Équipe de France de football en 2012
Maillots Actualités Pour la compétition en cours, voir :Campagne 2012-2014 de l'équipe de France de football L'équipe de France de football participe en 2012, au Championnat d'Europe en Pologne et en Ukraine ainsi qu'aux éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Déroulement de la saisonObjectifsD'après le journal L'Équipe, l'équipe de France doit se fixer comme objectif de disputer les demi-finales de l'Euro 2012[F 1]. Lors d'une interview début 2012, Laurent Blanc déclare que l'équipe de France « se prépare pour faire le meilleur résultat possible. » et ajoute que « Notre objectif, c'est donc de gagner un match ». Concernant après l'Euro, le sélectionneur affirme qu'il « souhaite continuer et espère pouvoir créer les fondations nécessaires au renouveau de l'équipe de France »[1]. Peu avant l'Euro, le gardien de but Hugo Lloris annonce que le premier objectif est d'atteindre les quarts de finale[2], paroles ensuite confirmées par le président de la FFF, Noël Le Graët[3]. Pour le staff de l'équipe de France, « L'objectif de cet Euro sera d'être présents en quarts de finale »[4]. RésuméEn route vers l'EuroL'avant-saison est marquée par le refus de Noël Le Graët de prolonger le contrat de Laurent Blanc en équipe de France avant l'Euro 2012. Par la suite, Paul Le Guen et Arsène Wenger sont tour à tour évoqués par Le Monde et le Journal du dimanche pour le remplacer après le Championnat d'Europe[5],[6]. Le 27 janvier, la Fédération divulgue les prochains adversaires en matchs amicaux au cours de l'année. Le , l'équipe de France réalise une belle performance en s'imposant à Brême contre l'Allemagne. L'attaquant titulaire habituel, Karim Benzema, étant blessé, c'est Olivier Giroud qui ouvre le score à la 21e minute[A 1]. Puis c'est au tour de Florent Malouda de doubler la mise à la 69e minute. La réduction du score de Cacau dans le temps additionnel n'y change rien, les Bleus sont invaincus depuis 18 matchs. Séduisants dans le jeu, les Tricolores s'offrent une victoire de prestige et se montrent capables de rivaliser contre les grandes nations[F 2],[7],[8],[9]. Le 9 mai, le sélectionneur annonce une première liste de douze joueurs évoluant à l'étranger[10]. Le 15 mai, la liste de quinze joueurs jouant en France est dévoilée. Le joueur de Tottenham Younès Kaboul déclare forfait le même jour. La liste comporte 26 joueurs[11]. Le 29 mai, la liste est réduite au groupe final de 23 joueurs à la suite du départ de Loïc Rémy (blessé), Mapou Yanga-Mbiwa et Yoann Gourcuff, non retenus par Laurent Blanc[F 3],[12]. Avant l'Euro, l'équipe de France dispute trois matchs de préparation. Le , elle s'impose difficilement face à l'Islande 3-2 après avoir été mené 2 buts à 0 au bout d'une demi-heure. Elle refait son retard grâce à des buts de Mathieu Debuchy, son premier en équipe de France, puis de Franck Ribéry et d'Adil Rami, tous deux dans les cinq dernières minutes. Malgré quelques largesses défensives, l'équipe de France continue sa belle série de 19 matchs sans défaite[F 4],[13],[14]. Trois jours plus tard, dans un état d'esprit plus favorable qu'auparavant, l'équipe de France gagne contre la Serbie 2-0 avec deux buts dans les seize premières minutes de Franck Ribéry et Florent Malouda, ce dernier marquant d'une frappe puissante des 30 mètres. Grâce à cette nouvelle victoire, la France continue sa série d'invincibilité[F 5],[15],[16]. Pour son dernier match de préparation, le , la France l'emporte largement 4-0 contre l'Estonie, la victoire la plus large sous l'ère Laurent Blanc. Après un nouveau but de Frank Ribéry puis un doublé de Karim Benzema, une dernière réalisation de Jérémy Ménez scelle la large victoire de l'équipe de France. Ce résultat positif clôt les matchs de préparation de l'équipe de France avant l'Euro 2012[F 6],[17],[18]. À la fin du match, les joueurs de l'équipe de France agitent une banderole avec le message « Merci ! À l'Euro, avec vous, pour vous ! ». Message faisant partie du plan de communication de la FFF[19].
Euro 2012 : de l'espoir mais des regretsForte d'une série de 23 matchs consécutifs sans défaite depuis septembre 2010, la France commence son entrée en matière face à l'Angleterre. À la 30e minute, L'équipe de France encaisse un but de Joleon Lescott sur coup franc à la suite d'une erreur de marquage d'Alou Diarra. Neuf minutes plus tard, Samir Nasri égalise d'une frappe enroulée à l'entrée de la surface. Ce dernier se fait remarquer en allant insulter la tribune de presse française sur son but à la suite de certaines critiques du journal L'Équipe à son encontre[F 7]. Dominateurs dans l'ensemble, les Bleus n'arrivent pas à inscrire un deuxième but et terminent la rencontre sur un match nul (1-1)[F 8],[24],[25],[26],[A 2]. Lors du deuxième match de poule, la France est opposé à l'Ukraine, pays coorganisateur de la compétition. Interrompu après cinq minutes de jeu pendant près une heure, le match reprend et sourit aux Bleus. Les joueurs de l'équipe de France inscrivent deux buts coup sur coup, le premier de Jérémy Ménez à la 53e minute puis Yohan Cabaye à la 56e minute au terme d'un match parfaitement maîtrisé[F 9]. Ce match constitue une première car c'est la première fois depuis la demi-finale du Mondial 2006 que l'équipe de France remporte un match en compétition officielle et un succès contre le Portugal. Cette victoire place la France dans une position favorable pour les quarts de finale[F 10],[27],[28],[29],[A 3]. Le dernier match de poule va pourtant se révéler fatal pour la suite du parcours des Bleus. Face à la Suède, déjà éliminée après deux défaites, les Bleus s'inclinent 2-0, une première depuis deux ans et la défaite contre la Biélorussie, après avoir été complètement dominés dans tous les secteurs de jeu. Les Bleus sont néanmoins qualifiés pour les quarts en finissant à la deuxième place, derrière l'Angleterre. Cette deuxième place leur impose de rencontrer l'Espagne en quart-de-finale[F 11]. Tout comme lors du Mondial 2010, de nouveaux incidents éclatent dans le vestiaire après la défaite contre la Suède, des accrochages étant survenus entre Samir Nasri et d'autres joueurs[F 12],[30],[31],[32],[A 4]. Le quart de finale contre l'Espagne (championne du monde et d'Europe en titre) voit une équipe de France encaisser le but le plus rapide sous l'ère Laurent Blanc, à la 19e minute par Xabi Alonso. Au terme d'une rencontre très pauvre en actions de jeu, les champions du monde espagnols s'imposent finalement sans forcer 2-0 grâce à un doublé de Xabi Alonso avec un penalty dans le temps additionnel. N'ayant presque rien tenté pendant le match, la France quitte la compétition sur un goût d'inachevé[F 13],[33],[34],[A 5]. À l'issue de cette élimination, de nouvelles critiques s'abattent sur l'équipe de France une nouvelle fois en raison du mauvais comportement de certains joueurs. Pour la presse nationale, cet Euro n'a pas redoré l'image de l'équipe de France qui reste brouillée après les fiascos moraux et sportifs de l'Euro 2008 et du Mondial 2010. Certains qualifient l'attitude des bleus comme « suffisante », sans jamais avoir montré une vraie volonté de se battre sur le terrain et de s'être simplement contentés de l'objectif annoncé par la FFF, à savoir la qualification pour les quarts de finale avec une prime de 100 000 euros. Samir Nasri se retrouve en pleine polémique à la suite d'un nouveau dérapage verbal avec un journaliste de l'Agence France-Presse (AFP) à la fin du match contre l'Espagne. Par ailleurs, le remboursement de la prime des 100 000 euros est souhaité par certains hommes politiques[F 14],[35],[36],[37],[38],[A 6]. Après l'Euro : débuts des qualifications pour le Mondial 2014Le , Laurent Blanc quitte ses fonctions de sélectionneur après un entretien avec le président de la Fédération Noël Le Graët survenu deux jours plus tôt[F 15],[39]. Une semaine plus tard, le , Didier Deschamps est nommé sélectionneur de l'équipe de France qui entre donc dans une nouvelle phase de transition dont l'objectif principal est la qualification à la Coupe du monde 2014 se déroulant au Brésil[40]. Le contrat du nouveau sélectionneur, d'une durée de deux ans, sera automatiquement renouvelé en cas de qualification[A 7]. Le , l'équipe de France dispute son premier match sous l'ère Didier Deschamps contre l'Uruguay dans le nouveau stade Océane au Havre. Au terme cette rencontre amicale, les deux équipent se quittent sur un score nul et vierge qui reflète bien la physionomie du match malgré la nette domination française dont deux poteaux français. Pour sa première sur le banc de l'équipe de France, Didier Deschamps commence par un nul[41],[42]. Le , les Bleus entament leurs matchs de qualification face à la Finlande à Helsinki. À la 21e minute, Abou Diaby inscrit le seul but de la rencontre sur une passe de Karim Benzema. Pour leur premier match des éliminatoires, les Bleus n'ont pas manqué leur entrée en matière[43],[44]. Pour son deuxième match de qualification, la France est opposée à la Biélorussie, déjà rencontrée lors des éliminatoires de l'Euro 2012. De retour au Stade de France, les Bleus réalisent une belle prestation avec trois buts à la clé. Étienne Capoue et Christophe Jallet inscrivent leur tout premier but en sélection nationale. Malgré la réduction du score sur pénalty, la Biélorussie encaisse un troisième but par l'intermédiaire de Franck Ribéry qui porte désormais son total à 4 buts, ce qui fait de lui le meilleur buteur de l'équipe de France en 2012. Grâce à cette deuxième victoire, les Tricolores enchaînent et sont en tête du classement avec 6 points gagnés sur 6 possibles[45],[46],[47]. Le , l'équipe de France rencontre le Japon en match amical afin de préparer la rencontre importante contre l'Espagne quatre jours plus tard. Après avoir gâché de nombreuses occasions, les Bleus se font surprendre en fin de match et encaisse un but à la suite d'une contre-attaque japonaise. Les Nippons réalisent le hold-up parfait et fragilise dans le même temps la confiance de l'équipe de France[48],[49]. Le , l'équipe de France se présente face à l'équipe d'Espagne (champions du monde et double champions d'Europe en titre), affectée après sa défaite à domicile contre le Japon. Les joueurs de la Roja prennent rapidement le contrôle du match avec un but de Sergio Ramos à la 25e minute. Après un but injustement refusé à Jérémy Ménez, le gardien français Hugo Lloris arrête un pénalty de Cesc Fàbregas. En deuxième mi-temps, la France domine et se procure plusieurs occasions jusqu'à la dernière minute et une égalisation d'Olivier Giroud (rentré quelques minutes plus tôt) sur un centre de Franck Ribéry. Après le match, la presse française salut la belle prestation de l'équipe de France, notamment en seconde période, et reconnaît la performance « héroïque » que les Bleus ont réalisé[50],[51],[52]. Le , la France conclut l'année 2012 par une rencontre amicale contre l'Italie au stade Ennio-Tardini à Parme. Dans un match plaisant à regarder, la Squadra Azzura ouvre le score à la 35e minute par El Shaarawy. Mais deux minutes plus tard, Mathieu Valbuena égalise d'une frappe enroulée en pleine lucarne. En seconde période, la France prend l'avantage avec une réalisation de Bafétimbi Gomis vers l'heure de jeu. En fin de match, l'Italie pousse mais la France ne rompt pas. Sur la lancée du match nul obtenu contre l'Espagne, les Bleus termine l'année en beauté avec une victoire face aux vice-champions d'Europe et s'offre une nouvelle victoire de prestige après l'Angleterre (2010), le Brésil (2011) et l'Allemagne (2012)[53],[54]. Évolution du coefficient FIFAAu cours de l'année 2012, l'évolution de l'équipe de France au classement mondial de la FIFA reste assez constant. Toujours aux environs de la 15e place, la France connaît un pic à la 13e place en octobre grâce à ses deux premières victoires dans son groupe de qualifications mais chute le mois suivant à la 18e place à la suite de sa défaite contre le Japon, son plus mauvais classement depuis mai 2011. Les Bleus terminent l'année à la 17e place. Le tableau ci-dessous présente les coefficients mensuels de l'équipe de France publiés par la FIFA durant l'année 2012[55].
Afin de déterminer dans quel chapeau se trouve la France pour le tirage au sort des groupes de l'Euro 2012, le coefficient UEFA est calculé pour chaque nation en additionnant :
BilanBilan annuelEn 2012, l'équipe de France dispute 14 matchs soldés par 8 victoires, 3 nuls et 3 défaites, soit 20 points obtenus. Les Bleus affichent une différence de but positive (+9) avec 21 buts marqués et 12 buts encaissés. Contre l'Estonie, la France s'offre sa plus large victoire (4-0) sous l'ère Laurent Blanc avec un écart de 4 buts, ce qui n'était plus arrivé depuis septembre 2009 et une victoire 5-0 contre les Îles Féroé[57]. Lors de l'Euro, la Suède met un terme à la série d'invincibilité (23 matchs sans défaite) de l'équipe de France, ayant débuté en septembre 2010, en battant 2-0 les Tricolores[58]. Classement du groupe de qualificationsÀ l'issue des trois premières journées, l'équipe de France est en tête de son groupe de qualifications pour la Coupe du monde 2014, à égalité avec l'Espagne. En effet, avec respectivement deux victoires et un match nul, les deux équipes possèdent 7 points au classement. Derrière eux, la Géorgie est troisième avec 4 points et un match en plus. Tout comme la Biélorussie qui a 3 points, tandis que la Finlande est dernière du groupe avec seulement 2 points malgré un match en retard. À noter que seuls les premiers de chaque groupe sont qualifiés directement pour la Coupe du monde 2014. Les 8 meilleurs deuxièmes doivent passer aux matchs de barrage des qualifications tandis que les autres sont éliminés.
Joueurs et encadrementDernière liste des 23 joueurs convoqués
Appelés récemmentLes joueurs suivants ne font pas partie du dernier groupe appelé mais ont été retenus en équipe nationale lors de l'année 2012. Les joueurs qui comportent ce signe , sont blessés lors du rassemblement de novembre pour le match contre l'Italie. Groupe des 23 joueurs pour l'Euro 2012Matchs
Aspects tactiquesFidèle à son 4-3-3 instauré en début de mandat de sélectionneur, Laurent Blanc reproduit ce même schéma de jeu à chaque match mis à part contre l'Allemagne où il met en place un 4-2-3-1 avec Samir Nasri comme meneur de jeu[61]. Après la parenthèse allemande, il revient au 4-3-3 pour les matchs de préparation avant l'Euro[62]. Au terme de ces rencontres, une « équipe-type » se dégage : Hugo Lloris dans les buts ; Mathieu Debuchy, Adil Rami, Philippe Mexès et Patrice Évra (en concurrence avec Gaël Clichy) forment la ligne défensive ; Viennent ensuite les trois milieux de terrain avec Alou Diarra en sentinelle encadré par Yohan Cabaye et Florent Malouda ; Enfin, la ligne d'attaque est composée de Franck Ribéry à gauche et Karim Benzema en pointe ; Seul le côté droit de l'attaque reste incertain où Samir Nasri, Jérémy Ménez et Hatem Ben Arfa se disputent la place de titulaire[63],[64]. Ce onze de départ est reconduit quasiment tout le long de l'Euro à quelques remaniements près. Par contre, à la suite d'un concours de circonstances, Laurent Blanc doit effectuer plusieurs changements majeurs lors du quart-de-finale contre l'Espagne. Il remplace Philippe Mexès (suspendu) par Laurent Koscielny et place Anthony Réveillère au poste d'arrière droit faisant avancer d'un cran Mathieu Debuchy. Alou Diarra est lui aussi remplacé, poste pour poste, par Yann M'Vila[65]. Pour son premier match avec les Bleus, Didier Deschamps, le nouveau sélectionneur, établit un 4-4-2 classique contre l'Uruguay avec notamment quatre joueurs absents à l'Euro et aligne, pour la première fois en tant que titulaire, le duo Giroud-Benzema[66],[67]. Par la suite, Deschamps revient au 4-3-3 (qu'il a utilisé pendant 3 saisons à l'OM) et fait émerger plusieurs joueurs au sein du groupe comme Rio Mavuba, Mamadou Sakho, Mapou Yanga-Mbiwa, Blaise Matuidi ou encore Moussa Sissoko. Il garde aussi sa confiance à Hugo Lloris, le capitaine des Bleus, malgré son statut de remplaçant à Tottenham[68]. En se privant de joueurs comme Philippe Mexès, Florent Malouda ou encore Samir Nasri, Deschamps marque la rupture avec l'ère Laurent Blanc[69]. Contre l'Espagne, l'équipe de France change son schéma de jeu en seconde période pour un 4-2-3-1, ce qui s'avère efficace puisque les Bleus arrache le nul face aux champions d'Europe et du monde en titre. Sur la lancée de la belle prestation contre l'Espagne, Didier Deschamps reconduit le 4-2-3-1 face à l'Italie avec Mathieu Valbuena en meneur de jeu[70]. Tactique de l'équipe de France lors de l'Euro 2012
StatistiquesRésultats détaillés
Temps de jeu des joueursEn 2012, Franck Ribéry est le joueur qui a disputé le plus de matchs (14), soit toutes les rencontres de l'équipe de France cette année-là. En minutes, c'est Hugo Lloris qui a eu le plus de temps de jeu avec 1 170 minutes écoulées sur les terrains alors que Ribéry n'en compte que 989. De plus, le gardien tricolore a gardé le brassard lors de tous les matchs sauf contre l'Islande où c'est Philippe Mexès qui a hérité du capitanat. Le joueur ayant eu le moins de temps de jeu est Benoît Trémoulinas avec seulement une minute à son actif contre l'Italie. ButeursEn 2012, Franck Ribéry est le meilleur buteur de l'équipe de France avec 4 buts. Ces trois premiers buts ont été inscris lors des matchs de préparation pour l'Euro, respectivement contre l'Islande, la Serbie et l'Estonie. Le quatrième but est marqué contre la Biélorussie, match qualificatif pour le Mondial 2014.
PasseursEn 2012, Karim Benzema est le meilleur passeur de l'équipe de France avec 6 offrandes pour 5 joueurs différents. 6 passes
4 passes
3 passes
2 passes
Aspects socio-économiquesMaillotsL'équipe de France porte en 2012 un maillot confectionné par Nike, équipementier des Bleus depuis 2011. Le maillot extérieur est dévoilé en février peu avant le match contre l'Allemagne, il est entièrement blanc et assez classique avec des rayures sur les manches et une longue patte de boutonnage[71]. Le maillot domicile est quant à lui présenté en avril au Couvent des Célestins, siège de l'état-major de la garde républicaine, dans le 4e arrondissement de Paris. De même qu'en 2011, le maillot est composé de lignes horizontales de la marinière, insérées de manière plutôt discrète avec un bleu plus foncé que celui qui recouvre l'intégralité du maillot. La principale différence se situe au niveau du col, relevé et d'un bleu plus clair. De plus, l'écusson du coq français est, cette fois-ci, doré tout comme celui du logo de Nike. Les deux maillots sont signés par la phrase « Nos différences nous unissent », référence à la dimension multiculturelle de la France. Ces tuniques seront celles utilisées lors de l'Euro 2012[72],[73].
Audiences
Bibliographie: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Notes et référencesNotesRéférences extraites de L'Année du football 2012
Références extraites de Football 2012 - Toute la saison 2011-2012
Autres références
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