Il devient professeur de sculpture à l'école des beaux-arts de Rennes, de 1919 à 1947.
Collections publiques
Bieuzy : Monument aux morts, 1925, pierre de taille, pierre et granite représentant un poilu casqué, tenant un fusil.
Fougères : Haut-relief en plâtre 28cm x 15cm de large, décorant l'entrée de l'ancien hospice de la Chesnardiére, représentant La ville de Fougères accueillant les vieillards, encore visible en 1944 aujourd'hui disparu.
Laval : Monuments aux morts de la Grande Guerre, 1923, bronze, avec une statue de Marianne et un soldat blessé à ses pieds lui présentant une statuette dorée symbolisant la Victoire. Architecte Hyacinthe Perrin (1877-1955)[4].
Jean Stenou, « Le monument aux morts de Laval, une inauguration difficile », L'Oribus, no 52, , pp. 29-43.
Collectif, « Concours publics », Bulletin de la Société des Architectes Diplômés par le Gouvernement, no 1, , p. 13.
Jean-Marie De Busscher, Les Folies de l'Industrie, Bruxelles 1981, Archives d'Architecture Moderne, p. 200.
David Foisneau, « Les monuments aux morts, l'exemple de la Mayenne », Archéologie, Histoire, no 30, numéro spécial « Patrimoine d'éternité : les pratiques funéraires en Mayenne », pp. 166-173.
Cédérom
France Debuisson, À nos grands hommes. La sculpture publique française jusqu'à la Seconde Guerre mondiale à travers la carte postale, cédérom édité par le musée d'Orsay et l'Institut national d'histoire de l'art, 2004.