Jean de Kersauson, chevalier, vivant en 1350, issu de la première famille de Kersauson, laissa une fille unique, Suzette de Kersauson, qui épousa vers 1400 Salomon Le Ny. Leur fils Hervé, seigneur de Kersauson, adopta le nom et les armes de sa famille maternelle et fonda la seconde famille de Kersauson[3]. C'est de lui que descendent tous les membres actuels de la famille de Kersauson.[réf. nécessaire]
La généalogie de la famille de Kersauson est établie de façon certaine à partir d'Hervé Ier de Kersauson[5] :
Hervé Ier de Kersauson ( -1443) épouse Marguerite du Carpont en 1418 puis Alliette de Lanros en 1427.
Jean, seigneur de Kersauson ( -1476) épouse Jeanne de Kerimel.
Jean de Kersauson épouse Jeanne de Kerenguil. Il est à l'origine de la branche de Kervelec (voir ci-dessous)
Hervé II de Kersauson ( -1495), cité à la montre de Lesneven en 1481[6], épouse Ysabeau de Pontplancoët.
Paul de Kersauson ( -1502) épouse Sibille de Saint-Georges. Il est à l'origine de la branche du Vieux-Chastel (voir ci-dessous).
Hervé de Kersauson épouse Marguerite Guillemot vers 1446. Il est à l'origine de la branche de Kerven (voir ci-dessous).
Guillaume de Kersauson épouse Gillonne du Chastel. Il est à l'origine de la branche du Chastel (voir ci-dessous).
Branche de Brézal
Le château de Brézal se trouvait dans la commune de Plounéventer[7]. Il a été remplacé au XIXe siècle par l'actuel château de Brézal[8].
Guillaume de Kersauson, fils d'Hervé II de Kersauson, lors de la montre de Lesneven le est qualifié de « premier noble de la paroisse de Guiclan » et comparut « en équipage d'hommes d'armes, avec deux archers, coustilleur[9] et page ». Il épouse en 1492 Catherine de Bouteville, fille de Jean de Bouteville, baron du Faouët.
Rolland de Kersauson épouse Louise de Launay le .
Tanguy de Kersauson ( -avant 1590) épouse Barbe Le Sénéchal en 1551 puis Claude Le Ny le .
François de Kersauson ( -avant 1610) épouse Françoise de Plœuc, puis Suzanne du Guermadeuc.
Louis de Kersauson épouse Claude Kergorlay ( - à Lanhouarneau) le .
Prigent de Kersauson, mort en 1675, marié le à Plougonven avec Françoise Le Cozic.
Jacques-Gilles de Kersauson, né le à Lanhouarneau et mort le à Paris. Il épouse Jeanne Huchet le puis, le , Marie Angélique Bonaventure Julienne de Brézal, née le à Pont-Christ et morte le à Landerneau, héritière de la seigneurie et du château de Brézal en Plounéventer[10]. Ils organisèrent dans leur château de Brézal les « veillées de Brézal », réunions littéraires et mondaines alors connues dans toute la région[11].
Marie-Yvonne-Guillemette-Xavière de Kersauson, née le à Plougonven et morte le à Paris. Le , elle épouse Hyacinthe-Joseph-Jacques de Tinténiac, né le à Quimper, paroisse de Saint-Julien (mais la famille est originaire du château de Quimerc'h en Bannalec) et mort le à Paris. Émigré pendant la Révolution française.
Louis-François-Gilles de Kersauson (frère de Jean-Jacques-Claude de Kersauson), né le à Rennes et mort en 1767. Le , il épouse tardivement Suzanne-Augustine de Coatanscours, née au château de Kerjean le et dont elle était l'héritière, ainsi que de la seigneurie de Coatanscour (en Plourin-lès-Morlaix). Dernière châtelaine de Kerjean (aucun des deux enfants du couple ne survécut longtemps), elle fut arrêtée dans son château, condamnée à mort et guillotinée à Brest le 9 messidor an II ()[13].
Rameau de Rosarnou
Le manoir de Rosarnou se trouvait dans la commune de Dinéault dans le Finistère. Ce manoir a totalement disparu de nos jours.
L'auteur de cette branche est Jean de Kersauson (fils de Tanguy de Kersauson et de Claude Le Ny), seigneur de Rosarnou, qui épouse Marie Touronce le à Plouzané. Raoul de Kersauson fit don d'un vitrail à la chapelle Saint-Exupère de Dinéault en 1635.
Branche de Guénan
Le manoir de Guénan se trouvait dans la paroisse du Minihy du Léon[14] qui regroupait les communes actuelles de Saint-Pol-de-Léon, Roscoff et Santec et désormais dans la commune de Saint-Pol-de-Léon. De l'ancien manoir de Guenan (XVe – XVIe siècle), il ne subsiste qu'une fontaine. Ce manoir fut la propriété de la famille de Kersauson, sieurs de Rosarnou (en 1505 et en 1661), puis de la famille de Kersauzon-Goasmelquin.
Jean de Kersauson (fils cadet d'Hervé II de Kersauson et de Ysabeau de Pontplancoët), seigneur de Rosarnou, marié avec Catherine du Quinquis, est à l'origine de cette branche.
Rameau de Kervelec
Le manoir de Kervelec se trouvait à Plouzané (Finistère). Ce manoir a totalement disparu de nos jours.
Jean de Kersauson épouse Jeanne de Kerenguil.
André de Kersauson épouse Marie du Bois.
François de Kersauson épouse Louise Le Jacobin, dame de Keramprat.
André de Kersauson épouse Anne Le Garo, dame de Kervelec en Plouzané.
Prigent de Kersauson ( -1648), seigneur de Kervelec épouse Marguerite Gourio.
Guillaume de Kersauson, seigneur de Kervelec, épouse Jacquette Le Gac puis Louise de Châteauneuf.
Charles de Kersauson, né le à Landerneau et mort le à Plounéventer, seigneur de Kervelec et Creac'hpiquet, épouse Louise-Marguerite Prigent, dame du Cosquer.
Hervé-Louis de Kersauson, né le et mort le à Brest, épouse Marie-Françoise de Goudelin (1672-1747), fille de François de Goudelin, sieur de Goasmelquin[15] en Plouégat-Guérand, le à Morlaix.
Jean François Marie de Kersauson, né le à Brest et mort le à Morlaix, seigneur de Goasmelquin, promoteur auprès des États de Bretagne des projets de canaux de la Loire à Rennes et au Blavet. Il épouse d'abord Joséphine Jeanne Thérèse de Kerouartz, puis Françoise-Suzanne Mol de Kerjean ( -1775), fille d'Olivier Mol, seigneur de Kerjean-Mol[16] en Trébabu.
Marie Jeanne Josèphe de Kersauson du Vijac, née le (?)[17] à Guipavas et morte le à Saint-Pol-de-Léon. Elle épouse Charles François de Villiers de l'Isle-Adam (1745-1769)[18] le à Kerjean-Mol en Trébabu, puis Michel Marie Jegou du Laz, comte du Laz, sous-préfet de Quimperlé, le à Morlaix.
Jean Marie de Kersauson, né le à Trébabu et mort le à Pamplemousses (Île Maurice), épouse Rosalie Marie Marthe Tribard du Drecey le à Moka (Île Maurice).
Jean Marc Charles de Kersauson, né le à Trébabu et mort le à Morlaix, seigneur du Vijac (Vizac)[19] en Guipavas, épouse Marie Anne Perrine de Chassarel de Saint-Paul le à Morlaix.
Maurice-Pierre-Joseph de Kersauson-Kerjean, né le à Brest, lieutenant des vaisseaux du Roi, chevalier de l'Ordre de Saint-Louis, épouse Antoinette Agathe Julie Maillard du Mesle le . Il émigre pendant la Révolution française (mais il meurt en 1795) et le château de Goasmelquin devient bien national[20].
René Armand Constant de Kersauson-Kerjean, né le à Trébabu et mort le à Trébabu, épouse Marie Louise Reine du Dresnay de Montrelaix le à Saint-Pol-de-Léon. Il fut maire de Trébabu entre 1807 et 1822 et entre 1834 et 1861. Plusieurs de ses descendants ont aussi été maires de Trébabu dans le courant du XXe siècle.
René Cado Robert Marie Joseph de Kersauson, né le au château de Kerjean-Mol en Trébabu et mort le au même endroit, épouse Marie Alexandrine Bahezre de Lanlay.
Branche de Penhoat
Le manoir de Penhoat[21] se trouvait à Saint-Frégant (Finistère). Le nom de Penhoat ("la lisière du bois" en français) est très fréquent en Bretagne : il ne faut par exemple pas confondre de manoir de Penhoat avec le château de Penhoët, situé dans la commune voisine de Saint-Thégonnec et qui était le fief de la famille de Penhoët. Mais l'homonymie laisse supposer que le manoir de Penhoat était peut-être une dépendance du château de Penhoët.
Guillaume de Kersauson, fils d'Hervé I de Kersauson, est à l'origine de la branche des Kersauson de Penhoat, épouse vers 1447Gilonne du Chastel, fille d'Olivier du Chastel et de Jeanne de Malestroit. C'est lui qui achète en 1440 le manoir de Penhoat[22],[23] en Saint-Frégant, manoir que ses descendants habiteront jusqu'en 1563. Mort après 1483. il fut sénéchal de Landerneau en 1472.
Guénolé de Kersauson, sieur de Penhoat, marié avec Anne-Catherine de Langoueznou, originaire de Plouvien. Il représente son père aux montres de 1481 et 1483.
Guillaume II de Kersauson, sieur de Penhoat, épouse le Catherine de Lescoët.
Guillaume III de Kersauson, sieur de Penhoat, épouse le Claude de Cornouaille, du manoir de Lossulien, paroisse de Guipavas (commune du Relecq-Kerhuon désormais).
François de Kersauson, sieur de Penhoat, époux de Marie de Kergadiou, mort le au manoir de Penhoët en Saint-Frégant.
Vincent-Gabriel de Kersauson, sieur de Penhoat, époux de Marie du Drenec, mais tous leurs enfants moururent en bas âge.
Guillaume IV de Kersauson (fils cadet de François de Kersauson, mort le et inhumé à Saint-Frégant, et Marie de Kergadiou), devint écuyer et sieur de Penhoat après la mort de son frère. Marié d'abord avec Marie du Quenquis, puis avec Marie de Kerangarz, héritière du château de Pennendreff en Plourin. Il quitte le manoir de Penhoat pour s'installer à Pennendreff.
Tanguy de Kersauson, sieur de Pennendreff, épouse le Gabrielle Rannou, dame du Glazeou, puis le Françoise Huon de Kermadec. Il meurt en 1664 et est enterré à Lanrivoaré.
Joseph-Hervé de Kersauson, sieur de Pennendreff, épouse le Marie Audren, originaire de Landunvez. Il meurt avant 1687.
François-Louis de Kersauson, né le au château de Tromeur en Landunvez.
Nicolas, comte de Kersauson de Pennendreff, né le , écuyer, est lieutenant de vaisseau et membre de l'Ordre de Saint-Louis. En 1740, alors qu'il était enseigne de vaisseau sur le Juste, il eût les deux jambes blessées à la suite d'un accident ; par la suite il embarque sur la Vénus, puis sur le Formidable. Il épouse le Marie-Marguerite du Four, originaire de Brest. Il meurt en 1773 et est enterré à Lanrivoaré.
Jean-Marie, comte de Kersauson de Pennendreff, né le à Plourin, épousa en 1790 Marie-Anne-Guillemette Torrec de Basse-Maison. Un temps emprisonné à Carhaix pendant la Révolution française, il devint maire de Plourin et conseiller général du Finistère. Mort au château de Pennendreff le et inhumé à Lanviroaré.
Nicolas Joseph Marie de Kersauson, né le 12 brumaire an III () à Plourin, marié avec Jeanne Marie Aimé Bérubé
Nicolas Hippolyte Marie de Kersauson, né le à Brest, mort le à Brest, marié avec Émilie du Saisy Quinquis ; mariés le à Saint-Frégant.
Robert Marie de Kersauson de Penandreff(af), né le à Brest. Il part pour le Transvaal en 1899 lorsqu'éclate la guerre des Boers. Ayant appris l'afrikaans, il est détaché dans un corps d'élite de l'armée boer, il organise la guerilla des derniers Boers luttant contre la domination anglaise dans le Namaqualand, puis s'enfuit à travers le Sud-Ouest africain allemand et lance une ultime attaque contre la ville du Cap après même la capitulation des Boers. Pendant la Première guerre mondiale, il se bat héroïquement, en particulier à Verdun. Entre 1919 et 1939 il travaille pour la firme Citroën en Afrique centrale. Mobilisé en 1939 avec le grade de chef de bataillon, il est atteint par la limite d'âge en 1940 et finit sa vie, en compagnie de son épouse Marie Louise Goutorbe en Afrique du Sud où il avait obtenu la nationalité sud-africaine[25]. Mort le à Franschhoek (Afrique du Sud).
Armand Marie I, comte de Kersauson de Pennendreff, né le à Morlaix, époux de Marie de Coataudon, puis en 1835 de Pauline-Marie-Jeanne Huchet de Cintré, originaire de Cintré en Ille-et-Vilaine. Mort le à Rennes.
Armand-Marie II, comte de Kersauson de Pennendreff, né à Rennes en 1837. Il entre en 1855 à l'École militaire. Devenu officier, il est blessé à un bras lors de la bataille de Frœschwiller, puis prisonnier des Prussiens à Dusseldorf, doit subir l'amputation du bras. Marié avec Adélaïde de Saisy de Kerampuil. Il quitte l'armée en 1880 avec le grade de chef d'escadron d'état-major. Officier de la Légion d'honneur.
Henri Marie de Kersauson, né le à Pacé (Ille-et-Vilaine), marié le à Lorient avec Angélique Augustine Fanny Jan de la Gillardaie.
Henri Marie Joseph de Kersauson, né le à Lorient, marié le à Nostang avec Marie Anne Léontine de Harscouet de Saint-Georges. Mort le à Nantes.
Robert Léonce Henri de Kersauson de Penandreff, né le à Nostang, vicomte[réf. nécessaire], mort le à Alicante (Espagne). Fait Saint-Cyr (promotion « Metz et Strasbourg»). Pendant l'été 1940, il rallie la France libre et prend le commandement du 1er régiment de spahis marocains, puis il commande pendant l'été 1941 la première unité blindée de la France libre et participe aux combats d'El Alamein[26]. Devient général. Marié le à Crach avec Anne Marie d'Aboville.
Arthur de Kersauson[28], marié avec Clotilde d'Urso, belle-fille du mannequin et designer Inès de La Fressange.
Florent de Kersauson de Pennendreff, né le au Mans, est un homme d'affaires français qui n'est pas, comme il le prétend, créateur de la Route du Rhum[29]. Marié à Sybile Marie Cécile Michele de Sevin, dont trois enfants, remarié à Catherine Rose Hirsch, dont deux enfants ;
Le manoir de Coathuel se trouvait à Châteauneuf-du-Faou. Ce manoir a totalement disparu de nos jours.
François de Kersauson, fils cadet de Guillaume IV de Kersauson et de Marie de Kerangarz, est l'auteur de ce rameau.
Branche du Vieux-Châtel
L'origine de cette branche remonte à Paul de Kersauson ( -1502) marié à Sibille de Saint-Georges.
Yves de Kersauson, marié avec Jeanne Tanguy.
Jean de Kersauson épouse Jeanne Le Prince.
Paul de Kersauson épouse Mademoiselle de Penhoët, puis Marie du Mescam (ou Mesguen).
Hervé de Kersauson, né le à Plouescat, épouse Catherine du Faou (ou Fouern).
François de Kersauson, né le à Plouescat et mort en 1632, épouse Marie de Kerouartz.
François de Kersauson, né le à Plouescat, épouse en 1633 Catherine de Kerguvelen.
Tanguy de Kersauson, né le à Plouescat et mort le à Plouescat, épouse Anne de Coëtnempren, puis Brigitte Huon le à Landerneau.
Hamon Nicodème de Kersauson, né le à Cléder et mort le à Plouescat, épouse Anne Agnès Le Levier de Rumadry le à Morlaix.
François-Joseph Hamon de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Plouescat, épouse Françoise Rose de Lantivy de la Ferrière le à Rennes, paroisse de Saint-Sauveur.
Honorat François Joseph Louis de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Morlaix, épouse Gillette Anne Françoise de Penmarc'h le à Saint-Frégant, mort le à Saint-Frégant.
François Joseph Denis de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Buléon (Morbihan) et mort le à Morlaix, épouse Cécile Marie Perrine Drillet de Lannigou.
Louis Guillaume de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Morlaix et mort le à Plouezoc'h (Finistère), épouse Olympe Françoise Louise de Bahuno de Kerolain le à Hennebont.
Ludovic Marie François de Kersauson du Vieux-Châtel, né le à Hennebont, conseiller général et mort le à Plouezoc'h[31] épouse Marie Françoise Louise du Dresnay le à Plouigneau.
Louis de Kersauson-Vieux-Châtel, né le à Morlaix et mort le à Paris. Grand propriétaire foncier. Conseiller général du Finistère. Officier de mobiles pendant la guerre de 1870. Il fut élu député du Finistère au scrutin de liste (d'opinion monarchiste, il fut le premier élu de la liste conservatrice) et siégea entre le et le , membre de l'Union des droites. Il fut battu en 1889 dans le cadre d'un scrutin par circonscription dans celle de Morlaix et abandonna alors la vie politique[32].
Rameau de la Ferrière
François Joseph Hamon de Kersauson, né le à Plouescat, décédé en 1774, chevalier, seigneur du Vieux Chastel, se marie en 1724 avec Françoise Rose de Lantivy, héritière du château de la Ferrière en Buléon, laquelle décède en 1732.
Leur fils Honorat François Joseph Louis de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Morlaix (voir plus haut), s'est marié quatre fois. De sa quatrième épouse, Laurence Thérèse Jacquemine Girard de La Haye est né entre autres :
Louis Marie Laurent de Kersauson de La Ferrière, né le à Buléon (Morbihan), marié le à Merdrignac avec Marie Josèphe Louise Ange De La Ville Gontier de La Boullaye.
Son petit-fils Louis Marie de Kersauson (1855-1909) fut maire de Buléon (Morbihan) entre 1896 et 1909.
Branche de Kervern
Hervé II de Kersauson, sixième enfant d'Hervé I de Kersauson et d'Alliette de Lanros, qui épousa Marguerite Guillemot (Guillamot), dame de Kerven et du Plessis, vers 1446 est à l'origine de la branche des Kersauson de Kervern (le château et la seigneurie de Kerven se trouvaient en Plonéis)[33].
Alliances
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↑Elle est indiquée comme née le sur le registre paroissial de Guipavas, mais cela est impossible puisque son frère Jean Marie est né le 2 juillet 1747 à Trébabu, d'où la modification de date effectuée.