Fabrication de masques de protection en FranceLa fabrication de masques de protection en France a connu une baisse avant la pandémie de Covid-19. Afin de répondre aux besoins, la production est relancée. HistoireEn , la principale usine de masques en France, située à Plaintel, qui pouvait fabriquer jusqu’à 200 millions de masques par an, ferme ses portes[1]. En raison de la pandémie de Covid-19, la production est relancée en France. Début , la France comptait trois producteurs de masques de protection sur son sol. Un mois plus tard, toute une filière a pris corps, portée par plus de 300 TPE et PME sur tout le territoire, qui produisent chaque jour 500 000 masques au total[2]. ExemplesEn , l'entreprise Paul Boyé Technologies à Labarthe-sur-Lèze a relancé ses machines pour produire des millions de masques FFP2 pour les soignants[3]. En , Michelin se lance dans la production de masques sur dix sites avec pour objectif est de fabriquer 400 000 pièces par semaine[4]. Le groupe Chargeurs lance une fabrication via sa filiale Lainière de Picardie BC (usine à Buire Courcelles) sous sa marque Lainiére Santé[5]. Le même mois, une usine de la société Groupe Kolmi-Hopen située près d'Angers fonctionne 24 heures sur 24 pour produire 270 000 masques FFP2 par jour[6]. Thuasne (Levallois Perret)[7] mets au point deux modèles réservés dans un premier temps à un usage professionnel, et à destination des professionnels exposées en première ligne (police, commerçant…)[8]. Eurasia Groupe inaugure le , une usine de masques chirurgicaux et FFP2 au Blanc-Mesnil en Île-de-France[9],[10]. Notes et références
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