« Un peu gris » (« Részegen ») — Allegretto ( = 104-112) à ;
Molto vivo, capriccioso ( = 92) à .
Analyse
Les Trois burlesques de Bartók« apparaissent comme le reflet de sa bonne humeur la plus truculente[3] ». Harry Halbreich estime que « ces trois merveilleux scherzos méritent décidément beaucoup plus d'attention, tant de la part des exécutants que du public[3] ». Pour Guy Sacre, ce sont d'« admirables pièces de concert, qu'il faudrait jouer davantage. Tout y est, l'invention langagière, l'humour, le pianisme étincelant, sans les accessoires du romantisme[1] ».
Guy Sacre, La musique de piano : dictionnaire des compositeurs et des œuvres, vol. I (A-I), Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1495 p. (ISBN978-2-221-08566-0), « Béla Bartók », p. 273-304.