Alles-sur-Dordogne est une commune rurale[1] de la moitié sud du département de la Dordogne, située dans le Périgord noir. Elle est enserrée dans un méandre de la Dordogne — le cingle de Limeuil — qui la contourne de l'est au sud-ouest en passant par le nord. Le territoire communal, en rive gauche de la Dordogne, inclut au nord-ouest l'île de la Yerle.
Alles-sur-Dordogne n'a pas de bourg, les principaux lieux officiels de la commune s'égrenant du nord au sud le long de la route départementale (RD) 51E : le cimetière, l'ancienne gare ferroviaire d'Alles, la mairie et l'école, et enfin l'église Saint-Étienne à côté du monument aux morts. La mairie est située, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-ouest du Bugue et onze kilomètres à l'est-nord-est de Lalinde.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Alles-sur-Dordogne est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 807 - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].
terrasses sous-flandriennes indifférenciées : sables, graviers et galets localement de grande taille (Weichsélien - '-Wurm'-)
Fxb(b) :
Basses terrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) indifférenciée : limons et sables jaunes à graviers et galets siliceux et petits galets calcaires (Saalien - Riss)
Fwb(D) :
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Formation de Castillon - Argiles vertes de Castillon (et formation de la Bessède) : argiles carbonatées silteuses à sableuses et sables feldspathiques, localement niveaux de grès tendre, calcaires lacustres (Rupélien basal continental)
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude minimale de la commune est de 41 m[6] au sud-ouest, là où la Dordogne quitte le territoire communal et sert de limite entre Trémolat et Le Buisson-de-Cadouin. Son altitude maximale, 198 m[6],[7], se situe au sud, en limite du Buisson-de-Cadouin.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 9,41 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,49 km2[4].
La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16],[17]. Le territoire communal étant enserré dans un méandre : le « cingle » de Limeuil, la Dordogne borde la commune sur huit kilomètres et demi, de l'est au sud-ouest en passant par le nord, face à Saint-Chamassy, Limeuil et Trémolat.
La Dordogne entre Limeuil (à droite) et Alles-sur-Dordogne en rive opposée.
Réseaux hydrographique et routier d'Alles-sur-Dordogne.
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Dordogne Atlantique ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également EPIDOR[19]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
À l'est, environ 30 % du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. La zone restante est rattachée au SAGE Dordogne Atlantique.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 876 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 14 km à vol d'oiseau[24], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en [30] et fait partie à la fois de sa « zone centrale » (la Dordogne elle-même)[31], de sa « zone tampon » (sa plaine alluviale)[32] et sa « zone de transition », c'est-à-dire le reste de son bassin versant[33].
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 103 communes riveraines de la Dordogne[Note 3], dont Alles-sur-Dordogne[34],[Carte 3]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[35].
Alles-sur-Dordogne fait partie des 102 communes concernées par la ZNIEFF de type 2 « La Dordogne »[36],[Carte 4], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[37].
Une autre ZNIEFF de type 2, la « forêt de la Bessède »[38],[Carte 5], concerne le sud de la commune. Une espèce végétale déterminante y a été répertoriée, ainsi que vingt espèces animales (non déterminantes) et 99 autres espèces végétales[39].
Protection du biotope
Comme l'ensemble des communes du département de la Dordogne baignées par la Dordogne, Alles-sur-Dordogne est soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[40].
Urbanisme
Typologie
Au , Alles-sur-Dordogne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[41].
Elle est située hors unité urbaine[42] et hors attraction des villes[43],[44].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (38,2 %), terres arables (25,9 %), forêts (25,2 %), eaux continentales[Note 4] (10,3 %), prairies (0,4 %)[45]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[49],[47]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Dordogne Centre », couvrant 20 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[50],[51].
Alles-sur-Dordogne est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[52]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[53],[54].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[55]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[56]. 54,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[57].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[47].
Les premières mentions écrites connues du lieu apparaissent au XIIIe siècle sous deux formes, Allas et Alas[60] qui vont se transformer en Alles (noté sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789[61]) et Ales (Alès est relevé en 1864[62]), le nom définitif d'Alles-sur-Dordogne faisant son apparition en 1933[6].
Le nom de la localité est signalé sous une forme occitane Alàs dès 1218, sous la forme Alcos, ou Altos en 1297 et 1333. Le sens de ce toponyme se comprend sous la forme Alani qui ramène au peuple des Alains, envahisseurs de la Gaule au début du Ve siècle[60]. La seconde partie du nom s'explique par la situation particulière de la commune, dont plus de la moitié du territoire est enserré dans un méandre de la Dordogne.
La commune d'Alles a été créee dans les premières années de la Révolution française[6]. Elle ne prend le nom actuel qu'en 1933[6].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune d'Alles-sur-Dordogne est rattachée au canton de Cadouin qui dépend du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6]. En 1974, le canton change de nom et devient le canton du Buisson-de-Cadouin.
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[66],[67].
Les habitants d'Alles-sur-Dordogne se nomment les Allois[72].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[73]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[74].
En 2021, la commune comptait 388 habitants[Note 9], en évolution de +2,37 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2021[76], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 156 personnes, soit 40,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (12) a diminué de moitié par rapport à 2015 (24) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,1 %.
En 2021[76], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 154 personnes, soit 40,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (24) a augmenté par rapport à 2010 (19) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,8 %.
Activités hors agriculture
32 établissements marchands non agricoles sont économiquement actifs en 2021 à Alles-sur-Dordogne[Note 10],[77].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
32
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
0
0,0 %
(8,4 %)
Construction
6
18,8 %
(13,4 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
9
28,1 %
(28,2 %)
Information et communication
0
0,0 %
(1,8 %)
Activités financières et d'assurance
1
3,1 %
(3,6 %)
Activités immobilières
1
3,1 %
(6,7 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
9
28,1 %
(15,0 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
2
6,3 %
(12,8 %)
Autres activités de services
4
12,5 %
(10,1 %)
Deux secteurs sont prépondérants sur la commune avec 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune : celui du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration et celui des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien puisqu'ils représentent chacun 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune, contre respectivement 28,2 % et 15 % au niveau du département[78].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 27 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 22 en 2000 puis à 25 en 2010[81] et enfin à 14 en 2020[Carte 9], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations (passant de 15 825 à 6 328)[82],[Carte 10]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 521 ha en 1988[81] à 518 ha en 2020[Carte 11]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 19[81] à 37 ha[Carte 9].
Louis Delluc (1894-1974), écrivain en français et en occitan, est né dans la commune. La place du village porte son nom depuis le 10 janvier 2009[réf. nécessaire].
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Aux 104 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès et Peyrillac-et-Millac qui, avec Orliaguet, ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 103 communes au total.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[58].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un établissement est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[80].
↑Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport à la commune, cliquer à gauche sur « Rechercher un lieu », y indiquer le nom de la commune et valider. La zone Natura 2000 est matérialisée par un mince ruban de couleur bistre bordé par le territoire communal en bleu.
↑Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport à la commune, cliquer à gauche sur « Rechercher un lieu », y indiquer le nom de la commune et valider. La ZNIEFF est matérialisée par un mince ruban de couleur verte bordé par le territoire communal en bleu.
↑Carte de la ZNIEFF « forêt de la Bessède », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport à la commune, cliquer à gauche sur « Rechercher un lieu », y indiquer le nom de la commune et valider. La ZNIEFF est matérialisée par une tache de couleur verte dans le sud du territoire communal en bleu.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Dictionnaire des communes de la France, par Adolphe Joanne avec la collaboration d'une société d'archivistes, de géographes et de savants, Hachette, 1864, p. 31.
↑Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 165.