ; Military police platoon (01/12/1950) ; Band (01/12/1950). 7th armored division : 17th et 31st tank battalions (01/12/1950) ; 23rd armored infantry battalion (01/12/1950). 104th infantry regiment U.S. ; 82nd airborne division : Headquarter and headquarters company (01/12/1950) ; 325th glider infantry regiment (01/12/1950) ; 505th, 507th et 508th parachute infantry regiments (01/12/1950) ; 82nd airborne signal company (01/12/1950) ; 307th airborne medical company (01/12/1950) ; 80th antiaircraft artillery battalion (01/12/1950) ; Headquater and headquaters battery and batterys A, B, C (01/12/1950) ; 307th airborne engineer battalion companies A et B (01/12/1950) ; Artillery headquarter and headquarters battery (01/12/1950) ; 319th et 320th gilder field artillery battalions (01/12/1950). 3rd infantry division U.S. ; 106th cavalry group headquarter ; 106th cavalry regiment ; 121st reconnaissance squadrons group ; 4th armored division : Combat command A, B, R (01/12/1950) ; Headquarter and headquarters company (01/12/1950) ; 8th, 35th et 37th tank battalions (01/12/1950) ; 10th, 51st et 53rd armored infantry battalions (01/12/1950) ; 25th cavalry reconnaissance squadron (01/12/1950) ; 24th armored engineer battalion (01/12/1950) ; 144th armored signal company (01/12/1950) ; Artillery headquarter and headquarters battery (01/12/1950) ; 22nd, 66th et 94th armored field artillery battalions (01/12/1950) ; Trains headquarter (01/12/1950) ; 126th ordonnance maintenance battalion (01/12/1950) ; 46th armored medical battalion (01/12/1950) ; Military police platoon (01/12/1950) ; Band (01/12/1950) ; 489th antiaircraft artillery automatic weapons battalion (01/12/1950) ; 704th tank destroyer battalion (01/12/1950). 79th infantry division : Band (01/12/1950) ; Artillery headquarter and headquarters battery (01/12/1950) ; Headquarter and headquarters company (01/12/1950) ; Special troops headquarters (01/12/1950) ; Military police platoon (01/12/1950) ; 79th quatermaster company (01/12/1950) ; 79th reconnaissance troop (01/12/1950) ; 79th signal company (01/12/1950) ; 304th engineer combat battalion (01/12/1950) ; 304th medical battalion (01/12/1950) ; 310th, 311th et 312th field artillery battalions (01/12/1950) ; 313rd, 314th et 315th infantery regiments (01/12/1950) ; 463rd antiaircraft artillery automatic weapons battalion (01/12/1950) ; 779th ordonnance light maintenance company (01/12/1950) ; 813rd tank destroyer battalion (01/12/1950) ; 904th field artillery battalion (01/12/1950). 9th infantry division : 1st battalion, 39th infantry regiment (17/06/1961). PrécisionsLa Brigade de sapeurs-pompiers de Paris est détentrice d'une fourragère d'or pour actes de courage et de dévouement depuis 2019. Décernée par le ministre de l'Intérieur, elle symbolise le fait que la BSPP a reçu, à titre collectif, un minimum de 3 médailles d'or pour actes de courage et de dévouement[10]. Les fourragères ne doivent pas être confondues :
Sources et bibliographies
Articles connexesNotes et références
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