Vincent Marissal étudie en communication (journalisme) à l'Université du Québec à Montréal. De 1990 à 1993, il commence sa carrière à La Voix de l'Est. Il travaille ensuite pour Le Soleil à Québec de 1993 à 1997, dont deux ans au bureau de l'Assemblée nationale. Il rejoint La Presse le . Au printemps 2001, après un passage à Ottawa, il revient à Montréal, où il occupera le poste d'adjoint au directeur de l'information pendant 18 mois. Il devient ensuite chroniqueur politique pour ce quotidien, qu'il quittera en [1].
Marissal travaille par la suite au sein de TACT Intelligence-conseil, une agence de relations publiques et de lobbying, de à [2],[3].
Le , la formation politique Québec solidaire confirme que Marissal sera leur candidat dans la circonscription de Rosemont, représentée par le chef du Parti québécoisJean-François Lisée, lors du scrutin provincial prévu à l'automne 2018. L'annonce officielle de la candidature se déroule le et l'assemblée d'investiture dans la circonscription le [7],[8],[9],[10]. Il est alors embauché comme consultant auprès du parti[11]. À la suite de pressions médiatiques, Vincent Marissal se voit pris au cœur d'une tourmente voulant qu'il ait tenté d'obtenir un poste comme conseiller de Justin Trudeau ou comme candidat du Parti libéral du Canada[12]. Quelques jours après avoir annoncé son entrée en politique, il doit admettre avoir contacté à plusieurs reprises le Parti libéral du Canada[13],[14].
↑Patrick Bellerose, « Lisée craint l’arrivée de Vincent Marissal chez Québec solidaire », Journal de Montréal, (lire en ligne)
↑« Vincent Marissal quitte le journalisme », HuffPost Québec, (lire en ligne, consulté le )
↑« Marissal avait conservé un lien d'emploi avec une firme de lobbyisme | Denis Lessard | Politique québécoise », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
↑« Simple comme... Québec Solidaire | Vincent Marissal | Vincent Marissal », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
↑Marie-Renée Grondin, « Marissal affirmait en 2016 que la souveraineté était dépassée », Le Journal de Québec, (lire en ligne, consulté le )