Vol. 3... Life and Times of S. CarterVol. 3... Life and Times of S. Carter
Albums de Jay-Z Singles
Vol. 3... The Life and Times of S. Carter est le 4e album studio de Jay-Z sorti en 1999. Cet album marque le retour du rappeur vers un style plus « street », comme son 1er, Reasonable Doubt (1996)[1]. À la production, il fait notamment appel à Swizz Beatz, Timbaland, DJ Premier, Rockwilder et DJ Clue. Aux États-Unis, l'album débute à la 1re place du Billboard 200, en s'écoulant à 462 000 copies la première semaine. Cet album est un succès commercial : 2 millions d'exemplaires vendus le 1er mois. Par ailleurs, l'album a obtenu un succès « critique ». Le , l'album est certifié triple disque de platine par la Recording Industry Association of America, pour ses 3 millions copies aux États-Unis. En , Jay-Z fait une rétrospective de sa carrière et établit un classement de ses propres albums studio : il classe Vol. 3... Life and Times of S. Carter à la 10e place sur 12[2]. Liste des titresVersion américaine
* = coproducteur Version européenneL'édition européenne de l'album, commercialisée quelques semaines avant la sortie américaine, contient un autre tracklisting. Hova Interlude remplace Watch Me et There's Been a Murder remplace Is That Yo Bitch (featuring Missy Elliott et Twista). Anything était le morceau de fin de cette version européenne, avant les deux morceaux cachés. En raison de copies pirates, Jay-Z fut obligé de changer le tracklisting avant la commercialisation aux États-Unis. Samples
Le cas Big Pimpin’La chanson Big Pimpin' contient un sample de Khusara Khusara composé par Baligh Hamdi. Une plainte est alors déposée par le neveu du compositeur, Osama Fahmy. Durant l'audition devant un juge, Timbaland a admis avoir trouvé la chanson original sur un CD non identifié et il pensait qu'elle était tombée dans le domaine public. L'entourage de Jay Z avait à l'époque tenté de désamorcer rapidement ce problème en versant en 2001 100 000 dollars au label EMI Arabia, division d'EMI Group. Plus tard, l'héritier Osama Fahmy décide tout de même de poursuivre Jay-Z et Timbaland estimant que l'accord de l'époque n'avait pas de valeur selon la loi égyptienne. Finalement, le , la justice américaine donnent raison au rappeur et à son compositeur, qui n'auront rien à payer de plus[4]. Classement
Notes et références
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