La ville de Boufarik est desservie par plusieurs moyens de transport en commun (bus, taxis, trains de banlieue...), elle dispose d'un axe routier important reliant Alger et Blida, d'un chemin de fer modernisé (électrifié et à double voie) reliant Alger à l'ouest algérien en passant par Blida.
Le club omnisports WA Boufarik, fondé en 1945, comprend des équipes de football, de basket-ball, de gymnastique, vélo et de boxe ainsi une équipe de handball et de volley-ball, de handisport, de bouliste et d’athlétisme.
Pierre Martin Borély de la Sapie (1814-1895), né à Seyne, Colon en Algérie, agriculteur, premier maire de Boufarik (Alger), maire de Blida, officier de la Légion d'honneur, conseiller général d'Alger, président de la commission consultative d'agriculture du département d'Alger, membre de nombreuses commissions. Il fit ses études classiques au Lycée d'Avignon et se distingua pendant l'épidémie de choléra (1841). Venu en Algérie en 1843 et obtint une concession à 4 km de Boufarik. Dans ce lieu insalubre, en deux ans, il procéda à l'assainissement du sol par assèchement de marécages et y implanta une propriété agricole florissante, le domaine de Soukaly : 80 hectares irrigués, plantation de 45 hectares de vignes, 30 hectares d'orangeries, de plantations de toutes sortes d'arbres fruitiers, de mûriers, de vignes, prairies, troupeaux de vaches, élevage de chevaux, bâtiments de ferme et villas. En 1905, le centre de population de Sidi Ali, sur la commune mixte de Djendel, près de Médéa, dans le département d'Alger, fut baptisé en son honneur "Borély-la-Sapie" (renommé Ouamri depuis 1962). Sa statue figurait sur le Monument de la colonisation de l'Algérie à Boufarik. Sous son impulsion, plusieurs habitants de Seyne et des environs partirent chercher fortune en Algérie plutôt qu'en Amérique.
Léon Chiris (1839-1900), industriel en parfumerie.
Bob Walter (1856-1907), danseuse exotique, pilote d'automobile.
Colonel C. Trumelet, Une page de l'histoire de la colonisation algérienne : Bou-Farik, Alger : chez Adolphe Jourdan, 1887, 564 p. (Lien Gallica); réédition : L. Chaillou à Toulon & imprimerie Crescenzo à Paris, 1987 (ISBN2-907038-00-1)