Il se marie avec Anne Marie Marguerite Durandeau, fille de notaire dijonnais le 6 décembre 1875 à Dijon et est alors architecte du département de la Côte-d'Or[4], fonction qu'il occupera entre 1872 et 1882[5]. Lors de la naissance de leurs deux enfants à Dijon, ils sont domiciliés au no 20 de la rue Charrue dans la même ville. Leurs fils Felix Camille Vionnois est né le 29 août 1875[6], il est un avocat dijonnais lors de son mariage à Chenôve le 5 janvier 1914[7] avec Gabrielle Marie Henriette Suisse, fille de Charles Suisse et petite-fille de Jean-Philippe Suisse. Leur fille Germaine Marie Vionnois est née le 18 juin 1879[8] et se marie le 28 mars 1903 au 10e arrondissement de Paris avec l'industriel René Eugène Henri Pigeon[9].
Restauration du Palais de justice[13],[14] et agrandissement avec le tribunal de Commerce et la prison préventive (devenue tribunal Civil[5]) entre 1877 et 1881[15]
L'école normale d'institutrices, située aux no 1 de la rue Joseph-Tissot, no 72 rue Devosge et au no 74 rue Pierre-Prudhon, en 1880[16].
L'école normale d'instituteurs, située au no 51 de la rue Charles Dumont, en 1884[17].
L'ancienne galerie était positionnée entre le no 72 avenue des Champs-Élysées et au no 55 rue de Ponthieu en 1895[25].
L'entrée monumentale était située sur la façade principale de la rue de Ponthieu et un vaste escalier conduisait à un vestibule donnant accès à la grande salle des fêtes. Le bâtiment comprenait aux étages des salles de banquet, de bal, un jardin d'hiver, un fumoir et une salle de billard. L'arrière de la galerie offrait un dégagement côté avenue. En 1912, Georges Vuitton directeur de la maison Vuitton, achète le terrain et y fait construire un immeuble Art nouveau de sept étages par les architectes Louis Bigaux et Koller. Inauguré en mai 1914, il est baptisé "Vuitton Building"[26]. Si le lieu n'existe plus aujourd'hui, il est toujours possible de voir le bâtiment d'origine rue de Ponthieu avec la signature de l'architecte en façade.