Famille Jouan de Kervenoaël

Famille Jouan de Kervenoaël
Image illustrative de l’article Famille Jouan de Kervenoaël
Armes des Jouan de Kervenoaël

Blasonnement De gueules au lion d'or, armé et lampassé d'argent, accompagné de trois annelets d'argent, deux et un[1],[2]
Devise « Bon renom »
Branches Jouan de Penanec'h, de La Ville-Jouan (éteintes) et de Kervenoaël (subsistante)
Période XVe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du duché de Bretagne Duché de Bretagne
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau de la France France
Charges Conseiller au Parlement de Bretagne
Maires de La Verrie et d'Osmery
Conseillers généraux de la Vendée et du Morbihan
Député français
Fonctions militaires Intendant général, général de brigade, officiers supérieurs
Fonctions ecclésiastiques Chanoine du diocèse de Quimper et Léon
Récompenses militaires Ordre royal et militaire de Saint-Louis
Ordre national de la Légion d'honneur
Médaille militaire

La famille Jouan de Kervenoaël est une famille subsistante de la noblesse française, d'ancienne extraction, originaire de la province du Léon en Bretagne.

Elle compte parmi ses membres des ecclésiastiques distingués, plusieurs officiers supérieurs et généraux, un député de la Vendée dans les années 1920, et des dirigeants d'entreprises aux XXe siècle et XXIe siècle.

Historique

La famille Jouan ou Jouhan est originaire du pays de Léon, où elle est signalée dès 1213, avec la mention de Jehan, ou Jahon, dans une donation faite à Saint-Aubin par Etienne de Coron, son beau-frère. Lors de la Guerre de Succession de Bretagne, Hervé Jouan, chevalier breton, combat dans le parti de Jean de Montfort, à la bataille d'Auray, où il meurt le 29 septembre 1364.

Généralités

La filiation établie sur titres authentiques, débute avec Yves Jouhan, chevalier, seigneur de Guiscané et de Penanec’h en Saint-Renan et de Keranmoal en Milizac. Il faisait partie des sept archers à cheval de la chambre et compagnie de messire Guy de Beaumont, seigneur de Bressuire, et se voit maintenu dans son ancienne noblesse à la réformation de 1426[3]. C'est lui qui aurait adopté les armes de gueules au lion d'or, armé et lampassé d'argent, accompagné de trois annelets d'argent, deux et un[4].

Au fil du temps, la famille se sépare en de nombreuses branches, notamment les Jouan de Penanec’h, Jouan de la Villejouan et Jouan de Kervénoaël, cette dernière branche étant la seule subsistante aujourd'hui[5],[6]. Elle s'est divisée au XIXe siècle en trois rameaux principaux, encore représentés aujourd'hui[7],[8].

La famille Jouan a été reconnue noble d’ancienne extraction par arrêt du Parlement de Bretagne du 7 mai 1675, prouvant sa filiation sur cinq générations et fut maintenue par arrêt du Conseil en date du 9 juin 1712[9].

Du XVIIIe siècle au XXe siècle

Hobereaux bretons, volontiers hommes de robe et de loi, les Jouan embrassent avec passion la vie intellectuelle et littéraire du Siècle des Lumières, époque où naît probablement l'aphorisme en forme de jeu de mots, « En Jouan point de soucis »[2], qui célèbre un esprit de famille pétillant et heureux[10].

Cela ne les empêche pas de payer un tribut douloureux aux gloires militaires de la France.

Antoine Jouan de Penanec'h (v.1660-1695), tué au siège de Namur en 1695, avait laissé un vivant souvenir dans la famille, par la lettre empreinte de courage et d'abandon qu'il écrivit sur son lit de mort[11]. Emigré au moment de la Révolution, Bernard Jouan de Kervenoaël (1763-1795), lieutenant des Gardes-Côtes, participe dans le Régiment du Dresnay au Débarquement de Quiberon, où il est blessé et fusillé au champ des Martyrs d'Auray, malgré la promesse du général Hoche de conserver leur vie sauve aux Émigrés qui s'étaient rendus. Nicolas-Gabriel Jouan de Kervenoaël (1799-1872), garde-corps de Charles X, démissionne en 1830[10]. Son fils, Émile Jouan de Kervenoaël (1824-1859), capitaine d'état-major, meurt en 1859 à la bataille de Solférino, après s'être distingué à Montebello où il est fait chevalier de la Légion d'Honneur sur le champ de bataille[12].

Frère cadet d'Emile, Henri Jouan de Kervenoaël (1826-1920) rejoint de son côté le corps militaire de l'Intendance[10]. Il y fera une brillante carrière, partipant au siège de Paris en 1870, et devenant, comme Intendant Général, l'un des hauts cadres du Corps de l'Intendance[13], alors que la logistique, l'un des points faibles de l'Armée française lors de la guerre franco-prussienne, fait l'objet de toutes les attentions. Établi en Vendée par son mariage en 1862 avec Lydie Maillard de La Gournerie (1841-1924), il est l'auteur d'une branche prolifique.

Son fils aîné, Émile (1865-1945), comte de Kervenoaël, fait une carrière politique, devenant tour à tour maire de La Verrie, conseiller général puis député royaliste de la Vendée (1924-1928)[14]. Henri (1870-1940), son cadet, vicomte de Kervenoaël, officier de cavalerie, participe de son côté à l'aventure coloniale au Maroc, puis, après la Grande Guerre où il est décoré pour sa bravoure, est fait général de brigade en 1927. Hervé de Kervenoaël (1895-1974), fils d'Emile, pilote d'observation, fait, quant à lui, preuve d'une grande intrépidité dans les airs, avec six citations de guerre[15], alors que son frère Louis de Kervenoaël (1900-1917), engagé volontaire au 56e Régiment d'artillerie, meurt au champ d'honneur à Douaumont en 1917[16].

Jeanne de Kervenoaël (1873-1956), de la branche de Pontivy, fille de Charles (1837-1923), conseiller général du Morbihan[17], marque, de son côté, l'histoire de sa ville, s'occupant des pauvres et des indigents. Elle adopte sa nièce et son neveu, orphelins, donnant naissance à la famille de L'Escale Jouan de Kervenoaël, toujours présente à Pontivy.

Sous l'Occupation, Bernard de Kervenaoël (1912-1970), autre neveu de Jeanne de Kervenoaël, alors jeune officier de cavalerie, est l'un des dirigeants du Maquis de la Montagne Noire[18], qui résiste avec éclat aux occupants allemands en 1944.

Époque contemporaine

Retrouvant des traditions anciennes dans leur famille, certains Kervenoaël se sont illustrés au XXe siècle au barreau. L'un d'eux, Michel Jouan de Kervenoaël (1913-2017), issu de la branche de Saint-Pol-de-Léon, avocat près la Cour d'appel, est bâtonnier du barreau de Rennes en 1968-1970[19].

A l'époque contemporaine, les Kervenoaël restent présents dans la robe, le monde de l'entreprise, les Armées, mais aussi le nautisme et la voile sportive[20]. Maurice de Kervenoaël, ancien dirigeant d'entreprises, est aujourd'hui un écrivain à succès, auteur de romans historiques, inspirés en partie par l'histoire de sa famille.

La famille Jouan de Kervenoaël a adhéré à l'ANF en 1948[21] et est représentée au Jockey Club.

Personnalités

  • Hervé Jouan (v.1330-1364), chevalier breton, tué à la bataille d'Auray le 27 septembre 1364[22]
  • Gabriel Jouan (1510-1577), écuyer, seigneur de Pennanec'h et de Kercharles, docteur ès droit de l'Université de Ferrare[23], avant de devenir conseiller au Parlement de Bretagne et au Présidial de Quimper.
  • Antoine Jouan de Penanec'h (v.1665-1695), capitaine au Régiment de Maulévrier, mort de ses blessures au siège de Namur en août 1695[24].
  • Bernard-Marie Jouan de Kervenoaël (1763-1795), lieutenant des Gardes-côtes, émigré[25], sergent au Régiment du Dresnay, mort le 30 juillet 1795 après le débarquement de Quiberon[26],[27].
  • Émile Jouan de Kervenoaël (1824-1859), capitaine d'état-major, tué a la bataille de Solférino le 24 juin 1859, chevalier de la Légion d'Honneur, décoré sur le champ de bataille de Montebello[12].
  • Henri Jouan, comte de Kervenoaël (1836-1922), Intendant général des Armées, ancien conseiller municipal et président des Comités de la Croix-Rouge et de la Société de secours aux blessés militaires de Nantes[28], commandeur de la Légion d'Honneur[13], Grand-Croix de l'Ordre de Saint-Stanislas de Russie[29].
  • Charles Jouan de Kervenoaël (1837-1923), ingénieur agronome, conseiller général du Morbihan pour le canton de Pontivy (1895-1913).
  • Émile Jouan, comte de Kervenoaël (1862-1945), docteur ès droit, maire de La Verrie, conseiller général et député de la Vendée (1924-1928)[30].
  • Henri Jouan, vicomte de Kervenoaël (1870-1940), officier de cavalerie, général de brigade, commandeur de la Lêgion d'Honneur[31].
  • Mikaël Jouan de Kervenoaël (1872-ap.1937), chanoine du diocèse de Quimper et Léon, directeur du Grand Séminaire de Quimper, curé-doyen de Pleyben, restaurateur de l'abbaye du Relec[32].
  • Jeanne Jouan de Kervenaoël (1873-1956), infirmière militaire, présidente de la Société des Infirmiers et brancardiers de l’Arvor et de l’Association Valentin-Haüy, administratrice du bureau de bienfaisance et conseiller municipal de Pontivy (1945-1956)[33].
  • Hubert Jouan (1894-1972), comte de Kervenoaël, ancien pilote d'aviation, agent général d'assurances et maire d'Osmery (1959-1972)[34].
  • Hervé Jouan de Kervenoaël (1896-1972), officier, pilote d'observation, puis viticulteur, titulaire de six citations de guerre, officier de la Légion d'Honneur[13].
  • Louis Jouan de Kervenoaël (1900-1917), engagé volontaire dans l'Artillerie, mort pour la France au champ d'honneur, médaillé militaire[16].
  • François Jouan, vicomte de Kervenoaël (1901-1984), officier de marine, capitaine de frégate puis administrateur de sociétés. Commandant des sous-marins « Amazone » (1934-1936) et « Rubis » (1938), officier de la Légion d'Honneur.
  • Bernard Jouan de Kervenoaël (1912-1970), dit le "Capitaine Saint-Michel", chef d'escadron de cavalerie, fondateur et chef, sous la Résistance, des Maquis du Tarn, adjoint opérationnel et instructeur militaire du Maquis de la Montagne Noire[35],[18],[36], officier de la Légion d'Honneur.
  • Michel Jouan de Kervenoaël (1913-2017), avocat près la Cour d'appel, bâtonnier de Rennes (1968-1970), président national de l'Association Flandres-Dunkerque, officier de la Légion d'Honneur[19].
  • Maurice de Kervenoaël (né en 1936), dirigeant d'entreprises, ancien directeur général de Kronembourg et de la Société Européenne de Bières, ancien vice-président d'Hermès International, ancien président des Champagnes Laurent-Perrier, écrivain, auteur de romans historiques[37], officier de la Légion d'Honneur.

Alliances

Les principales alliances de la famille sont : Calamaign (v. 1420), de Kermorvan (1449), Le Vayer (1481), du Beaudiez (v. 1510), de Kernezne (1526), de Kerlec'h (1551), de Rosmadec (1575), Éonnet (v. 1620), Le Bihan (1650), Bobet de Lanhuron (1658), Coran (1678), du Vergier de Kerhorlay (1687), du Chastenet (1730), de Malherbe (1744), Le Coat (1747), Le Guillou de Keranroy (1758), de La Porte (1764), Le Verger du Cosquer (1785), Hervé de Penhoat (1789), Le Forestier de Quillien (1802), de Gras (1826), de Montmonier (1833), Lamandour (1837, 1866), de Parcevaux (1842), Maillard de La Gournerie (1861), Jégou du Laz (1884), de Fontaines (1887), de Saint-Exupéry (1892), de La Lande de Calan (1896), de Guibert (1898), de Saint-Vincent (1898), de Talhouët de Boishorand (1901) Jouon des Longrais (1906), de Couhé de Lusignan (1907), Le Rouge de Rusunan (1907), Frain de la Gaulayrie (1908), de L'Escale (1909), Ribal (1911), Meynard de Franc-Maillane (1912), Pantin de La Guère (1919), Michel de Monthuchon (1920), Dubost (1921), du Boüays de La Bégassière (1922), d'Andoque de Sériège (1923, 1948), du Hamel de Canchy (1925), Bouvet de La Maisonneuve (1927), de Turgy (1930), d'Estampes (1931), de Reinach-Hirtzbach (1931, 1943), de Rodellec du Porzic (1932), d'Aviau de Ternay (1932), de Sars, (1936), de Lantivy de Trédéon (1937), Delacour (1942), Ducoux (1948), de Kerouartz (1948), de Rancourt de Mimérand (1948), de Perier (1951), de Girard de Charnacé (1954), de Lallemant de Liocourt (1956), Dugenet (1956), Angier de Lohéac (1958), Le Borgne de Boisriou (1958), Brugerolle de Fraissinette (1960), Guyot du Buisson (1962), Cochon de Lapparent (1962), Joire (1965), de Roquemaurel (1965), Piquet (1966), de Labouchère (1965), Sas Witicki (1966), Blomart (1969), Nielly (1969), d'Harcourt (1971), Pinoteau (1971), de Grave (1972), du Mesnil (1974), de Lambert des Granges (1974), Fernet (1975), Fresneau (1977), Potel (1979), de Kervasdoué (1979), d'Oiron (1980), d'Anthenaise (1983), de Bastard de Saint-Denis (1984), de La Hamayde (1989), Lefèvre-Moulenq (1992), Dupont (1994), de Ghaisne de Bourmont (1997), Lequette (1998), de Pommereau, du Merle (2004), Fabre-Falret (2008), de Feydeau de Saint-Christophe, Mayaud (2011), Manac'h (2012), Manzoni di Lugo (2012), Paret (2013), Renaud (2014), Gouriou (2024)...

Fiefs et seigneuries

La famille Jouan a possédé les seigneuries du Mesgouëz, de Guicsané et de Kerdirizien, paroisse de Plouzané, de Pennanec'h et de Keranamoal, paroisse de Milizac, de Kervénigan, paroisse de Trébabu, de la Garenne, de Goazambrun et de la Ville-Jouan, paroisse de Châteaulin, de Kermerien, paroisse de Guiler, de Kervenozaël, paroisse de Guiscriff, de Kerbearec, de Thimoter[2]....

Propriétés

Armoiries

Les Jouan de Kervenoaël portent De gueules au lion d'or, armé et lampassé d'argent, accompagné de trois annelets d'argent, deux et un.[2].

Leur devise est Bon espoir[46] ou Bon renom[2].

Titres

La branche formée par les descendants de l'intendant général Henri de Kervenoaël, porte, depuis la fin du XIXe siècle, les titres de courtoisie de comte et vicomte de Kervenoaël[10]. Les autres branches ne sont pas titrées.

Postérité

Voir aussi

Bibliographie

  • Notice généalogique sur la famille Jouan de Kervenoaël, 1880[50].
  • MM. de Talhouët, du Grandlaunay et de Kervenoaël, Généalogie de la famille Jouan de Kervenoaël : 1213 à 2008, 2008.
  • Michel Démorest, La dynastie de Jouan de la Villejouan : et ses alliances, Éditions généalogiques de la Voûte, 2011.
  • Maurice de Kervenoaël, L'arbre et les racines. Les braises du passé, 2010.

Notes et références

  1. Guy Le Borgne, Armorial breton, Ferré, 1667.
  2. a b c d e f g et h Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, volume 2, J. Plihon et L. Hervé, 1890, p.61.
  3. Pol Potier de Courcy, Nobiliaire de Bretagne, ou tableau de l'aristocratie bretonne depuis l'établissement de la feodalite jusqu'a nos jours, Saint-Pol-de-Léon, 1846, p.187
  4. Des pierres armoiriées représentant l'écusson des Jouan, surmonté dun cimier et accompagné de la devise "Bon espoir", datées du XVe siècle, sont encore visibles au château de Kervéatoux, en Plouarzel. Elles proviendraient du manoir du Curu ou du manoir de Pennanec'h, ancienne propriété des Jouan.
  5. Depuis l'extinction de la branche aînée de La Ville-Jouan dans les femmes en 2016
  6. Les Jouan de Kervenoaël reprennent le nom du fief de Kervenozaël, acquis à la faveur du mariage, le 13 novembre 1687, de messire René Jouan, écuyer, seigneur de Kerberec, Kerarlin, Kerouldic et Kervézennec, maréchal des logis dans la compagnie de Keranstrat, avec Marie-Anne du Vergier de Kerhorlay, dame de Kervénozaël et de Kerflémic
  7. Henry Jougla de Morénas, Grand armorial de France, 1975, volume 4, p.352
  8. Rameaux de Pontivy, de Vendée-Châteaulin et de Saint-Pol-de-Léon.
  9. Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels des familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d'origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650, impr. J. Floch, 1976, p199.
  10. a b c d et e Maurice de Kervenoaël, L'arbre et les racines. Les braises du souvenir (tome 1), 2010.
  11. Notice généalogique sur la famille Jouan de Kervenoaël, 1880, p.3.
  12. a et b Base des membres de la Légion d'Honneur - Fiche d'Emile Jouan de Kervenoaël.
  13. a b et c Base des membres de la Légion d'Honneur - Fiche d'Henri Jouan de Kervenoaël.
  14. Jean Jolly, .Dictionnaire des parlementaires français: notices biographiques sur les ministres, sénateurs et députés français de 1889 à 1940, Presses universitaires de France, 1960, p.2054.
  15. Base des membres de la Légion d'Honneur - Fiche d'Hervé Jouan de Kervenoaël.
  16. a et b René Valette, Héros et martyrs de la Grande Guerre : 1914-1917. Le commandant de Kerautem, le capitaine de Fontenay, Jean, Hubert et Yvan Savary de Beauregard, Louis de Kervenoaël, Henri Lissaud, Fontenay-le-Comte, 1918.
  17. Almanach national: annuaire officiel de la République française, Berger-Levrault et cie., 1896.
  18. a et b Roger MompezatLe Corps franc de la Montagne noire : Journal de marche, avril-septembre 1944, 1994.
  19. a et b Ouest-France, édition du 2 février 2017, « Michel de Kervenoaël est décédé ».
  20. Pierrick de Kervenoaël, dirigeant du chantier Espace Vag, et Cédric de Kervenaoël, avocat et skipper lors de plusieurs courses transatlantiques.
  21. Page « La table des familles », sur le site de l'Association d'entraide de la noblesse française (lire en ligne).
  22. Bulletin de la Société archéologique de Nantes et du département de la Loire-inférieure, 1895
  23. Aux escholles d'outre-monts: Étudiants de langue française dans les universités italiennes (1480-1599) : Français, Francs-Comtois et Savoyards, Librairie Droz, 2019
  24. Pol Poitier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, volume 1, Forest, Grimaud, Aubry, 1862, p.461
  25. Liste générale par ordre alphabétique des émigrés de toute la République, 3e supplément, 1793, p54
  26. Chanoine Le Garrec, Les vrais martyrs de Quiberon (1795), Lafolye et J. de Lamarzelle, Vannes, 1935.
  27. Eugène de La Gournerie, Les débris de Quiberon : souvenirs du désastre de 1795, suivis de la liste des victimes, Libaros, Nantes, 1875, p.148.
  28. Le Phare de la Loire, édition du 15 juillet 1919.
  29. Bulletin trimestriel de la Société archéologique de Touraine. France, 1964, p.312
  30. Base de données des députés français depuis 1789 - Fiche d'Emile de Kervenoaël
  31. Excelsior, édition du 31 mars 1940.
  32. Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, tome 59, pp.38 à 154, 1932 [1].
  33. Le Cri du poilu, bulletin de l'Union nationale des combattants, édition du 1er mars 1935.
  34. a et b Les Cahiers bourbonnais et du centre, 1973, p.11.
  35. Musée de la Résistance en ligne - Combats de la Montagne noire des 20 et 21 juillet 1944.
  36. Résistances et clandestinité dans l’Aude, exposition réalisée par les Archives de l'Aude, septembre 2010.
  37. Ouest-France, édition du 27 mai 2016, « Maurice de Kervénoaël écrit son premier roman »
  38. Archives départementales du Morbihan, fonds du Grégo, 35 J 185-197
  39. a b et c Annuaire des châteaux et des villégiatures, A.Lafare, 1899, p.426.
  40. a b et c Annuaire des châteaux et des villégiatures, A.Lafare, 1910, p.430.
  41. a b c et d Annuaire des châteaux et des villégiatures, A.Lafare, 1930, p.471
  42. Guy de Rayniac, De château en logis. Itinéraires des familles de la Vendée, tome VII, Bellefonds, 1995
  43. Annuaire des châteaux et des villégiatures, A.Lafare, 1930, p.1373
  44. Bottin mondain, 1953, p.1040
  45. Abbé Pierre Merlet, Les domaines seigneuriaux en Allaire, Le Livre d'Histoire, 2006
  46. Telle qu'elle se lit sur les pierres armoiriées au château de Kervéatoux
  47. Olivier Durand,Castres et le Sud-Tarnais : hier, aujourd'hui, Martelle éditions, 1990
  48. Base nationales des adresses - Avenue Jeanne de Kervenoaël
  49. Le Télégramme, édition du 20 septembre 2012, «25 ans. La résidence de Kervénoaël s'anime»
  50. Consultable sur Gallica.bnf.fr