L'inauguration officielle de la rotonde a lieu le [2]. Réalisée en acier riveté, elle dispose d'une surface couverte de 6 320 m2 avec 36 voies, permettant le garage de 54 locomotives. Au centre, elle dispose d'une plaque tournante de 21 mètres de diamètre[3].
À son maximum, le dépôt eut à gérer « jusqu'à cent locomotives » et le nombre de cheminots employés sur ses différents sites, situés sur la commune, était d'environ cinq cents[4].
Les dernières locomotives à vapeur du dépôt sont radiées le [5].
La rotonde complète est détruite à la dynamite le [2]. Seul subsiste le pont tournant[3].
Matériel roulant affecté au dépôt
Locomotives à vapeur 030A (de 1922 à 1924 et de 1927 à 1937)
Locomotives à vapeur 030TB (de 1924 à 1961) et 030TU (de 1962 à 1965)
↑Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau français : lignes 601 à 990, vol. 2, Paris, La Vie du rail, , 239 p. (ISBN978-2-918758-44-0), « [905/4] Clelles-Mens - Veynes, [905/5] Veynes - Château-Arnoux et [915/1] Veynes - Embrun », p. 185-186 et 194.
H. Lartilleux, Géographie des chemins de fer français, t. 1 : La SNCF, Chaix, , p. 66-74,
Lucien Maurice Vilain, L'Évolution du matériel moteur et roulant de la Compagnie des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée : De la fusion de 1857 à la S.N.C.F., locomotives à vapeur, traction électrique, voitures à voyageurs, Vincent - Fréal et Cie, , 576 p.,
« Les autorails Decauville : des séries X 52000 et X 52100 du Centre Autorails de Grenoble », Voies ferrées, no 1, ,
Jean-Chaintreau, Jean Cuynat et Georges Mathieu, Les Chemins de fer du PLM, La Vie du rail et La Régordanne,, ,