Elkin est né à Kharkov en RSS d'Ukraine[1]. Il s'engage dans le mouvement de jeunesse juif Bneï-Akiva dont il devient, en 1990, secrétaire général de la branche soviétique. En , Elkin quitte l'URSS et fait son aliya.
En 2006, il est élu à la 17e Knesset sur la liste du nouveau parti Kadima. En , il quitte Kadima, qu'il considère comme étant devenu gauchiste sous la direction de Tzipi Livni, en particulier sur les questions relative aux discussions avec la Palestine. Il rejoint le Likoud[2]. Lors des élections législatives de 2009, il est présent en 20e position sur la liste du Likoud et est élu à la 18e Knesset.
Ze'ev Elkin devient président du groupe parlementaire du Likoud à la Knesset et président de la coalition parlementaire. Lors des élections législatives de 2013, il est présent en 14e position sur la liste du Likoud et est élu à la 19e Knesset. Il occupe le poste de ministre de la Protection environnementale, de Jérusalem et de l'Intégration dans le gouvernement Netanyahou IV.
Incarnant la ligne dure de la droite israélienne, il présente fin 2017 un projet de loi critiqué car visant à garantir la supériorité numérique de la population juive dans Jérusalem[1].
Nommée ministre de l'Enseignement supérieur le , il doit devenir ministre des Transports le [3].
Le , Elkin démissionne du gouvernement et du Likoud. Il démissionne de la Knesset le lendemain. Elkin rejoint le parti Nouvel Espoir, nouvellement créé par Gideon Sa'ar, lui aussi en provenance du Likoud. Elkin accuse Benyamin Netanyahou d'avoir « détruit le Likoud » et de plus prendre en compte ses intérêts personnels que ceux de la nation[4].
Le , il devient ministre de la Construction et du Logement, ministre des Affaires de Jérusalem et du Patrimoine ainsi que ministre des Relations entre le gouvernement et la Knesset dans le gouvernement de Naftali Bennett.
Source
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