(Moi aussi, certains bandeaux me prennent bien la tête, parfois…)
Bonjour EymeryL'article consacré au Lexicon of Musical Invective de Nicolas Slonimsky a obtenu le droit de conserver son étoile comme « bon article » grâce à un nombre suffisant de votes favorables — BA pour BA, donc, mais comme les opinions et critiques constructives sont au-dessus du B.A.-BA de tant d'échanges sur tant de portails ou de pages de discussions…Le caractère « déviant », « border line » ou « hors des sentiers battus » de l'article me donne vraiment matière à réflexion (et à rougir, d'où la tonalité du dessin) — était-il si difficile de s'effacer complètement derrière son sujet, avec ses citations, ses ouvrages de références ? Si quelque chose de « personnel » devait paraître dans le texte lu et relu, ce ne pouvait être qu'à la manière de l'auteur du Page disgracié (ce qui nous change des Pages à supprimer) le rafraîchissant Tristan L'Hermite :
« Ce sont de petites herbes qui se sont glissées parmy des fleurs. »
Mon intention sera toujours de ne vous offrir que des fleurs — en adoptant alors la transparence, la minceur et la presque immédiate inutilité de l'emballage du bouquet (ne nous emballons pas…)Bien amicalement, FLours toujours7 octobre 2019 à 09:18 (CEST)[répondre]
Merci pour le commentaire sur le dessin : ça fait plaisir et puis, bon : « persiste et saigne », ça m'a paru justifié.
Pour passer outre le « ratiociné », je relève cette critique du Sunday Times à propos du « dernier Kubrick » sous la plume de Dilys Powell, le 14 décembre 1975 : « Barry Lyndon vient de surgir sur nos écrans… Le film est inattendu. Mais pas le genre d'inattendu que nous attendions. Je précise : il est d'une beauté inattendue… Ai-je dit que Barry Lyndon a "surgi" ? » (et tout ce qui s'ensuit est un éreintement systématique du film…)
Comme quoi, il pourrait y avoir aussi une « anthologie de critiques négatives (mais amusantes, et brillamment écrites, d'une plume dûment trempée dans du venin de tarentule) » appliquée aux chefs-d'œuvre du septième art
Et ce serait un terrain fertile en débats stériles, aujourd'hui avec l'importance des « films cultes » que n'a plus du tout la musique « classique »…
Bonsoir! merci de m'avoir prévenue de votre correction sur le livre de Jane Austen alors j'ai donc le livre Raisons et sentiments des éditions Hugo Poche et quand j'ai lu ce roman j'avais trouver des descriptions physiques d' Elinor et donc je les est ajouter mais je ne savais pas que ces descriptions n'étaient pas dans le livre origina l! je vous remercie pour cette information et de m'avoir prévenue pour mon ajout ! bonne soirée a vous ! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Mmonica3 (discuter), le 11 décembre 2019 à 20:45 (CET)[répondre]
Bonne année !
Tous mes vœux pour que ça change… sans que ça change trop !
Bonjour EymeryJe te souhaite trois-cent-soixante cinq jours — et plus — de bonnes choses, en vrac et en détail, sur l'encyclopédie en ligne (et dans la « vraie vie » aussi !) On est partis pour toute une année de nouveautés, de découvertes, de surprises, de travail en commun, d'intérêts partagés et d'articles étoilés ou dans tous les domaines : du beau, du bon, du grand, du profond — en plein ciel de feux d'artifices.Amicalement, FLours toujours1 janvier 2020 à 13:59 (CET)[répondre]
Bonne Année 2020 !
Meilleurs vœux pour 2020 !
Bonjour Eymery (long time no see!),
Je te souhaite, moi aussi, une année 2020 pleine de tout ce qui a pu manquer à 2019, et au cours de laquelle je serais heureux que nous puissions avoir des échanges plus fréquents. Au plaisir de te recroiser ! Bien à toi, -- — Azurfrog[नीले मेंढक के साथ बात करना]1 janvier 2020 à 14:02 (CET)[répondre]
Tristan L'Hermite AdQ
« Ça va tant que les pâtes ne sont pas trop cuites… »
Bonjour Eymery,L'article consacré à Tristan L'Hermite a obtenu le label « de Qualité » grâce à un nombre suffisant de votes favorables et une absence d'oppositions en cours de procédure. Merci voilà au moins une chose de faite. Ni fleurs ni couronnes et sans aucun enthousiasme mais le dessin, plutôt grand, m'oblige à meubler un peu :
Après tant d'efforts, que l'on juge
avec patience nos passions,
un fond mis en forme, un déluge
enrichissant de discussions,
d'additions ou de suppressions,
qui frappe & retouche la toile —
aux yeux d'une postérité
de références qui dévoile
& démontre la vérité,
dans toute sa sévérité —
cet article a bien mérité
qu'on lui accorde son étoile.
Comme annoncé, cette étoile est dédiée à la mémoire de Robert Ferrieux, qui nous manque d'autant plus qu'il fut un maître-wikipédien en littérature victorienne.
Je viens de révoquer le passage de l'article de « A » à « B », en disant que je ne voyais pas bien les domaines non couverts. Mais en regardant l'article anglais, je vois qu'il n'est noté que « C », alors qu'il dépasse les 100 000 octets ! De plus, il couvre des choses intéressantes, que je ne vois pas dans l'article français, par exemple Jane Austen dans la culture populaire du Japon depuis les débuts de l'ère Meiji...
Bon, c'est une IP qui a modifié l'évaluation dans la PDD de l'article, et donc j'en reste à ma révocation, d'autant que sa modif n'était accompagné d'aucun commentaire, et que je l'ai invité à passer par la page de discussion. Mais ça peut donner lieu à une intéressante discussion, surtout si tu envisages un jour une présentation à l'AdQ.
Salut Azurfrog ! J'ai créé l'article en mai 2016 à partir de l'article anglais de l'époque (qui faisait alors moins de 30.000 octets) et y ai travaillé jusqu'au début 2017, mais il ne s'est pas beaucoup étoffé ensuite (pas de contributeurs très actifs), alors que l'article en anglais a bien grossi depuis ! (mais n'a manifestement pas été réévalué). Ce qui a été rajouté est au début et déséquilibre complètement l'article anglais : 1 Issues in film adaptations (c'est traité dans Univers de Jane Austen#Traitement dans les adaptations ! ; 2 Austen in Asia ; 3 Austen in Americas (c'est en partie traité dans Traductions de Jane Austen) mais à l'occasion, je verrai si je peux en tirer quelque chose d'intéressant. En français il n'y a pas une austenmania aussi exacerbée qu'ailleurs ! Et je ne vise pas l'AdQ pour ce type d'articles (je préfèrerais retravailler les portraits de personnages des romans non encore étoilés (les sœurs Dashwood, les Bingley, la famille Bertram…) voire créer un article : les bad boys dans les romans de JA ! Eymery (discuter) 12 juillet 2020 à 02:47 (CEST)[répondre]
Virgile et Roger-Ducasse
Bonjour Eymery, et encore bravo pour ton superbe travail sur l'article consacré aux Géorgiques ! Pour étoffer le lien Virgile/Roger-Ducasse, à titre d'information, je viens de lire une partition peu connue (il n'existe pas d'enregistrement discographique de l’œuvre à ma connaissance par exemple) de Roger-Ducasse, Sur quelques vers de Virgile, pour chœur de femmes et orchestre, publiée et créée en 1910 (concert au Trocadéro le 29 mai). Étant piètre latiniste, je ne saurais identifier les vers en question (sans doute une traduction de Roger-Ducasse lui-même d'ailleurs), mais peut-être le pourras-tu et sera-ce utile... Je livre ici une retranscription depuis la partition : Du haut des monts, toujours plus grandes, Descendent les ombres du soir. Vers les maisons, les bergers lentement Poussent les troupeaux de blanches brebis. Dans le lointain, des feux nombreux s'allument Les fumées montent vers le ciel. Puis, tout s'assombrit. La nuit fraîche descend sur la terre Ah ! Et les astres, à leur déclin, nous invitent au sommeil. (puis vocalise sur « a »).
À toutes fins utiles ! --BerwaldBis (discuter) 17 juillet 2020 à 15:11 (CEST)[répondre]
Salut BerwaldBis ! Il s'agit plus sûrement des Bucoliques. En tous cas les 2 derniers vers de la première disent : « Déjà les toits des hameaux fument au loin, et les ombres grandissantes tombent des hautes montagnes ». On trouve dans la 2e « le soleil, qui descend, double les ombres croissantes » (v. 67). Pour le reste, à première vue, je ne vois s'il traduit des vers précis ou s'il fait de la paraphrase. Ma fois, si un jour je pousse l'article Bucoliques, je n'oublierai pas de signaler cette œuvre ! Eymery (discuter) 17 juillet 2020 à 16:07 (CEST)[répondre]
Virgile et les autres (compositeurs) classiques
(re)Coucou !
Pour info, et dans le prolongement de mon message sur ma PDD, voici quelques autres évocations de Tityre en musique classique :
d'Albert Roussel, la deuxième pièce des Joueurs de flûte, op. 27, pour flûte et piano (bon, l'article WP n'est pas terrible, mais ça donne une idée ; sinon, une émission de France Musique a été consacrée à la création de l’œuvre, à écouter en ligne) ;
le premier des six Poèmes virgiliens pour piano de Théodore Dubois ; avec une épigraphe de Virgile en ouverture de chaque partition, et matière pour d'autres sujets (petite présentation ici, partitions là) ;
Églogue op. 7, d'Henri Rabaud, pour orchestre, sous-titré "poème virgilien", avec épigraphe idoine (partition ici, livret d'un CD consacré au compositeur avec une brève analyse de la pièce là).
« Si Jane Austen ne s'est jamais mariée, on a cependant découvert, 200 ans après sa mort, deux faux certificats de mariage qu'elle avait écrit elle-même dans le registre des mariages de Steventon, probablement pendant son adolescence[1]. »
Salut le revenant ! Oui, je connaissais au moins l'existence d'un faux certificat de mariage, découvert sur The Republic of Pemberley (?) il y a un certain temps (ça a d'ailleurs été utilisé au moins dans une fanfiction que j'ai dû lire dans les Bits of Ivory, attribué, évidemment, à une toute jeune Elizabeth Bennet, et lui causant pas mal de soucis ensuite !). Mais j'avoue que j'ai un peu abandonné Jane (sauf de la maintenance). J'ai récemment craqué pour 2 bouquins illustrés par Margaux Motin (découverts ce printemps par Ulule). Pour P&P (2017) a été choisie la traduction (pas mal du tout !) de Jules Castier (1947) et pour S&S (2020) celle de Pierre Goubert. Je n'ai pas complètement abandonné l'idée de pousser un jour au les portraits de quelques personnages de S&S, mais pour l'instant, je suis dans les Bucoliques jusqu'au cou (mais je n'ai traité un peu à fond que la Première et la Quatrième Bucolique ! Et il y en a 10 ! Eymery (discuter) 12 novembre 2020 à 14:05 (CET)[répondre]
« La tristesse et la peur troublent les matelots Quand les vents mutinés font soulever les flots… »
Après une année toute en vagues, en tourbillons, sans beaucoup de visibilité mais pleine d'écueils ou d'icebergs, mais aussi de longs mois d'attente, de travaux sous la surface et de modestes progrès sur l'encyclopédie en ligne, je vous souhaite une année plus sereine, plus active, plus brillante… en un mot : superficielle Vivent les travaux de surface, mis en lumière et (comme dit un philosophe) « superficiels par profondeur » !
« Dès lors, des navigants qui craignaient le naufrage, La frayeur se dissipe aussitôt que l'orage. »
Je te souhaite une merveilleuse année 2021 (en tout point supérieure à celle qui se termine, ce qui ne devrait pas être trop difficile...), avec plein de belles découvertes sur Wikipédia et ailleurs ! Et, même si je suis devenu très paresseux, n'hésite pas à me faire signe si tu proposes de nouveaux articles à un label : je les relirais toujours avec plaisir . Au plaisir de te recroiser, Bien à toi, — Azurfrog[नीले मेंढक के साथ बात करना]4 janvier 2021 à 14:30 (CET)[répondre]
Par curiosité, une petite proposition d'article au label a été ajoutée aujourd'hui : un peu de musique classique rarissime, peu connue, mais qui mérite tant qu'on lui prête l'oreille — en effet, on s'est arrangés pour pouvoir en faire entendre au moins un peu — le Dominical de Paul Ladmirault, compositeur breton, digne élève de Fauré, etc.
Bonsoir Flopinot2012 Merci de me prévenir. Si c'est une proposition de BA, je n'ai que 15 jours ! Je vais sûrement regarder, même si actuellement je suis très prise par un projet local. As-tu eu vent du Titon et l'Aurore de Mondonville donné mardi dernier par les Arts Florissants à l'Opéra-Comique ? Un petit bijou d'inventivité scénique à (re)voir gratuitement pendant quelques semaines sur medici.tv. Eymery (discuter) 24 janvier 2021 à 21:58 (CET)[répondre]
Je ne connais que la musique de chambre de Mondonville. Ma dernière écoute d'opéra baroque était pour Hercule mourant de Dauvergne — par les Ars florissants et Christophe Rousset, mais pas à l'Opéra-Comique Mon dernier opéra dans cette salle doit être Le Roi malgré lui de Chabrier. Ça date !
Bonjour EymeryL'article Dominical de Paul Ladmirault vient d'être promu Pour fêter ça, faute de pouvoir écouter le quatuor vocal, écoutons un peu les joyeuses Variations sur des airs de biniou trégorois (no 1 : Ronde) pour piano à quatre mains.Version « de synthèse donc moche », mais ça se saurait — je crois même que ça se verrait — si j'avais quatre bras Heureusement, on m'a beaucoup aidé, je resterai profondément reconnaissant pour cette participation active et la bienveillance accordée à ce petit article.Merci d'avoir participé aux votes — et à bientôt dans de nouvelles constellations !Amicalement, FLours toujours8 février 2021 à 07:05 (CET)[répondre]
J’ai l’intention de proposer prochainement la page « Les Nuits d'été » au label « article de qualité ». Si vous estimez que la procédure est prématurée, vous pouvez me contacter pour me faire part de vos arguments.
Discussion ici, pour passer une bonne soirée à bâtons (de mesure ?) rompus
L'article sur Les Nuits d'été de Berlioz va être proposé à un label que tu connais bien : le texte est perfectible (toujours) mais complet (enfin !) et il est heureusement moins long que celui sur Tristan (et de loin ! ça m'avait fait tant de peine…) — au terme d'un long travail acharné sous Commons, etc. il n'y a pas une mais deux versions de l'œuvre qu'on peut écouter en lisant
Je voudrais lancer la procédure avant la fin du mois — si tu as un peu de temps pour lire un peu l'article, j'espère que ça te plaira… On est en plein romantisme français : poèmes de Gautier, musique de Berlioz — mais sans haut-le-cœur. Une découverte, peut-être, ou un nouveau regard / une nouvelle écoute pour une œuvre mal connue, trop longtemps et trop cruellement méprisée ?
PS : j'y pense ! Berlioz étant un lecteur fervent et fin connaisseur de Virgile, j'ai trouvé quelques petites références entre son inspiration musicale ou littéraire et certains passages des Géorgiques. J'ai dû relire un passage des Grotesques de la musique récemment, qui est assez drôle sous sa plume.
Bonjour Eymery L'article consacré aux Nuits d'été de Berlioz vient d'être promu « Article de Qualité » grâce à un nombre suffisant de votes favorables — et une absence de votes défavorables… bienvenue, pour ne pas dire inespérée — avec tous mes remerciements pour toutes ces relectures et cette participation !
Quel hommage pouvais-je rendre sinon celui du Moucheron au Lion pour notre plus ébouriffant génie musical, qui connaissait certainement mieux que moi son La Fontaine… et son Virgile ?
« Ibant obscuri sola sub nocte per umbram. Ils allaient obscurs sous la nuit solitaire, parmi l'ombre. »
J'avais déclaré, l'an dernier, que Tristan L'Hermite écrivait « autrice » comme le féminin naturel d'« auteur » dans ses Lettres mêlées publiées en 1642 (aucun rapport avec « Anne d'Autrice » ) mais je n'arrivais pas à retrouver exactement où…
C'est retrouvé (« Quoi ? L'Éternité ») enfin, avec peu de surprise : c'est dans la dernière lettre de tout le recueil (LXXXIX), d'« Ariste, pasteur illustre », où l'on retrouve ce jeu délicieusement vertigineux sur les pseudonymes que Tristan raffine comme personne.
Dans l'édition de référence, par Catherine Grisé :
Catherine Grisé (introduction et notes), Lettres mêlées (texte original de 1642), Genève, Librairie Droz, coll. « Textes littéraires français » (no 193), , XXXVIII-227 p.
p.202 : « Divine enchanteresse, ne seriez-vous point l'autrice du charme qui me détient en langueur, et pour qui la force des remèdes est impuissante ? »
À noter que Tristan, en 1642, écrit « authrice » comme on écrivait « autheur », qui a donné l'anglais author. Il écrit aussi « remedes ». L'accent grave est une invention récente, ou en cours d'établissement. N'oublions pas non plus que ce sont les Précieuses qui imposent progressivement la graphie « auteur ».
Je peux te retrouver la référence précise, sur ce point, dans un article intégré au très bel ouvrage collectif :
Bref : voilà un auteur pré-académique (Tristan entre à l'académie française sept ans après l'édition de ses Lettres mêlées) mais de première importance, dont l'œuvre devrait servir pour illustrer des cas de vocabulaire, de conjugaisons, etc. Je penserai à l'ajouter dans le wiktionnaire
Eh oui, Flopinot, on écrivait encore autrice au début du XVIIe siècle, mais dans le sens de créatrice, pas d'écrivaine ! Les puristes que sont ces messieurs de l'Académie ne pouvant accepter l'idée qu'une femme puisse faire œuvre littéraire, quand « auteur » a pris le sens d'« écrivain », son féminin a fini par être considéré comme un barbarisme et a été banni du vocabulaire. Personnellement, je préfère qu'on le réhabilite plutôt qu'utiliser « auteure » qui n'a aucune justification grammaticale (ou autoresse, qui est un anglicisme) ! Eymery (discuter) 4 mai 2021 à 22:13 (CEST)[répondre]
C'est bien ainsi que je l'entendais.
De fait, dans la lettre de Tristan (amoureuse et fictionnelle, à la manière des Héroïdes d'Ovide) le mot « autrice » n'est pas employé dans un sens littéraire professionnel. J'ai copié-collé cet exemple en sa bonne place sur le wiktionnaire.
Il semble que ce soit « la faute à Voltaire » si autrice n'a pas été retenu dans le dictionnaire de l'académie. Ne le blâmons pas trop vite : il s'adressait à des collègues convaincus, il prêchait à des convertis — et c'est assez cocasse d'imaginer Voltaire prêchant, prônant et convertissant. C'est presque aussi saugrenu que l'imaginer auteur de tragédies…
Je conserve une grande méfiance pour « auteure », qui semble n'avoir été monté de toutes pièces que pour se distinguer le moins possible de son équivalent masculin. Il y a des homophonies qui en disent aussi long que des silences.
Mauvaise nouvelle : mon PC est mort ce soir. Il fonctionnait normalement au bureau, jusqu'à 18h aujourd'hui. Chez moi, plus rien Je dois voir comment retomber sur mes pattes (d'ours) avec mon administrateur réseau etc. à Nantes demain matin… Si je ne récupère pas les données du disque dur, c'est le désespoir : il y en a pour des semaines et des semaines et des semaines de boulot personnel, sans compter les données professionnelles partagées et conservées là.
Bref, gros coup au moral. Je vais avoir besoin d'un vrai wikibreak, si ça se présente aussi mal, et on verra quand je reviendrai avec du contenu et des propositions peut-être. Dans tous les cas, c'est une perte de temps désolante.
Je compatis — j'ai vécu ça une fois — surtout si tu n'avais pas de sauvegarde à jour (disque externe ou cloud). Mes informaticiens de fils sont très pointilleux sur la sauvegarde (voire la sauvegarde des sauvegardes) des archives… En espérant que c'est juste la porte d'entrée qui s'est coincée et que tu as un bon bricoleur sous la main… Eymery (discuter) 5 mai 2021 à 09:52 (CEST)[répondre]
Bonjour Eymery Tous mes vœux pour aborder — prudemment — l'année 2022 : « Bonne année ! Bonne santé ! » (« Moi, je veux bien », comme disait sagement Erik Satie…)
Je n'avais pas tellement envie de faire un dessin… et puis, une idée stupide m'a traversé l'esprit. Certes, il est généralement réceptif à ce genre d'idées… et on est plutôt noyés que traversés par de telles idées, depuis bientôt deux ans… Enfin, qu'y puis-je ? voilà.
Tant pis si le jeu de mots a déjà été usé jusqu'à la corde (corde à piano, bien entendu) : ce sera mon équivalent pianistique et « trois-en-un » des petits singes de la sagesse* :
« Ne pas voir [le Mal], ne pas entendre, et ne pas dire »**
Respirer, tout de même, ce serait bien. Il paraît que c'est négociable…
(* Toute ressemblance avec des doses de vaccin, etc. etc. etc. Tant de choses vont par trois… ) (** …et puis, surtout : ne pas taper… )
Bonne Année !
Meilleurs vœux pour 2022 !
Hello Eymery,
Ben tiens, justement, je me disais que « mieux vaut tard que jamais » : un peu tardivement, mais pas moins cordialement pour autant, je profite donc de ton message pour te souhaiter une merveilleuse année 2022, avec plein de belles découvertes dans tous les domaines, au delà même des Bucoliques et des Géorgiques ! Au plaisir de te recroiser, même si c'est devenu aujourd'hui moins fréquent, malheureusement. Bien à toi, — Azurfrog[नीले मेंढक के साथ बात करना]23 janvier 2022 à 22:42 (CET)[répondre]
Bonne année 2023 !
« Comment ça, en retard ? Et comment ça,c'est pas la gare de La Ciotat ?… »
Bonjour EymeryTous mes vœux pour une bonne et très heureuse année 2023 Avec un petit dessin pour célébrer (pour commencer, parce que je n'ai pas eu le temps d'en faire un plus grand) le centenaire de Pacific 231 d'Arthur Honegger — je « raccrocherai les wagons » plus tard, au fur et à mesure On ne devrait pas manquer de choses à commémorer (il suffit de s'en souvenir ) ni, je l'espère, de choses à célébrer ou à fêter ensemble !Je te souhaite une pleine encyclopédie de bonnes choses pour cette année…Amicalement, FLours toujours8 janvier 2023 à 22:02 (CET)[répondre]
Toujours ravie d'avoir tes messages en musique et en dessin. J'avoue que je n'ai pas vraiment contribué cette année. Juste quelques mises à jour à l'occasion… des suppressions de vandalismes (quand elles n'ont pas déjà été faites par un boot) et des corrections orthographiques ou syntaxiques dans les articles que je lis ! A plus. Eymery (discuter) 9 janvier 2023 à 17:11 (CET)[répondre]
Excellente Année 2023 (ras-le-bol des crises !)
Meilleurs vœux pour 2023 !
Hello Eymery,
Un peu en retard, mais très cordialement néanmoins, je te souhaite une année 2023 sans souci majeur et pleine de joies dans tous les domaines ! Au plaisir de te recroiser, même si c'est devenu aujourd'hui moins fréquent, vu ma baisse d'activité. Que deviens-tu de ton côté ? Vale, Rana caerulea[नीले मेंढक के साथ बात करना]9 janvier 2023 à 10:03 (CET)[répondre]
Tu n'es pas le seul en baisse d'activité wikipédienne, chère grenouille (qu'est-ce que ça fait sérieux en latin !) Est-ce pour me rappeler que j'ai (provisoirement ?) laissé tomber Virgile que tu as choisi cette illustration ? Ç'est dur de rester serein(e) et positif quand le monde marche sur la tête !
Ah ben ça alors ! Qu'est-ce que j'apprends ? Eliza de Feuillide (oui, oui, la cousine exotique de Jane Austen) a eu son portrait peint par Joshua Reynolds, à côté de sa maman, Philadelphia, de Tysoe Hancock et de leur servante indienne Clarinda !
Tu connaissais cette œuvre de 1765 (Eliza avait alors quatre ans) ? Quel dommage que Jane Austen ne soit née que dix ans après ce tableau... j'aurais aimé qu'elle ait pu figurer sur cette belle et grande toile (1,71m de long, quand même).
Un petit cadeau pour quitter 2023 et aborder 2024 : quatre chansons populaires, ukrainiennes et russes, parce que je ne connais pas grand-chose d'aussi beau dans ce genre que j'adore — et parce que je ne connais rien de plus déchirant, en ce moment… Espérons, comme voudrait le proverbe, que « tout finisse par des chansons » !
Laetus annus novus tibi volo ! Ceci dans tous les domaines, y compris lorsqu'il s'agit d'explorer les romans médiévaux, les œuvres de Virgile ou le patrimoine architectural de ta région ! Et à nous deux, je nous souhaite aussi de nous recroiser plus souvent (comme au bon vieux temps), même si je n'intervient plus guère ces derniers temps pour créer de beaux articles, en me bornant paresseusement à me manifester sur les pages communautaires. Vale, — Azurfrog[नीले मेंढक के साथ बात करना]1 janvier 2024 à 18:22 (CET)[répondre]
↑Florence Noiville, « Les mariages dérangés de Jane Austen. Les archives du Hampshire exhument deux faux certificats de mariage de la main de l’écrivaine britannique, restée célibataire », Le Monde, (lire en ligne)