La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[4], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays hamois et celle du Pays neslois, formant ainsi une nouvelle intercommunalité regroupant 42 communes et 21 321 habitants[5].
La communauté de communes était administrée par son conseil communautaire, composé de conseillers municipaux représentant chacune des communes membres.
Le Conseil communautaire du 17 avril 2014 a réélu son président, André Salomé, maire de Rouy-le-Petit, et ses 9 vice-présidents pour le mandat 2014-2020. Il s'agissait de :
José Rioja-Fernandez, maire de Nesle, chargé de la salubrité, sécurité et du scolaire ;
Jean-Marc Wissocq, adjoint au maire de Morchain, chargé de l’aménagement du territoire, du développement économique et du monde rural ;
Christian Avy, maire d’Hombleux, chargé de l’urbanisme et de l’habitat ;
Dominique Pecquet, maire de Curchy, chargé de l’environnement et des ordures ménagères ;
Michel Méresse, maire de Licourt, chargé du sport de la jeunesse ;
Frédéric Lecomte, maire de Falvy, chargé de la culture, du tourisme, des nouvelles technologies et de la pêche ;
Jacques Merlier, maire du Mesnil-Saint-Nicaise, chargé du développement prospection, relation entreprises et SPANC ;
Alain Schiettecatte, maire de Villecourt, chargé du déneigement, des espaces verts et de l’insertion
Carole Dumont, conseillère municipale de l'opposition à Hombleux, chargée de l’enfance et de la santé[9].
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La communauté de communes exerçait les compétences qui lui avaitent été transférées par les communes membres, dans le cadre des dispositions du code général des collectivités territoriales.
Afin de financer l'exercice de ses compétences, la communauté de communes percevait une fiscalité additionnelle aux impôts locaux des communes, avec fiscalité professionnelle de zone (FPZ ) et avec fiscalité professionnelle sur les éoliennes (FPE)[1].
↑Information figurant dans les visas de l'arrêté préfectoral du 28 octobre 2013 transférant la commune de Rethonvillers de la communauté de communes du Grand Roye à la communauté de communes du Pays neslois.
↑V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard, (lire en ligne)« Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
↑« Dernière réunion pour les élus du Pays hamois », Le Journal de Ham, no 50, , p. 5« Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
↑ a et bMarjorie Michaud, « Une élection présidentielle houleuse : Jeudi 17 avril, les délégués communautaires du Pays neslois ont été installés. Ils ont procédé à l'élection du président et des neuf vice-présidents de l'assemblée », Journal de Ham, no 17, , p. 10.
↑Vincent Fouquet, « Le passé et l'avenir du Pays neslois longuement évoqués en 26 points », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Chaude ambiance à la communauté de communes du Pays neslois : André Salomé demeure président de l’intercommunalité. Didier Laout, maire de Pargny, lui était opposé. Les votes ont été longs. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Les élus Républicains, prêts pour la primaire », Le Journal de Ham, no 46, , p. 4« André Salomé, président de la communauté de communes : « À ce jour mon cœur balance entre François Fillon et Nicolas Sarkozy, Fillon pour son programme et Sarkozy pour sa volonté ».