Il revient au Salon de 1877 à 1878 ; son adresse parisienne est le 10 rue Pernety[5], lieu où il semble résider jusqu'à la fin de sa vie. Au Salon des artistes français, il expose régulièrement des eaux fortes et des lithographies à partir de 1880. Il obtient une mention honorable en 1882, puis une médaille en 1888. Il devient membre de la Société des artistes français. Il rejoint la Société des aquafortistes français fondée par Auguste Laguillermie, pour laquelle il produit des gravures destinées à leurs albums. En 1891, il collabore à la Maison Quantin. En 1895-1896, il produit des eaux fortes destinées à la Chalcographie du Louvre. Sa dernière apparition au Salon des artistes français date de 1898, pour un portrait gravé d'Édouard Bornet, qu'il présente avec tous les prénoms de son état civil « Albert Ludovic Paul Émile Antony Duvivier »[6].
Almanach fantaisiste pour 1882, publié par la Société des éclectiques, avec Edmond Morin, Alexis Martin et Charles Fichot, Librairie Alphonse Lemerre, 1881.
Émile Zola, Une page d'amour, précédée d'une lettre-préface, dessins d'Édouard Dantan, Libraire des bibliophiles, 1884.
Louis de Courmont, Feuilles au vent, portrait en frontispice, Tresse, 1884.