Le président sortant Filipe Nyusi est réélu pour un second mandat dès le premier tour.
Campagne
Une mission d'observation de l'Union européenne accuse le parti au pouvoir, le FRELIMO, d'utiliser des fonds publics pour sa campagne électorale, et note un traitement médiatique disproportionné en faveur du gouvernement. La campagne est également entachée de violences commises par des membres dissidents du parti RENAMO, ancien groupe rebelle, qui font au moins un mort[3].
Filipe Nyusi est réélu avec 73 % des voix[7], après une campagne électorale marquée par des violences et des intimidations envers la société civile[8],[9],[10]. Des organisations de la société civile mozambicaine et missions d'observation électorale dont celle de l'Union européenne soulignent des irrégularités lors du scrutin[11].