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combat de Merjazergha en 1840 ; Expédition de Miliana en 1841 ; expédition de l'Ouarensemis 1842 ; expédition contre les Beni Menasser, les Beni Menad, les Beni Madoun, Taguin 1843 (prise de la smala d'Abd el-Kader par le duc d'Aumale) ; expédition contre les Flittas ; combat de l'Oued-Molah 1843 ; Isly 1844 ; expédition contre les Ouled-ali-ben-Hammed 1844 ; combat de Tifour, de la plaine de Mina, de l'Oued-Temba 1845 ; combat du Djebel-Sour 1848 ; siège de Laghouat 1852 ; expédition des Babors 1853
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Le régiment est licencié le , une partie de ses effectifs formant le régiment des chasseurs de la Garde Impériale[4].
Le 4e régiment de Chasseurs d'Afrique est recréé à Mostaganem le [4], avec des détachements du 1er, 2e, 3e régiment de chasseurs d'Afrique, du 1er hussards et du 4e chasseurs.
En 1870, il participe aux opérations dans le Sud-Ouest algérien.
Au , le 4e régiment de chasseurs d'Afrique fait partie de l'Armée du Rhin.
Avec le 2e régiment de chasseurs d'Afrique du colonel de la Martinière, le 4e forme la 2e Brigade aux ordres du général de Lajaille. Cette 2e Brigade avec la 1re Brigade du général Margueritte et deux batteries à cheval, constituent la 1re division de cavalerie commandée par le général de division baron du Barail. Cette division de cavalerie évolue au sein de la réserve de cavalerie ayant pour commandant en chef l'empereur Napoléon III.
- - de Lunéville, la 1re division devait rejoindre Metz
- - Bataille de Sedan
Avec l'Armée de la Loire, il fournit 2 escadrons au 2e régiment de marche de Chasseurs d'Afrique.
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Pendant l'insurrection de 1881-1882, le régiment combat à Chellaha 1881 ; contre les Beni-Guil, les Hamyan, les Sidi-Ckeik et au combat de Temaïd-ben-Salem en 1882.
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Régiment à cheval, le 4e RCA est partiellement motorisé le : il reçoit deux escadrons d'automitrailleuses de découverte (AMD) Laffly 50 (3e et 4e escadrons). Le , le 2e escadron du régiment est motorisé avec le matériel (Laffly 50 AM et Berliet VUDB[6]) du 6e escadron du 1er régiment étranger de cavalerie[7].
Le 4e RCA est engagé en 1942-1943 dans la campagne de Tunisie. Dès l'invasion de la Tunisie par les Allemands le 9 novembre, le 4e RCA reçoit l'ordre de ne pas intervenir[8]. Le régiment participe ensuite au premier combat le à Medjez el-Bab[9].
1943
En 1943, il doit être affecté à la 3e division blindée mais devient un régiment d'instruction, dissous en 1944.
Le 4e RCA est dissous en 1959 après le retrait français de Tunisie. Le 9e RCA de Batna, en Algérie, est alors renommé 4e régiment de chasseurs d'Afrique[10]. Il est alors équipé de chars légers M24 et d'automitrailleuses M8[11].
Le 4e RCA est définitivement dissous le à Sissonne[10].
Traditions
Devise
Ma vie est dans l'action
Insigne
Insigne du 4e RCA - Type 1
Insigne du 4e RCA - Type 2
L'insigne premier modèle du 4e RCA présente une mosquée dans un croissant, chargé d'un écusson portant le numéro 4. Le second modèle, créé en 1959, est une reprise directe de l'insigne du 9e RCA, le numéro 9 étant remplacé par le numéro 4.
Étendard
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[12],[13] :
↑décédé à Milianah (Algérie) le - Source Légion d'honneur et service intérieur des archives et décorations. Fils de Louis Bernard Francq, baron et colonel du 10e régiment de cuirassiers de 1809 à 1812 (Auxonne 1766, Corbeil 1818). Source : Service historique des armées et fort de Vincennes, plus état civil de la ville de Paris.
↑Neveu du colonel Dupuch de Feletz et aussi issu de la famille Morand du Puch.
↑il est devenu le régiment ami du 4e Light Dragoons, devenu 13e Hussards britannique. Tradition aujourd'hui reprise par le 4e Chasseurs
↑Jean Tartare et François Vauvillier, « La voiture de prise de contact Berliet VUDB », Guerre, blindés et matériel, Histoire & Collections, no 135, , p. 33-48
↑ a et bJean Tartare et François Vauvillier, « Automitrailleuse de découverte Laffly 50 AM (II) », Histoire de guerre, blindés et matériel, no 132, , p. 53-62
↑Louis Audouin-Dubreuil, Au prestigieux rendez-vous de Carthage : La guerre de Tunisie (novembre 1942 - mai 1943), Paris, Payot, (EAN9782357023758), p. 15, 19
↑Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
Voir aussi
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Sources et bibliographies
Sur la vie d'un chasseur d'Afrique (4e RCA) durant la grande Guerre, voir: "L'Histoire d'un conscrit de 1913", d'Elie DUREL, Edilarge (Ed Ouest France) 2008.
Jacques Sicard et François Vauvillier (ill. Frédéric Robin), Les Chasseurs d'Afrique, Paris, Histoire & collections, coll. « L' encyclopédie de l'Armée Française » (no 1), , 182 p. (ISBN978-2-908182-87-3).
Historique du 4e régiment de chasseurs d'Afrique depuis sa formation 1839 jusqu'à la fin de la Grande Guerre 1919, Bizerte, Impr. française, 108 p., lire en ligne sur Gallica.