Arbanats

Arbanats
Arbanats
La mairie (août 2014).
Blason de Arbanats
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Aline Teycheney
2020-2026
Code postal 33640
Code commune 33007
Démographie
Gentilé Arbanatais
Population
municipale
1 353 hab. (2021 en évolution de +14,08 % par rapport à 2015)
Densité 178 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 35″ nord, 0° 23′ 39″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 34 m
Superficie 7,6 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Podensac
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Liens
Site web arbanats.fr/

Arbanats /aʁbanat͡s/ est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

Située dans l'aire d'attraction de Bordeaux, sur la rive gauche de la Garonne, la commune se trouve à 27 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 22 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 5 km au nord-ouest de Podensac, ancien chef-lieu de canton[1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes en sont Virelade dans un grand sud et sud-est, Saint-Michel-de-Rieufret à l'extrême sud-ouest sur environ 300 mètres et Portets dans un grand ouest et nord-ouest ; sur la rive gauche, les communes limitrophes en sont Lestiac-sur-Garonne au nord-est et Paillet à l'est sur moins de 200 mètres.

Communes limitrophes d’Arbanats[2]


               Portets
Lestiac-sur-Garonne
Arbanats[2]                               Paillet
Saint-Michel-de-Rieufret                                              Virelade

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 873 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

Typologie

Au , Arbanats est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Podensac[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (28,8 %), forêts (23 %), zones urbanisées (13,9 %), eaux continentales[Note 4] (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), terres arables (6,6 %), mines, décharges et chantiers (4,2 %), prairies (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

La principale voie de communication routière qui traverse la ville est la route départementale D 1113, ancienne route nationale 113 (Bordeaux-Marseille), qui mène, vers le nord-ouest, à Portets en direction de Bordeaux et, vers le sud-est, à Virelade et au-delà à Langon ; la route départementale D 214 part du centre ville et mène, vers le sud-ouest, à Saint-Michel-de-Rieufret.
Le pont de franchissement de la Garonne le plus proche est celui de Langoiran, sur la D 115, à 5 km vers le nord.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 1.1, dit de La Brède, distant de 9 km par la route vers le nord-ouest ; l'accès no 2, dit de Podensac est distant de 9,5 km par la route vers le sud-sud-est.

La commune dispose d'une gare SNCF sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Arbanats est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne et l'Aqueduc de Budos. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[18],[16].

Arbanats est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[19]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[20],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arbanats.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 501 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 501 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

Le nom de la commune est documenté[24] sous les formes Arbenaz (1221-1235), Arberatz (1263), Arbenatz (1273)… On observe une alternance -n- / -r-, qui révèle une similarité avec le nom du village basque Arbérats.

Le toponyme s’analyse par :

  • le suffixe augmentatif - / -atz, fréquent en toponymie gasconne et utilisé sous la forme -ats dans les environs (cf. Illats, Léogeats, Saucats)
  • un radical *Arben- probablement très ancien car il ne renvoie à aucun mot ou anthroponyme connu (Dauzat et Rostaing ont fait l'hypothèse conjecturale[24] d'un anthroponyme *Arbennus[25], qui ne fait pas partie des noms gallo-romans connus.)

Ce radical pourrait être basé sur la vieille racine pré-indo-européenne *Arbe qui a produit de nombreux toponymes en Europe comme l'hydronyme Arve. Bénédicte Boyrie-Fénié rapproche cette racine de Arruan (nom d'origine de Saint-Médard-d'Eyrans) où ces toponymes indiqueraient des bras morts de la Garonne[24].

La graphie du nom de la commune est identique en gascon.

Histoire

Saint Béraire ou Bérar, évêque du Mans et originaire du Sud-ouest, au VIIe siècle, serait mort à Arbanats, vers 680.

La seigneurie d'Arbanats, dès le XIIIe siècle dans la maison des vicomtes de Lomagne, se trouvait dans la mouvance directe des archevêques de Bordeaux.

Le 28 avril 1518, Thomas de Montferrand Seigneur d’Uzeste, Landiras, Portets et d’Arbanats donne au syndic de la Fabrique et Œuvres de la paroisse Saint-Hippolyte d'Arbanats et à ses paroissiens certaines terres pour être complantées d’aubarade (plantation d’aubareins, jeune pied d’aubiers ou saule blanc).

Cette donation est faite contre redevance et sous l’obligation de faire trois offices par an pour le salut de son âme et de celle de ses pères et mères, pour Noël, Pâques et Pentecôte.

Depuis cette date et jusqu’à la Révolution française, les paroissiens de la commune d’Arbanats ont été séparés en deux groupes. Les uns, appelés Paroissiens Confrères, descendants des paroissiens de 1518 et les autres, correspondant à tous les nouveaux venus sur la paroisse après cette date.

C’est parmi les paroissiens confrères que sont choisies les personnes qui s’occupent de l’entretien des cloches, ornements, luminaire et de tout ce qui est nécessaire à l’église. Ils conservent également la propriété et l’administration des audarades. Les troncs d’aubier allaient au profit de l’église et le reste gracieusement mis à disposition des paroissiens confrères.

En récompense, on donnait aux paroissiens confrères la sonnerie des cloches, le luminaire, le drap mortuaire et la sépulture gratuite. Les Autres paroissiens était dans l’obligation de payer.

Cette curieuse distinction était juridiquement admise. Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[26].

À la Révolution, Saint-Hippolyte d'Arbanats, paroisse annexe de Notre-Dame de Virelade, forme la commune d'Arbanats[27].

En 1856, dans un champ de vignes appelé "Les places", il a été mis à jour ce qui allait se révéler comme une des plus importantes découvertes de pièces romaines en France, un ensemble de 966 deniers républicains romains en argent, datant de 49 av. J.-C. Cet ensemble, connu comme le trésor d'Arbanats, a été acheté en intégralité en 1860 par le duc de Luynes. Le trésor est actuellement au Cabinet des Médailles, département des Monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France à Paris[28].

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
(maire en 1981)[29]   Michel Rimaud    
mars 2001 2020 Daniel Dubourg[30] LR Retraité Fonction publique
2020 En cours Aline Teycheney    

Démographie

Les habitants sont appelés les Arbanatais[31].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 1 353 habitants[Note 5], en évolution de +14,08 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
511523581461479511494512494
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
540541533540547553534548550
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
501510458463497506515505502
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4835415566527578219609801 131
2017 2021 - - - - - - -
1 2721 353-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Les châteaux existent encore à Arbanats mais sont privés.
  • L'église Saint-Hippolyte-et-Sainte-Radegonde date du XIVe siècle et a été agrandie au XVIe siècle ; la façade et son clocher-mur datent du XVIIIe siècle ; sur sa façade sud, se trouve un cadran solaire[36]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[37].
  • La commune abrite deux fontaines qui ont également fait office de lavoirs :
    • la fontaine de Sainte-Radegonde en contrebas et derrière l'église ;
    • la fontaine de la Hontière, en limite territoriale de Virelade ;
ainsi qu'un lavoir, sur la route des Pontets qui mène vers le nord vers la Garonne.

Personnalités liées à la commune

  • Maurice Lachâtre (1814-1900), éditeur français, fut propriétaire du château d'Arbanats à partir de 1846.

Héraldique

Armes

Les armes d'Arbanats se blasonnent ainsi :

Taillé, au premier d’or à la grappe de raisin tigée et feuillée de deux pièces de gueules, au deuxième d’azur à la statue de sainte Radegonde couronnée d’or sous un portique tréflé du même ; le tout sommé d’un comble d’azur chargé de l’inscription ARBANATS en lettres capitales d’argent.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Podensac, il y a une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

[38]

Références

  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 23,5 km pour Bordeaux, 17,9 km pour Langon et 4,3 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 17 septembre 2014.
  2. Arbanats sur Géoportail, consulté le 10 septembre 2015.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Arbanats et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Podensac », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Arbanats », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Arbanats », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. a b et c Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
  26. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XI, pages 73-79
  27. Historique des communes, p. 1, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 10 avril 2013.
  28. Indicazione delle monete d'argento di famiglie romane scoperte in un antico ripostiglio ad arbanats in Francia l'anno 1859, sur Google book, consulté le 27 février 2022.
  29. https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
  30. « Commune d'Arbanats »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de l'Association des maires de France (consulté le ).
  31. « Nom des habitants d'Arbanats », sur habitants.fr (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Église Saint-Hippolyte-et-Sainte-Radegonde sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 17 septembre 2014.
  37. « Eglise paroissiale Saint-Hippolyte, Sainte-Radégonde », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  38. Auguste Voisin, Les Cénomans anciens et modernes: Histoire du département de la ..., Volume 1, Paris, Julien Lanier, (lire en ligne), p. 265

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