La communauté de communes a été créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [2] et qui succédait à un SIVOM institué en 1969.
Entremont, qui n'était membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre, a intégré la CCVT en 2006.
Les communes de Alex, la Balme-de-Thuy et Dingy-Saint-Clair ont rejoint la CCVT en 2010 conformément à la délibération du conseil communautaire du , portant à 13 le nombre de communes constituant la communauté.
Elle devait être intégrée[Qui ?] au Grand Annecy à partir du [3], mais en fin d’année 2018 il n’y avait aucune officialisation, ce qui reporte cette échéance. Fin 2019, la fusion ne semblait plus à l’ordre du jour (à l’instar de la communauté de communes des sources du lac d’Annecy), le territoire se contentant de coopérations avec le territoire annécien comme dans le domaine du tourisme avec « Annecy Mountains ».
Évolution démographique du territoire communautaire tel qu'existant au
1968
1975
1982
1990
1999
2007
2012
2017
9 323
10 057
11 408
13 027
15 212
16 983
17 712
18 521
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes. Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au . (Source : INSEE RGP 2017[6])
Organisation
Siège
La communauté de communes a quitté son siège à Thônes, 4 rue du Pré de Foire[2] le 29 août 2022 pour ses nouveaux locaux au 14 rue Bienheureux Pierre Favre, également à Thônes.
La communauté de communes est administrée par son conseil communautaire, composé, pour la mandature 2020-2026, de 31 conseillers municipaux représentant chacune des communes membres et répartis en fonction de leur population de la manière suivante[7] :
- 9 délégués pour Thônes ;
- 3 délégués pour La Clusaz et Le Grand-Bornand ;
- 2 délégués pour Alex, Les Clefs, Dingy-Saint-Clair, Manigod , Saint-Jean-de-Sixt, Serraval et Les Villars-sur-Thônes ;
- 1 délégué ou son suppléant pour La-Balme-de-Thuy et le Bouchet-Mont-Charvin.
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L'intercommunalité exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[2] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Elle ne verse pas de dotation de solidarité communautaire[11] (DSC) à ses communes membres[2].
Identité visuelle
Projets et réalisations
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Conformément aux dispositions légales, une communauté de communes a pour objet d'associer des « communes au sein d'un espace de solidarité, en vue de l'élaboration d'un projet commun de développement et d'aménagement de l'espace[12] ».
↑Jean-Paul Chavas, « Gérard Fournier-Bidoz élu président de la communauté de communes », Le Dauphiné, (lire en ligne)
↑Jean-Paul Chavas, « Gérard Fournier-Bidoz réélu président de la Communauté de communes des vallées de Thônes », Le Dauphiné, (lire en ligne, consulté le ).