Réélue lors des élections générales québécoises de 2022, elle est reconduite dans ses fonctions de ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière.
Le , elle se voit ajouter la fonction de ministre responsable de la région de Lanaudière[5] et le celle de ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent[6].
Au cours de son premier mandat, elle fait adopter les lois n° 15, Loi sur la Société de développement et de mise en valeur du Parc olympique[7] et n° 100, Loi sur l’hébergement touristique[8].
En réponse à la pandémie de Covid-19, elle lance en le plus important plan de relance touristique à l'échelle canadienne afin d'aider l'industrie touristique à faire face à la pandémie, ce qui permettra une reprise touristique postpandémique plus rapide au Québec qu'ailleurs au Canada.
À l'automne 2020, elle annonce la décision du gouvernement du Québec de ne plus financer la Coupe du monde du soccer à Montréal, en raison de la hausse des coûts. Le retrait de la ville de Montréal est confirmé le [9].
En , elle lance le tout premier Plan d'action pour un tourisme responsable et durable, qui vise à renforcer la position du Québec comme l'un des chefs de file mondiaux des destinations touristiques dont les actions sont axées sur le développement durable[réf. souhaitée].
Réélue lors des élections du [10], elle conserve lors du dévoilement du nouveau conseil des ministres, ses fonctions de ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière[11].
Lors de son second mandat, elle fait adopter la loi n° 25, Loi visant à lutter contre l’hébergement touristique illégal[12], qui fait du Québec un précurseur en matière d'encadrement de l'hébergement touristique sur les plateformes numériques d'hébergement transactionnelles. Cette loi impose aux plateformes de nouvelles responsabilités afin de garantir leur conformité à la Loi, notamment en veillant à la vérification des informations inscrites par l'exploitant d'un établissement d'hébergement touristique sur ces dernières et ainsi s'assurer de la légalité et de la conformité des annonces qu'elles diffusent. La loi est saluée dans les milieux touristiques, hôteliers et municipaux, notamment.
Le , après près de 30 ans de débats et d'attente, elle annonce le remplacement du toit et de l'anneau technique du Stade olympique de Montréal, au coût de 870 millions de dollars[13].