William E. ReesWilliam E. Rees
William Rees (né le ) est professeur à l'Université de la colombie-Britannique et ancien directeur de l'École de Planification Communautaire et Régionale (School of Community and Regional Planning, SCARP) à l'UBC. William Rees enseigne à l'Université de la colombie-Britannique depuis 1969-70. Son principal intérêt de recherche est la politique publique et de planification relatives à des tendances environnementales mondiales et les conditions écologiques pour un développement socioéconomique durable. Il est à l'origine du concept de « l'empreinte écologique » et co-développeur de la méthode. Informations biographiquesWilliam Rees reçoit son doctorat en écologie des populations de l'Université de Toronto. Il fonde la SCARP "Environment and Resource Planning" et de 1994 à 1999, sert comme directeur de l'École. Le livre de William Rees sur l'analyse de l'empreinte écologique, Our Ecological Footprint (co-écrit avec Mathis Wackernagel, alors son étudiant au doctorat), a été publié en 1996 et est maintenant disponible en anglais, chinois, français, allemand, hongrois, italien, japonais, letton et espagnol. Une grande partie du travail de William Rees est dans le domaine de l'économie écologique et de l'écologie humaine. Il est mieux connu dans ces domaines, pour le co-développement de l'empreinte écologique de l'analyse avec Mathis Wackernagel, son étudiant au doctorat[1]. L'empreinte écologique est un outil quantitatif d'estimation de l'impact écologique de l'humanité de sur l'écosphère en termes d'appropriation de l'écosystème (terre et eau). Cette recherche révèle l'incompatibilité fondamentale entre la poursuite de la croissance économique matérielle et la sécurité de l'environnement et, ainsi, a contribué à rouvrir le débat sur la capacité de charge de l'humain pour le développement durable. Politique et intérêts de recherche
William Rees siège également sur le "National Board of Advisors of the Carrying Capacity Network", une organisation qui plaide en faveur de l'opposition à l'immigration, pour atteindre une stabilisation de la population aux États-Unis ainsi que la conservation des ressources et appelle à la revitalisation au travers de la promotion de l'éducation, de la famille, de la communauté de l'autonomie, de la tradition et de l'unité nationale"[3]. Publications
Références
Liens externes
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